Fils
de Serge Doubrovsky

critiqué par Pleine Lune, le 1 novembre 2001
(bruxelles - 75 ans)


La note:  étoiles
Fils : au nom du père...
Construit comme une fiction, d'évènements et de faits réels. Autofiction comme proclame l'auteur de "Fils".
"Mon immaginaire délire, mon symbolique est malade. J'abréagis. Mes formations réactionnelles. Tous les trucs. Les ai lus.
Commode. Je ne dis pas que ce soit faux. Non, un refuge. La théorie protège. Dans l'abstrait, bien sûr, j'avoue tout. Avec délice" Disons-le tout de suite, ceci n'est pas une pipe. Incommode
profondément insinuant dérangérant. Vous en aurez pour votre compte. Comptoir de l'âme. Américain. Caïn... cinq cent pages à vous ravir. Découvrez sans tarder le seul détour (détournement?) de la langue française qui vaut la "peine". sans peine. Simplement génial.