Page 1 de 1
Fernand est énervé mais il n’en laisse rien paraitre. Germaine, sa femme l’a fait lever à 5h41 sous prétexte qu’elle ne peut plus dormir à cause de chants d’oiseaux !. Elle l’a tiré du lit en lui faisant miroiter une tasse de café. Mais il n’en a rien à faire. Bon gré, mal gré, il sirote son café, laissant errer son regard par la fenêtre, sans prêter attention au babillage incessant de Germaine. Il se demande si les voisins ont autant de soucis que lui.
Milène et Marc, par exemple, ont-ils le temps de s’apitoyer sur leur sort ? Sans doute pas, Ils ont un prêt hypothécaire en cours, deux gosses turbulents à gérer, un travail, l’un à 50 km, l’autre à 20 km de là. Comment font-ils pour avoir le temps d’être heureux ? Se posent-ils des questions sur l’avenir de leur couple ?
Fernand se lève, allume une cigarette, rejette la fumée au loin, entend Germaine qui râle une fois de plus, sourit dans sa barbe en jetant un regard vers le bungalow de Maximilien, leur nouveau voisin, qui a emménagé depuis peu.
Ah ! Sacré Maximilien, il ne se fait pas de souci, lui ! Sa maison est plongée dans l’obscurité. Des oiseaux, il n’en a cure ! Cela fait partie de la nature ! Il est venu vivre à la campagne pour entendre autre chose que les bruits des klaxons, alors, vous pensez bien, quelques oiseaux qui s’amusent pendant 43 minute, c’est du gâteau !
Et puis, il y a ce Jean-René, toujours conciliant, avec ses courbettes mielleuses, sans cesse à l’affût des quolibets du village pour tenter d’aplanir tout différent. Il n’aurait pas raté sa vocation d’évangéliste celui-là ? Ce diffuseur de bonnes paroles à la noix ! Avec son enregistreur qui date de Mathusalem qu’il ballade tous les samedis soirs. Et ses chansons ringardes ?. Non, non et non, « il faut que je me taille d’ici », voilà le leitmotiv de Fernand.
Tiens donc, mais Fernand les avait oubliés, ces deux –là. Jean-Pierre et Aline !. Quel couple déjanté ! Mais est-ce vraiment un couple ? On dirait plutôt un frère et une sœur. Jean-Pierre, long comme un jour sans pain, et Aline, grosse et empotée. Le même regard vide dans des yeux délavés lorsqu’ils contemplent leurs poules caquetantes sur le pas de leur porte.. Mis à part, s’occuper des poules dont le troupeau ne cesse d’augmenter, que font-ils de leurs journées ? Et d’ailleurs, comment cela se fait-il que leur nombre augmente sans cesse ? Il y a quelque chose à creuser de ce côté-là..
Fernand rêve d’une autre vie. De partir à la ville. De quitter Germaine. De rompre ce train-train quotidien qui ne peut que le mener à la mort sans avoir vécu. Il a plusieurs idées déjà qui ont germé dans sa tête. Il sait que Maximilien pourra l’aider dans sa démarche. Il lui en a déjà touché un mot. Il a compris que Maximilien n’était pas insensible à ce qu’il lui disait. Maximilien connait du monde en ville. Il en vient. Il a fait sa vie là-bas, avant de venir s’enterrer ici. C’est sûr, Maximilien lui sera d’un grand secours. Fernand a quelques économies qu’il a pu, petit à petit, soustraire à l’œil vigilant de Germaine. Il les a montrées à Maximilien. Celui-ci était ravi. Peut-être même que Maximilien repartira avec lui. Ou alors, au début, du moins. Il lui a dit qu’il allait lui présenter ses amis, et notamment ses amies. Il en avait un paquet avant de venir s’enterrer ici. Fernand, en les imaginant, a les joues en feu, il rougit de plaisir.
Germaine, interloquée, lui demande « Qu’est ce qui te prend ? Tu es malade ? » Fernand sourit. Il ne lui en veut plus de lui avoir gâché sa vie. Il sait que, bientôt, c’en sera fini de cette vie de cloîtré. Maximilien lui a raconté de bien belles choses. Partir coûtera pas mal d’argent, mais il en a quasiment assez, enfin, d’après ce que lui a dit Maximilien.
