J'ai beaucoup ri en lisant ce livre et en écoutant le caquet des bijoux. L'auteur se sert du sexe féminin pour faire une critique de la société. Les femmes se cachent derrière des façades, paraissent vertueuses, fidèles. Leurs bijoux nous apprend l'exact contraire. Même les religieuses ne sont pas épargnées. Par la suite, les femmes ont tellement peur de faire des révélations à leur insu, qu'elles mettent des muselières.
Qu'ajouter de plus ? On se croirait presque dans les contes des milles et une nuit pour le côté érotique du livre.
Pour quelle raison donne-t-on la parole aux bijoux ? Tout simplement car Mangogul s'ennuyait.
Comme quoi, les femmes sont vraiment bavardes.
Alouette - Seine Saint Denis - 40 ans - 1 novembre 2008 |