Qu’ajouter à la critique principale? Si ce n’est un remerciement à JEANLEBLEU pour cette découverte.
Très bon roman où j’ai eu plaisir à retrouver le style de Marcel Aymé
Un conseil toutefois: évitez si possible de le lire dans la collection Soleil. Comment Gallimard a-t-il pu laisser passer tant de fautes d’orthographe ?
« La cuisine était propre. Au milieu, l’Aurélie pendait à une grosse ficelle, accrochée par le cou. De grand matin, courbée sur son cuveau, elle avait entrepris de buander le linge. Au soir, elle avait eu envie de mourir, tout d’un coup, comme on a soif. L’envie l’avait prise au jardin, pendant qu’elle arrachait les poireaux pour la soupe. »
Ludmilla - Chaville - 69 ans - 8 novembre 2011 |