On peut se demander si SOS Météores n'incarne pas l'essence même de l'oeuvre jacobsienne.
En effet, on glisse du quotidien (les bavardages sur le "temps qu'il fait") vers la S-F la plus échevelée par le biais d'une banale panne de batterie.
Bref, le fantastique surgissant lentement du quotidien : un chef d'oeuvre !
Renaud - Liège - 59 ans - 16 juillet 2010 |