Long courrier, tome 4 : Marée basse de Daniel Pecqueur (Scénario), Jean-Pierre Gibrat (Dessin)

Long courrier, tome 4 : Marée basse de Daniel Pecqueur (Scénario), Jean-Pierre Gibrat (Dessin)

Catégorie(s) : Bande dessinée => Sci-fi & fantastique

Critiqué par Leura, le 7 mai 2001 (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans)
La note : 9 étoiles
Moyenne des notes : 7 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 5 étoiles (41 286ème position).
Visites : 5 055  (depuis Novembre 2007)

Après la fin...

Difficile de résumer sans la trahir une BD aussi riche, fine et spirituelle.
Un savant fou déclenche la fin du monde par un gigantesque raz de marée qui dévaste tout. Tout? Non, puisque parmi les rescapés se retrouvent un jeune homme qui a le pouvoir de se changer en ours en peluche, une sirène, un Pierrot de comédie et quelques autres personnages tout aussi farfelus. Dans le décor de Venise dévasté par l'apocalypse, ils vont essayer de survivre. Et quand la Mort apparait, c'est sous la forme d'une très jolie jeune femme, qui rêve de devenir danseuse nue aux Folies Bergères! Elle promet à un personnage de ne pas l'emporter tant qu'il lui racontera des histoires drôles...
Un scénario étonnant, qui tient à la fois de la science-fiction, de l'humour, de l'histoire tendre, de que sais-je encore!
Cette très belle histoire bénéficie du dessin somptueux de Jean-Pierre Gibrat, dont Jules a fait une critique du merveilleux "Sursis", et qui n'a pas son pareil pour dessiner des héroïnes de papier qui feront rêver encore longtemps des vieux phallocrates libidineux comme moi.

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Etrange

5 étoiles

Critique de Julieh (, Inscrite le 2 octobre 2006, 43 ans) - 4 octobre 2006

Un couple de fou récupére une jeune navigatrice en détresse, non pas pour lui sauver la vie, mais pour lui prendre un objet qui leur permettra de mettre en marche "baby".
Pour ces savants foux baby va garantir la survie de la planète gràce à la destruction de l'humanité. cette machine est capable de déclencher un raz de marée qui sera 1 milliard de fois plus puissant qu'un tsunami.

Aprés cet apocalypse nous faisons la rencontre à Venise d'une siréne, d'un homme qui se transforme en singe en peluche, d'un enfant en pierrot, et de la mort.

J’ai surtout lu cette Bd car le nom de Gibrat figurait sur l'album. Après avoir lu "Le sursis" qui était vraiment excellent, touchant est assez réaliste, je pensais retrouver les mêmes qualités pour cette oeuvre et bien NON cette bd n'a absolument rien à voir, je ne m'attendais pas à lire de la science fiction.

Pour ma part l'histoire ne m'a pas intéressé, j'ai du mal à comprendre où les auteurs veulent nous emmener. Le début est pourtant intéressant et compréhensible et puis à la 23e pages on rentre dans un environnement différent et assez surprenant.

Les dessins de Gibrat sont décevants par rapport au sursis. On retrouve les personnages principaux brun aux yeux bleus et ces femmes aux formes généreuses. Malheureusement les dessins sont moins travaillés, mais sont tout de même agréable.

Un album assez spéciale et qui peu être appréciable surtout grâce aux dessins de Gibrat et si vous aimez les histoires étrange.

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