Il devra le lui confier et Maximilien lui achètera un appartement en ville, avec une terrasse ensoleillée, juste en face d’un immeuble où des jeunes gens font la fête la plupart du temps. Ils sont étudiants et étudiantes et chaque soir, ils s’amusent. C’est ce que lui a dit Maximilien. Lorsqu’il vivait en ville, il y était invité régulièrement.
« Pourquoi il est venu s’enterrer dans ce village « ? » Ah, ce n’est que provisoire, juste pour prendre un ou deux mois de repos et charger ses batteries, mais il va repartir, çà c’est sûr. La ville, c’est son oxygène. Fernand soupire..
« Ah ! Vivement le mois prochain, la belle vie va commencer ». Maximilien le lui a promis, juré.
Milène et Marc, par exemple, ont-ils le temps de s’apitoyer sur leur sort ? Sans doute pas, Ils ont un prêt hypothécaire en cours, deux gosses turbulents à gérer, un travail, l’un à 50 km, l’autre à 20 km de là. Comment font-ils pour avoir le temps d’être heureux ? Se posent-ils des questions sur l’avenir de leur couple ?
Fernand se lève, allume une cigarette, rejette la fumée au loin, entend Germaine qui râle une fois de plus, sourit dans sa barbe en jetant un regard vers le bungalow de Maximilien, leur nouveau voisin, qui a emménagé depuis peu.
Ah ! Sacré Maximilien, il ne se fait pas de souci, lui ! Sa maison est plongée dans l’obscurité. Des oiseaux, il n’en a cure ! Cela fait partie de la nature ! Il est venu vivre à la campagne pour entendre autre chose que les bruits des klaxons, alors, vous pensez bien, quelques oiseaux qui s’amusent pendant 43 minute, c’est du gâteau !
Et puis, il y a ce Jean-René, toujours conciliant, avec ses courbettes mielleuses, sans cesse à l’affût des quolibets du village pour tenter d’aplanir tout différent. Il n’aurait pas raté sa vocation d’évangéliste celui-là ? Ce diffuseur de bonnes paroles à la noix ! Avec son enregistreur qui date de Mathusalem qu’il ballade tous les samedis soirs. Et ses chansons ringardes ?. Non, non et non, « il faut que je me taille d’ici », voilà le leitmotiv de Fernand.
Tiens donc, mais Fernand les avait oubliés, ces deux –là. Jean-Pierre et Aline !. Quel couple déjanté ! Mais est-ce vraiment un couple ? On dirait plutôt un frère et une sœur. Jean-Pierre, long comme un jour sans pain, et Aline, grosse et empotée. Le même regard vide dans des yeux délavés lorsqu’ils contemplent leurs poules caquetantes sur le pas de leur porte.. Mis à part, s’occuper des poules dont le troupeau ne cesse d’augmenter, que font-ils de leurs journées ? Et d’ailleurs, comment cela se fait-il que leur nombre augmente sans cesse ? Il y a quelque chose à creuser de ce côté-là..
Fernand rêve d’une autre vie. De partir à la ville. De quitter Germaine. De rompre ce train-train quotidien qui ne peut que le mener à la mort sans avoir vécu. Il a plusieurs idées déjà qui ont germé dans sa tête. Il sait que Maximilien pourra l’aider dans sa démarche. Il lui en a déjà touché un mot. Il a compris que Maximilien n’était pas insensible à ce qu’il lui disait. Maximilien connait du monde en ville. Il en vient. Il a fait sa vie là-bas, avant de venir s’enterrer ici. C’est sûr, Maximilien lui sera d’un grand secours. Fernand a quelques économies qu’il a pu, petit à petit, soustraire à l’œil vigilant de Germaine. Il les a montrées à Maximilien. Celui-ci était ravi. Peut-être même que Maximilien repartira avec lui. Ou alors, au début, du moins. Il lui a dit qu’il allait lui présenter ses amis, et notamment ses amies. Il en avait un paquet avant de venir s’enterrer ici. Fernand, en les imaginant, a les joues en feu, il rougit de plaisir.
