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La série Bob Morane a dû être mon premier contact avec le roman d'aventures. J'ai dû en dévorer une vingtaine de tomes avant de passer à autre chose. Je me demande ce que j'éprouverais à relire aujourd'hui un de ces épisodes qui m'avaient tant passionnés à l'âge où la puberté ne me tracassait pas encore.
Henri Vernes nous a donc quittés à l'âge vénérable de 103 ans. Pour ses cent ans, il avait reçu la Rtbf. Il n'aurait certes pas combattu une meute de chacals, mais il avait encore toute sa tête :-)
https://rtbf.be/culture/litterature/…
Henri Vernes nous a donc quittés à l'âge vénérable de 103 ans. Pour ses cent ans, il avait reçu la Rtbf. Il n'aurait certes pas combattu une meute de chacals, mais il avait encore toute sa tête :-)
https://rtbf.be/culture/litterature/…
Merci pour ce petit rappel via la rtbf.
Au revoir Henri Vernes .
Au revoir Henri Vernes .
R I P
Erratum : né en octobre 1918, H. V. n'avait pas encore 103 ans, mais 102.
J'ai eu la chance de côtoyer Henri pendant quelques années (1998-2004), nous avions un point en commun, notre date de naissance (le jour, pas l'année !). Lors de notre première rencontre, il allait avoir 80 ans et c'était un sémillant jeune homme souriant et un brin espiègle. Le courant est tout de suite passé et j'ai eu l'audace de lui demander d'être le parrain d'un concours de nouvelles que j'organisais en ce temps là... Il a de suite accepté et durant 4 éditions il s'est prêté avec beaucoup de gentillesse à présider la remise des prix. Il m'arrivait aussi de l'accompagner à des salons où il était invité, on prenait le train à la gare du Midi et le trajet était prétexte à de longues conversations souvent amusantes. J'avais fini par croire qu'Henri était immortel... Il le sera à travers le personnage de Bob Morane.
Minoritaire, merci de cette information qui m'avait échappé. Par contre, j'en ai lus beaucoup plus et même si je suis passé comme toi à autre chose, il m'est arrivé d'en relire plusieurs, je pense un tous les deux ou trois ans...
J'en parle très vite dans ma chronique L'été c'est fait pour lire...
J'en parle très vite dans ma chronique L'été c'est fait pour lire...
J'ai eu la chance de côtoyer Henri pendant quelques années (1998-2004), nous avions un point en commun, notre date de naissance (le jour, pas l'année !). Lors de notre première rencontre, il allait avoir 80 ans et c'était un sémillant jeune homme souriant et un brin espiègle. Le courant est tout de suite passé et j'ai eu l'audace de lui demander d'être le parrain d'un concours de nouvelles que j'organisais en ce temps là... Il a de suite accepté et durant 4 éditions il s'est prêté avec beaucoup de gentillesse à présider la remise des prix. Il m'arrivait aussi de l'accompagner à des salons où il était invité, on prenait le train à la gare du Midi et le trajet était prétexte à de longues conversations souvent amusantes. J'avais fini par croire qu'Henri était immortel... Il le sera à travers le personnage de Bob Morane.
Je me rappelle d'ailleurs de la rencontre à la maison du livre, du temps où tu étais encore Bruxellois. ;-)
Son esprit vif et son espièglerie étaient des points marquants de votre discussion.
Je me rappelle d'ailleurs de la rencontre à la maison du livre, du temps où tu étais encore Bruxellois. ;-)
Son esprit vif et son espièglerie étaient des points marquants de votre discussion.
J'en ai encore quelques photos quelque part... Henri était un "bon client" pour ce genre de rencontre. Je l'ai invité quelques fois, pour moi c'était une roue de secours idéale, il avait toujours un truc à raconter !
Encore un pan de ma jeunesse qui s'efface : premier livre de lui lu : "Opération Atlantide" vers 1956, j'avais dix ans et n'étais pas encore un gros lecteur ! Mais quel talent pour faire tourner les pages !
Je ne sais pas lequel j’ai lu en premier mais j’en ai lu beaucoup. J’allais à la bibliothèque du quartier, je me remémore encore l’odeur particulière des vieux livres, je prenais deux ou trois Bob Morane dans lesquels je me plongeais avec passion.
J’aimais bien Bill Ballantines, le fidèle amis du commandant.
J’aimais bien Bill Ballantines, le fidèle amis du commandant.
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