Fais danser la poussière
de Marie Dô

critiqué par Imani, le 29 avril 2008
(Toulouse - 43 ans)


La note:  étoiles
Il y a des princesses de toutes les couleurs...
Pour une découverte, c'en est une bonne.
j'ai passé un agréable week-end à lire le premier roman de cette belle plume.

Fais danser la poussière, est l'histoire de Maya, une erreur dans une famille blanche: elle est marron contrairement aux princesses de ses livres qui ont la peau blanche. Tout cela parce que sa mère s'est perdue dans les bras de Souleyman, un étudiant africain.

C'est une très belle histoire qui apprend la tolérance. Elle est empreinte de chagrin; il y a des larmes... mais tout est dit et les vérités qui couvent durant l'enfance finissent par être dévoilées et libèrent du poids oppressant du silence.

Naître métisse aujourd'hui, point de drame (je le suis). Les choses était différentes dans les années 60 et c'est bien qu'une personne ayant vécu la différence le raconte. Pour le bonheur des lecteurs.
Un excellent roman 10 étoiles

J'ai acheté ce livre après avoir vu son adaptation télévisée sur France 2. Une amie m'en avait déjà parlé mais j'avais associé ce livre à l'autobiographie d'une danseuse ce qui ne m'intéressait que moyennement. Cependant, après avoir vu son adaptation télévisée je me suis rendue compte que ce livre n'était pas que l'autobiographie d'une danseuse.

Ce roman est la très belle histoire de la vie de Maya. Maya a une vie difficile : elle est métisse dans une famille blanche. Au travers de la vie de Maya, Marie Dô nous montre comment aller de l'avant et nous donne une formidable leçon de tolérance et de courage.

Bouxia - - 37 ans - 30 mars 2010