Germaine, interloquée, lui demande « Qu’est ce qui te prend ? Tu es malade ? » Fernand sourit. Il ne lui en veut plus de lui avoir gâché sa vie. Il sait que, bientôt, c’en sera fini de cette vie de cloîtré. Maximilien lui a raconté de bien belles choses. Partir coûtera pas mal d’argent, mais il en a quasiment assez, enfin, d’après ce que lui a dit Maximilien.
Il devra le lui confier et Maximilien lui achètera un appartement en ville, avec une terrasse ensoleillée, juste en face d’un immeuble où des jeunes gens font la fête la plupart du temps. Ils sont étudiants et étudiantes et chaque soir, ils s’amusent. C’est ce que lui a dit Maximilien. Lorsqu’il vivait en ville, il y était invité régulièrement.
« Pourquoi il est venu s’enterrer dans ce village « ? » Ah, ce n’est que provisoire, juste pour prendre un ou deux mois de repos et charger ses batteries, mais il va repartir, çà c’est sûr. La ville, c’est son oxygène. Fernand soupire..
« Ah ! Vivement le mois prochain, la belle vie va commencer ». Maximilien le lui a promis, juré.
Je trouve pas de mots, c'est excellent, tu as tout centré sur Fernand et son couple raté. Et sur Maximilien. C'est une idée de génie, la suite coule de source, les autres ne sont que de vagues comparses.Très réussi !
Je trouve pas de mots, c'est excellent, tu as tout centré sur Fernand et son couple raté. Et sur Maximilien. C'est une idée de génie, la suite coule de source, les autres ne sont que de vagues comparses.Très réussi !
merci très gentil de ta part.. je viens de lire le tien qui est totalement différent, je commente sur ton épisode..
"Le même regard vide dans des yeux délavés lorsqu’ils contemplent leurs poules caquetantes sur le pas de leur porte.. "
Ma phrase préférée. Non que le reste m'ait laissé de marbre, mais au contraire cette phrase fait corps et tresse avec le thème que tu abordes : qu'est-ce qui meut un citadin vers la campagne ? Qu'est-ce qui meut un campagnard vers la ville ?
Ce qui choque le citadin venu quémander un peu de paix, c'est justement qu'il y trouve des gens épris de sobriété et d'une routine qui paraissent tristes et sans intérêt pour lui. Ce regard terre-à-terre ressemble souvent à un regard vide. Et la vie dans la campagne - espace de liberté par excellence - se retrouve à prendre l'aspect d'un cloître. Ici c'est Fernand qui ressent tout cela ; commet-il une grave erreur ?
Quel que soit la réponse, merci Darius!
Ma phrase préférée. Non que le reste m'ait laissé de marbre, mais au contraire cette phrase fait corps et tresse avec le thème que tu abordes : qu'est-ce qui meut un citadin vers la campagne ? Qu'est-ce qui meut un campagnard vers la ville ?
Ce qui choque le citadin venu quémander un peu de paix, c'est justement qu'il y trouve des gens épris de sobriété et d'une routine qui paraissent tristes et sans intérêt pour lui. Ce regard terre-à-terre ressemble souvent à un regard vide. Et la vie dans la campagne - espace de liberté par excellence - se retrouve à prendre l'aspect d'un cloître. Ici c'est Fernand qui ressent tout cela ; commet-il une grave erreur ?
Quel que soit la réponse, merci Darius!
Tu m'as fait rire Darius, et ça fait du bien en ces temps compliqués. J'ai la même empathie que toi pour le pauvre Fernand, la Germaine, ce n'est pas un cadeau ! On ne saura pas si Maximimien tiendra sa promesse, mais on le souhaite sincèrement ! Bravo Darius !
Tu m'as fait rire Darius, et ça fait du bien en ces temps compliqués. J'ai la même empathie que toi pour le pauvre Fernand, la Germaine, ce n'est pas un cadeau ! On ne saura pas si Maximimien tiendra sa promesse, mais on le souhaite sincèrement ! Bravo Darius !
oui, en fait, tu as tout compris... bien sûr que Maximlien ne tiendra pas sa promesse.. c''est un escroc ..
"Fernand a quelques économies qu’il a pu, petit à petit, soustraire à l’œil vigilant de Germaine. Il les a montrées à Maximilien. Celui-ci était ravi." "Il devra le lui confier et Maximilien lui achètera un appartement en ville,..."
