La cinquième session du Club de Lecture est ouverte!
Une invitation à lire Goran Petrović avec Atlas des reflets célestes
En lisant l’Atlas des reflets célestes on pourra s’initier à une géographie singulière, observer huit rêveurs dans une maison qui n’a d’autre toit que le ciel, mener une partie de cache-cache interrompu, apprendre à se défendre des voleurs de rêves, découvrir la nature secrète des miroirs, goûter un baiser simple comme un gâteau saupoudré de sucre glace, se familiariser avec l’infini palimpseste qu’est l’encyclopédie Serpentiana, battre les « dix millions de grands chemins de l’espoir » et aborder autant d’autres sujets décoiffants.
A première vue, le livre semble plus difficile à dénicher, donc je vais laisser trois semaines pour s’approvisionner. Les comnentaires seront ouverts à partir du 15 Octobre.
Une invitation à lire Goran Petrović avec Atlas des reflets célestes
En lisant l’Atlas des reflets célestes on pourra s’initier à une géographie singulière, observer huit rêveurs dans une maison qui n’a d’autre toit que le ciel, mener une partie de cache-cache interrompu, apprendre à se défendre des voleurs de rêves, découvrir la nature secrète des miroirs, goûter un baiser simple comme un gâteau saupoudré de sucre glace, se familiariser avec l’infini palimpseste qu’est l’encyclopédie Serpentiana, battre les « dix millions de grands chemins de l’espoir » et aborder autant d’autres sujets décoiffants.
A première vue, le livre semble plus difficile à dénicher, donc je vais laisser trois semaines pour s’approvisionner. Les comnentaires seront ouverts à partir du 15 Octobre.
Pour une fois j'ai le temps et motivation pour une lecture commune.
J'ai commandé le livre cet aprém à mon libraire, arrivé pour vendredi ou le prochain vendredi m'a t'il dit.
J'ai commandé le livre cet aprém à mon libraire, arrivé pour vendredi ou le prochain vendredi m'a t'il dit.
Je l'ai récupéré il y a une dizaine de jours à la bibli, et je le commencerai dans une dizaine de jours, selon la progression de mes autres lectures.
Pour une fois j'ai le temps et motivation pour une lecture commune.
J'ai commandé le livre cet aprém à mon libraire, arrivé pour vendredi ou le prochain vendredi m'a t'il dit.
Bienvenue dans le club!
Pour ma part, je cherche une version électronique, mais je crois qu'elle est seulement disponible en espagnol.
Alors ce sera la bibli!
Alors ce sera la bibli!
Pour ma part, je cherche une version électronique, mais je crois qu'elle est seulement disponible en espagnol.
Alors ce sera la bibli!
Alors pour moi c'est la même chose pas de version kindle.. Et pour la Biliotheque j'ai peu d'espoir car ils ne commandent jamais ce qui n'est pas un livre connu...
J' ai récupéré le livre et je pense commencer sa lecture la semaine prochaine.
Pas possible de le trouver ni en Anglais ni en Francais :-( Je passe pour cette fois dès lors
Reçu aujourd'hui !]
Ouverture des commentaires pour ceux et celles qui ont pu mettre la main sur un exemplaire!
La préface de Alberto Manguel n’est pas au programme de lecture. Mais libre à vous de la lire.
Personnellement, je le fais à la fin car elle dévoile trop.
Personnellement, je le fais à la fin car elle dévoile trop.
La préface de Alberto Manguel n’est pas au programme de lecture. Mais libre à vous de la lire.
Personnellement, je le fais à la fin car elle dévoile trop.
Je ne sais pas si elle dévoile trop puisque comme toi je la lirai après pour ne pas influencer ma perception de l'ouvrage.
finissez la lecture avant de me lire !
Le livre avait tout pour me plaire avec une sorte de réalisme magique et une critique de l’absence de ‘fantaisie’ dans notre monde… et je n’ai pas vraiment été enchanté.
Mon premier et principal reproche est que c’est fastidieux à lire. Par la présence de notes de bas de pages qui perturbent et sortent du récit en apportant pas toujours grand-chose.
À la suite de chaque chapitre(de la vie au jour le jour dans cette maison) et donc encore plus perturbant. Pas des petites notes la plupart du temps, il y a même plus de textes dans les notes que dans certains chapitres.
Il faut ajouter aux notes une description en rapport avec le paragraphe en bout de chaque chapitre. J’ai passé sur les premiers chapitres la description encadrée avant de recommencer du début pour voir si c’était indispensable à lire. Pas toujours en fait.
