26a
de Diana Evans

critiqué par Loras, le 29 janvier 2008
( - 37 ans)


La note:  étoiles
Un premier prometteur
Un concentré de bonheur, de douceur, d'amour de tendresse et de délicatesse et petit à petit, très lentement, de la tristesse, de la douleur, un peu de dureté et une dernière page tournée à regret, parce que tout simplement "c'était bien"...

L'histoire (un peu -beaucoup- autobiographique) de jumelles, de leur relation si particulière et de leur liens avec les autres membres de la famille, ce père alcoolique, cette mère sénégalaise qui parle à sa défunte mère, ses soeurs protectrices et aux caractères bien trempés...
Leur vie, partagé entre Londres et le Sénégal, entre l'envie de ne jamais séparer cet être-deux et l'envie d'essayer de n'être-qu'un. Leurs premières fois, leurs secrets, leurs doutes, leurs expériences et leurs choix.

Et cette séparation, cette folie, ces esprits, ces divaguations... Il faut parfois avoir gardé son âme d'enfant pour rester dans l'esprit de l'auteure et la suivre dans ce voyage où l'on se sent si bien.

Et pour que le tout soit encore plus agréable, Diana Evans varie même les styles... Pour un premier... c'est une réussite.