" : qu'est-ce qui meut un citadin vers la campagne ? Qu'est-ce qui meut un campagnard vers la ville ?
!
Je peux te répondre en ce qui me concerne ayant vécu 20 ans à la campagne et n'ayant plus du tout l'envie d'y retourner.. d'abord, il y a les rumeurs, les cancans, le fait qu'on s'occupe de tes affaires, de la manière dont tu vis, dont tu arranges ton jardin, de la voiture que tu possèdes ou non... et surtout le mépris pour les animaux et la manière insoutenable dont ils sont traités... enfin c'est mon expérience négative..
merci en tout cas d'avoir commenté et lu et surtout d'avoir trouvé une phrase qui t'es allée droit au coeur... ces deux personnages existent bel et bien dans ma campagne...
Ton texte dégage toute la lassitude de Fernand. C'est fluide et se lit très facilement. Aucune focalisation sur les oiseaux mais totalement centré sur Fernand avec tout de même des infos sur les autres personnages. Un petit point qui m'a un peu perturbé en lisant c'est ta répétition du mot "s’enterrer"... mais j'ai lu ton commentaire et le fait que tu as vécu 20 à la campagne accompagné du refus d'y retourner alors je comprends mieux. Mais dis donc heuuuu Maximilien ne serait-ce pas un petit escroc qui va entourlouper ce brave Fernand !??
Merci pour ton texte Darius.
Merci pour ton texte Darius.
Ton texte dégage toute la lassitude de Fernand. C'est fluide et se lit très facilement. Aucune focalisation sur les oiseaux mais totalement centré sur Fernand avec tout de même des infos sur les autres personnages. Un petit point qui m'a un peu perturbé en lisant c'est ta répétition du mot "s’enterrer"... mais j'ai lu ton commentaire et le fait que tu as vécu 20 à la campagne accompagné du refus d'y retourner alors je comprends mieux. Mais dis donc heuuuu Maximilien ne serait-ce pas un petit escroc qui va entourlouper ce brave Fernand !??
Merci pour ton texte Darius.
tout à fait, je croayis que cela tombait sous les ens.. effectivement, Maximilien est un petit escroc qui va l'entuber et lui voler son pognon...
Bien vu pour le mot "enterrer" répété plusieurs fois, je ne m'en étais pas rendu compte.. mais c'est vrai que, pour moi, avoir vécu 20 ans à la campagne, m'a escamoté d'une partie de ma vie... :-(
Je cours vous lire aussi et encore merci de vos remarques..
Le confinement quotidien de la ruralité est bien réel bien que celui de la ville puisse être pire...
Et le confinement du couple aussi, il fallait y penser.
Au final il est très drôle ce personnage aigri et plein d'espoirs pour un avenir meilleur...de fêtes étudiantes.
J'aime ce côté satyrique et le renversement des réalités, de cette crise existentielle esquissé.
Et le confinement du couple aussi, il fallait y penser.
Au final il est très drôle ce personnage aigri et plein d'espoirs pour un avenir meilleur...de fêtes étudiantes.
J'aime ce côté satyrique et le renversement des réalités, de cette crise existentielle esquissé.
Tu as tout centré sur quelques habitants du village et ça t'a permis de les approfondir et tu le fais parfaitement bien. Les pics verts par contre sont relayés au niveau de l'anecdote, la vie avant tout, enfin surtout le rêve d'une vie plus attrayante. C'est là où je ne te suis pas totalement, car qu'en est-il du secret et de la necessité de ne pas communiquer avec l'extérieur , ce qui apparemment semblait une décision commune.? C'est clair qu'on sent le rejet de ce village de la part de Fernand, qu'est-il allé faire dans cette galère ! Ce qui est amusant c'est ce rapport avec Maximillien, son espoir en lui , le renard menteur...
Mais le 'la ville est son oxygène" laisse dubitatif ainsi que la futilité de ses envies, et finalement on comprendrait mieux le comportement de Germaine face à l'immaturité du bonhomme...
C'est très bien fait, on voit que tu aimes te plonger dans les comportements humains : -)
Mais le 'la ville est son oxygène" laisse dubitatif ainsi que la futilité de ses envies, et finalement on comprendrait mieux le comportement de Germaine face à l'immaturité du bonhomme...
