La saison du bourreau
de Charles Le Quintrec

critiqué par Sorcius, le 8 août 2001
(Bruxelles - 54 ans)


La note:  étoiles
Mais zut de zut
Et hop, je me suis fait avoir encore une fois par un résumé juteux et plein de promesses que le livre ne tient pas…
Le XVIIe siècle est une de mes périodes de prédilection, surtout en France. En plus, on parlait de sorcellerie, de superstitions, de querelles religieuses, de complots, choses qui me font toujours vibrer, moi la gentille petite sorcière.
Et me voilà embarquée dans une histoire décousue, vécue par Albaran, un héros instable et peu attachant. Des femmes jalonnent son existence, mais il ne parvient pas à être heureux. Il rencontre des personnages louches, dont le fameux Ravaillac – jamais réellement cité par son nom de famille – qui assassina Henri IV. Je pensais lire un roman historique, ou tout au moins un bon roman, et je me suis retrouvée avec des phrases écrites dans un pseudo langage d'époque et une histoire sans queue ni tête. Heureusement qu’il n'était pas très long.