Cela ne me dérange pas ce principe hypertexte quand c’est habilement fait(ex : Pratchett) mais là c’était plutôt pénible. J’ai pensé que le texte aurait gagné à réunir l’ensemble dans un seul chapitre plutôt que séparer en 3 entités distinctes mais pas vraiment.
Je comprends l’idée d’atlas mais on reste quand même sur un roman...
La magie, l’enchantement ne prends pas pour moi. Il manque peut-être quelque chose au niveau écriture ou émotion. Beaucoup de choses abordées et aucune vraiment développées.
Les ‘faits fantastiques’ sont tellement littéraux que ça en devient anodin et sans surprise passé quelques lignes.
Les personnages sont pas vraiment attachants par leur côté archétypes ni vraiment développés.
En commençant la lecture j’ai pensé à Borges(qui est cité et il y a quelques allusions à ses œuvres) mais on est trop loin de l’exubérance des auteurs d’Amérique du sud que j’ai lu.
Dommage car j’aime bien la plupart des idées, il y en a beaucoup et ça reste assez cohérent.
L’impression de superstitions incarnées est un peu lassante. Les références chrétiennes n’ont pas trop leur place au milieu, ou en tout cas je vois pas ce qu’elle vienne y faire ; la foi vs le matérialisme du monde ?
Le passage anti-science trop caricatural plutôt énervant.
Merci pour le club, je reviendrais p-e pour un livre même si le livre m'attire pas, les surprises sont toujours inattendues :)
En conclusion ce fantastique terre à terre est un peu trop plat pour moi.
Je retenterais p-e la lecture en passant les notes de bas de pages et encadrés de fin de chapitre car il y a du bon. J’ai même regretté que le récit s’arrête quand une aventure commence hors de la maison.
En tant qu’atlas pourquoi pas, un atlas pour se perdre probablement.
Le livre avait tout pour me plaire avec une sorte de réalisme magique et une critique de l’absence de ‘fantaisie’ dans notre monde… et je n’ai pas vraiment été enchanté.
Mon premier et principal reproche est que c’est fastidieux à lire. Par la présence de notes de bas de pages qui perturbent et sortent du récit en apportant pas toujours grand-chose.
À la suite de chaque chapitre(de la vie au jour le jour dans cette maison) et donc encore plus perturbant. Pas des petites notes la plupart du temps, il y a même plus de textes dans les notes que dans certains chapitres.
Il faut ajouter aux notes une description en rapport avec le paragraphe en bout de chaque chapitre. J’ai passé sur les premiers chapitres la description encadrée avant de recommencer du début pour voir si c’était indispensable à lire. Pas toujours en fait.
Cela ne me dérange pas ce principe hypertexte quand c’est habilement fait(ex : Pratchett) mais là c’était plutôt pénible. J’ai pensé que le texte aurait gagné à réunir l’ensemble dans un seul chapitre plutôt que séparer en 3 entités distinctes mais pas vraiment.
Je comprends l’idée d’atlas mais on reste quand même sur un roman...
La magie, l’enchantement ne prends pas pour moi. Il manque peut-être quelque chose au niveau écriture ou émotion. Beaucoup de choses abordées et aucune vraiment développées.
Les ‘faits fantastiques’ sont tellement littéraux que ça en devient anodin et sans surprise passé quelques lignes.
Les personnages sont pas vraiment attachants par leur côté archétypes ni vraiment développés.
En commençant la lecture j’ai pensé à Borges(qui est cité et il y a quelques allusions à ses œuvres) mais on est trop loin de l’exubérance des auteurs d’Amérique du sud que j’ai lu.
Dommage car j’aime bien la plupart des idées, il y en a beaucoup et ça reste assez cohérent.
L’impression de superstitions incarnées est un peu lassante. Les références chrétiennes n’ont pas trop leur place au milieu, ou en tout cas je vois pas ce qu’elle vienne y faire ; la foi vs le matérialisme du monde ?
Le passage anti-science trop caricatural plutôt énervant.
Merci pour le club, je reviendrais p-e pour un livre même si le livre m'attire pas, les surprises sont toujours inattendues :)
En conclusion ce fantastique terre à terre est un peu trop plat pour moi.
Je retenterais p-e la lecture en passant les notes de bas de pages et encadrés de fin de chapitre car il y a du bon. J’ai même regretté que le récit s’arrête quand une aventure commence hors de la maison.
En tant qu’atlas pourquoi pas, un atlas pour se perdre probablement.
Finalement récupéré, il n’y a qu’un seul exemplaire dans toutes les bibliothèques de Montréal, pour 2 million d’habitants!
Lu le 1er « chapitre » avec l’amputation volontaire du toit de la maison. 3 pages!
Donc, si je saute les encadrés, ce sera peut-être moins fastidieux pour moi?
Quand je vois ce genre de procédé, je me demande toujours pourquoi l’auteur le fait? Au lieu de l’inclure dans le texte en soi.
Lu le 1er « chapitre » avec l’amputation volontaire du toit de la maison. 3 pages!
J’ai passé sur les premiers chapitres la description encadrée avant de recommencer du début pour voir si c’était indispensable à lire. Pas toujours en fait.
Donc, si je saute les encadrés, ce sera peut-être moins fastidieux pour moi?
Quand je vois ce genre de procédé, je me demande toujours pourquoi l’auteur le fait? Au lieu de l’inclure dans le texte en soi.
Je comprends les encadrés comme des pages issues d'autres ouvrages (enfin, présentées comme telles !), qui viennent, comme les notes de bas de page le font, mettre la lumière sur certains des phénomènes mentionnés dans les chapitres eux-mêmes.
Je suis maintenant à la page 67
Il y’a des moments complètement incompréhensibles (Les Lys-lys fer-à-cheval), mais heureusement chaque petit chapitre est très court.
Alors on arrive à des moments très jolis comme ‘M. Polovski’ sur le plaisir d’attendre quelqu’un.
C’est rudement bien écrit quand même, quoique classique car la poésie vient essentiellement du propos. « Une fois, à cause du courant d’air, une fenêtre donnant sur la cour s’est fermée si violemment, que pris au dépourvu, le bout d’un long rayon de lune n’a pu se retirer à temps et, cassé net, est tombé dans notre salle commune. »
Mais le bouquin physique en soi est rébarbatif malgré le format, petite écriture, qui devient minuscule dans les encadrés.
Je vois les encadrés comme un supplément dans le même thème que le chapitre (les miroirs, les grains de beauté) et fait référence à un objet d’art, par exemple, un texte parle d’une sculpture. Nous avons même les détails et son endroit en bas de page, toutefois, une recherche internet ne donne souvent aucun résultat, alors c’est frustrant.
Il y’a des moments complètement incompréhensibles (Les Lys-lys fer-à-cheval), mais heureusement chaque petit chapitre est très court.
Alors on arrive à des moments très jolis comme ‘M. Polovski’ sur le plaisir d’attendre quelqu’un.
C’est rudement bien écrit quand même, quoique classique car la poésie vient essentiellement du propos. « Une fois, à cause du courant d’air, une fenêtre donnant sur la cour s’est fermée si violemment, que pris au dépourvu, le bout d’un long rayon de lune n’a pu se retirer à temps et, cassé net, est tombé dans notre salle commune. »
Mais le bouquin physique en soi est rébarbatif malgré le format, petite écriture, qui devient minuscule dans les encadrés.
Je vois les encadrés comme un supplément dans le même thème que le chapitre (les miroirs, les grains de beauté) et fait référence à un objet d’art, par exemple, un texte parle d’une sculpture. Nous avons même les détails et son endroit en bas de page, toutefois, une recherche internet ne donne souvent aucun résultat, alors c’est frustrant.
Les lyslys ça prend son sens avec le personnage de Lyslys et ses actions.
Parfois les encadrés sont plus métas et pas seulement sur des oeuvres d'arts. Je ne sais pas s'ils se référent même à des oeuvres/fairt existants. Écriture d'un délire solide, un peu indigeste sur la forme, l'auteur se veut cartographe d'une illusion réelle plus que romancier j'ai l'impression...
bonne lectures
Parfois les encadrés sont plus métas et pas seulement sur des oeuvres d'arts. Je ne sais pas s'ils se référent même à des oeuvres/fairt existants. Écriture d'un délire solide, un peu indigeste sur la forme, l'auteur se veut cartographe d'une illusion réelle plus que romancier j'ai l'impression...
bonne lectures
J'ai commencé la lecture avec les deux premiers textes.J'ai accepté de me laisser porter et je m'y suis sentie assez bien sans chercher à comprendre vraiment le sens. Mais la transformation du toit en ciel bleu m'a fait penser à ce désir profond de ne plus vivre enfermé entre quatre mur ou dans une boîte comme le font la plupart des humains , ce que j'ai déjà ressenti en lisant des romans d'écrivains d'Europe de l'est concernant la vie sous un " certain" régime avec besoin d'air et de liberté...
La partie "mi homme mi rêve " m'a aussitôt évoqué la croyance religieuse avec cette "inscription dans un rêve" assez poétique ...
J'ai choisi de ne pas lire en même temps les encadrés pour rester dans mes impressions ressenties par les textes. Ça casserait le charme..
D'une façon générale je n'aime pas trop les écrivains qui utilisent des "procédés" pour faire quelque chose d'original mais là il y a comme une douceur, un univers pas loin des rêves fondus dans le réel. Je vais voir pour la suite...
La partie "mi homme mi rêve " m'a aussitôt évoqué la croyance religieuse avec cette "inscription dans un rêve" assez poétique ...
J'ai choisi de ne pas lire en même temps les encadrés pour rester dans mes impressions ressenties par les textes. Ça casserait le charme..
D'une façon générale je n'aime pas trop les écrivains qui utilisent des "procédés" pour faire quelque chose d'original mais là il y a comme une douceur, un univers pas loin des rêves fondus dans le réel. Je vais voir pour la suite...
Je suis maintenant à la page 164
J’ai choisi de passer les encadrés également, pour la même raison, conserver la fluidité du texte principal qui est déjà très morcelé.
Heureusement, les mêmes personnages reviennent et permettent de nous ancrer un peu dans cet univers éclaté.
Comme toi Pierronnelle,je crois que chaque objet magique ou événement bizarre a une signification, disons « philosophique », à déchiffrer.
L’imagination de Petrovic me plait et je demeure encore fasciné par chacune de ces petites historiettes.
J’ai choisi de passer les encadrés également, pour la même raison, conserver la fluidité du texte principal qui est déjà très morcelé.
Heureusement, les mêmes personnages reviennent et permettent de nous ancrer un peu dans cet univers éclaté.
Comme toi Pierronnelle,je crois que chaque objet magique ou événement bizarre a une signification, disons « philosophique », à déchiffrer.
L’imagination de Petrovic me plait et je demeure encore fasciné par chacune de ces petites historiettes.
J'approche de la fin du livre. J'ai lu tout le début en picorant un peu chaque jour, et hier j'ai tenté de voir ce que pouvait donner une session de lecture plus longue. Ça n'a pas changé fondamentalement mon ressenti : je ne m'ennuie pas vraiment à la lecture, mais j'ai un peu l'impression de flotter dans l'éther et de contempler les scènes proposées avec détachement. Je suis sensible aux énumérations poétiques, au vocabulaire inconnu, à la justesse de certaines idées développées dans les notes* - qui ne me gênent pas du tout, je les prends vraiment comme une composante à part entière des chapitres.
Ça ne suffit pas complètement à compenser mon peu d'investissement émotionnel dans l'histoire, mais j'ai aussi la sensation d'une lecture qui demande à ce que saon lecteur.rice fournisse aussi plus d'effort que la lecture un brin détachée que j'en fais. En particulier, les encarts renvoient parfois à des 'vraies' images (voir quelques illustrations dans cette critique que je lirai en détail une fois le livre terminé : https://charybde2.wordpress.com/2015/10/…) ; et il y a sans doute bien d'autres clins d’œil distillés qui seraient à creuser ! Pour ma part, j'en resterai peut-être là, je recopierai juste certains passages qui ont fait mouche, et l'idée me réjouit. Pour l'essentiel, je suis quand même contente de cette lecture.
*par exemple : "Une cloison imaginée, mais non moins réelle, traverse tout individu, séparant sa personnalité en deux versants : un adret et un ubac."
Ça ne suffit pas complètement à compenser mon peu d'investissement émotionnel dans l'histoire, mais j'ai aussi la sensation d'une lecture qui demande à ce que saon lecteur.rice fournisse aussi plus d'effort que la lecture un brin détachée que j'en fais. En particulier, les encarts renvoient parfois à des 'vraies' images (voir quelques illustrations dans cette critique que je lirai en détail une fois le livre terminé : https://charybde2.wordpress.com/2015/10/…) ; et il y a sans doute bien d'autres clins d’œil distillés qui seraient à creuser ! Pour ma part, j'en resterai peut-être là, je recopierai juste certains passages qui ont fait mouche, et l'idée me réjouit. Pour l'essentiel, je suis quand même contente de cette lecture.
*par exemple : "Une cloison imaginée, mais non moins réelle, traverse tout individu, séparant sa personnalité en deux versants : un adret et un ubac."
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