C'est très bien fait, on voit que tu aimes te plonger dans les comportements humains : -)
Pour bien comprendre à distance les enjeux, rappelons que ceci était un exo en direct dont les données étaient :
Fake news, infox, faits alternatifs, …. Avec l’arrivée de Donald pour diriger l’Oncle Sam le phénomène a pris de l’ampleur et constitue une plaie.
Alors bien sûr on ne va pas suspecter un Média intègre tel que Critiques Libres de pratiquer cette déviance, et, pour sûr, l’épisode n°2 relaté par Arundhati révèle la vérité à la suite de l’épisode n°1 de Garance. Bien sûr, c’est la version officielle et recoupée.
Mais ce que je vous propose c’est d’écrire votre « version alternative », de faire votre Donald en prenant la suite de l’épisode n°1 de Garance (lien ci-dessous) :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Ca nous permettra de montrer à quel point la vérité peut être déformée par des mal-intentionnés ou des incultes. Du « fake news » pour de faux, pour la bonne cause.
Donc la contrainte est celle-ci : partant à la suite de l’épisode 1 de Garance, écrire votre version alternative (alternative à l’officielle, qui est là ; http://critiqueslibres.com/i.php/forum/… )
(ça peut porter sur des détails comme ça peut n’avoir rien à voir, être délire total, ce sera juste votre version alternative)
En 3 à 5 000 signes, que vous posterez sous l’extension :
Faits alternatifs : xxxxxx(votre titre)
On se donne quoi, … 1h15 – 1h30 ?
Du coup il m'a fallu me replonger dans le MM7, je ne me souvenais plus que c'était aussi bien !
Donc version alternative à "l'officielle" d'Arundhati ...
Effectivement différente puisque tu développes un thème antagonisme ville/ruralité et celui d'un homme malheureux en couple et dans la campagne. Et tu nous agites gentiment sous les yeux l'apparition d'un escroc en herbe, Maximilien, ravi de rendre "service" à Fernand. Du coup nos braves pics-verts (en fait des pics épeiches) passent par pertes et profits.
C'est bien cohérent. Il y a du fond et c'est amusant de constater comment le MM7 aurait pu prendre un chemin différent. Oui, ben c'était le but de l'exo en même temps !
Fake news, infox, faits alternatifs, …. Avec l’arrivée de Donald pour diriger l’Oncle Sam le phénomène a pris de l’ampleur et constitue une plaie.
Alors bien sûr on ne va pas suspecter un Média intègre tel que Critiques Libres de pratiquer cette déviance, et, pour sûr, l’épisode n°2 relaté par Arundhati révèle la vérité à la suite de l’épisode n°1 de Garance. Bien sûr, c’est la version officielle et recoupée.
Mais ce que je vous propose c’est d’écrire votre « version alternative », de faire votre Donald en prenant la suite de l’épisode n°1 de Garance (lien ci-dessous) :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Ca nous permettra de montrer à quel point la vérité peut être déformée par des mal-intentionnés ou des incultes. Du « fake news » pour de faux, pour la bonne cause.
Donc la contrainte est celle-ci : partant à la suite de l’épisode 1 de Garance, écrire votre version alternative (alternative à l’officielle, qui est là ; http://critiqueslibres.com/i.php/forum/… )
(ça peut porter sur des détails comme ça peut n’avoir rien à voir, être délire total, ce sera juste votre version alternative)
En 3 à 5 000 signes, que vous posterez sous l’extension :
Faits alternatifs : xxxxxx(votre titre)
On se donne quoi, … 1h15 – 1h30 ?
Du coup il m'a fallu me replonger dans le MM7, je ne me souvenais plus que c'était aussi bien !
Donc version alternative à "l'officielle" d'Arundhati ...
Effectivement différente puisque tu développes un thème antagonisme ville/ruralité et celui d'un homme malheureux en couple et dans la campagne. Et tu nous agites gentiment sous les yeux l'apparition d'un escroc en herbe, Maximilien, ravi de rendre "service" à Fernand. Du coup nos braves pics-verts (en fait des pics épeiches) passent par pertes et profits.
C'est bien cohérent. Il y a du fond et c'est amusant de constater comment le MM7 aurait pu prendre un chemin différent. Oui, ben c'était le but de l'exo en même temps !
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre