Adèle d'Aiguebrune, tome 2 : L'heure d'Elise
de Pascale Rey

critiqué par Flyingcow, le 22 mars 2005
(Paris - 49 ans)


La note:  étoiles
J'ai plus de kleenex
Quatrième de couverture

La Révolution et la Terreur ont dévasté la vie d’Adèle d’Aiguebrune, jeune noble ruinée des confins de l’Angoumois. Sauvée de la guillotine par son frère, devenu héros de la République, elle a vu périr la jeune Elise, sa pupille, qu’elle adorait. Qui a commis ce crime, que la fureur révolutionnaire n’explique pas seule, et pourquoi ?
Dans son vieux château délabré, Adèle s’interroge encore. Elle sait qui est cet homme, aujourd’hui puissant, qui veille secrètement sur elle, et qu’elle accepte de suivre dans le Paris bouillonnant et frivole du Directoire. Mais bientôt elle se sent étrangère, son cœur, ses racines et son honneur demeurent à Aiguebrune, dans ces solitudes où elle attendra celui qu’elle devrait haïr, mais qu’elle n’a jamais cessé d’aimer.

Mon avis

Et ben on aura pu esperer que les choses d’arrangeraient pour Adele dans ce deuxième tome, mais c’est pas le cas du tout, c’est une vraie écatombe autour d’elle, la maladie, les accidents, le suicide et en plus elle est ruinée grace a son frangin toujours aussi égoiste et elle doit vendre son domaine.

Adele ou comment ruiner sa vie en ne s’occupant que des autres.

Au point de vue historique, le bouquin est interessant. Il est toujours intéressant d’apprendre les us et coutume de paris après la révolution, quelle était la mode de l’époque, et comment ont vécu les aristocrates revenus d’exil.

J'ai même réussi a pleurer et ça ne m'enchante pas...