La bouffe est chouette à Fatchakulla de Ned Crabb, Sophie Mayoux (Traduction)

La bouffe est chouette à Fatchakulla de Ned Crabb, Sophie Mayoux (Traduction)

Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers

Critiqué par Toundra, le 19 février 2005 (Paris, Inscrite le 16 février 2005, 33 ans)
La note : 10 étoiles
Moyenne des notes : 6 étoiles (basée sur 4 avis)
Cote pondérée : 4 étoiles (50 455ème position).
Visites : 4 726  (depuis Novembre 2007)

Spongieux !!

Si vous aimez les bleds miteux du fin fond de la Floride…
Si vous aimez les gens crevant de trouille devant les superstitions…
Si vous aimez les héros qui passent leurs journées noyés dans la bière…
Si vous aimez les images glauques, les alligators, les marais putrides…

Si vous aimez les assassins diaboliques…
Si vous aimez les cadavres démembrés…
Si vous aimez les gens qui aiment les chats…

Si vous aimez les bons polards…
Si vous aimez les intrigues tortueuses…
Si vous n’aimez ni les flics, ni les curés…

Si vous n’êtes pas nés de la dernière pluie,
Et surtout si vous aimez l’humour aigre…

Il n’y a qu’à lire la 1ère phase…
« Oren Jake Purvis était le plus fieffé salaud du canton de Fatchakulla »
Et filer dans une librairie.

Dernier conseil : à lire à jeun…

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roman déjanté pour moment à tuer

3 étoiles

Critique de Clubber14 (Paris, Inscrit le 1 janvier 2010, 44 ans) - 8 mars 2017

Ce roman de Ned Crabb n'est qu'une continuité de clichés et de séquences complètement incongrues... Dans un petit bled paumé des Etats-Unis, des gens meurent. Mais ne meurent pas d'accident ni de mort naturelle. Non. Ils meurent démembrés et déchiquetés. Le shérif de la ville, un homme peu ragoutant qui n'aime rien ni personne (à commencer par sa femme), va s'entourer des citoyens les moins abrutis du canton car il faut le dire il n'y a pas d'habitant intelligent mais juste des moins crétins, pour mener sa petite enquête. Tout y passe, de Willy le Siffleur, une légende locale qu'on pourrait apparenter à un fantôme aux habitants qui seraient en délicatesse avec les morts. Un gourou, sorte de prédicateur, est également au centre de l'enquête policière....

Comment un ramassis de crétins du canton va-t-il réussir à résoudre cette affaire avant la police beaucoup plus "pointue" du canton voisin, à peine plus gros? Là va résider la question. Et la conclusion de l'enquête est des plus tordue... je vous laisse découvrir.... Enfin si c'est votre type de lecture parce que, franchement, ce n'est pas de la grande littérature, à peine de la littérature d'ailleurs et ni la forme ni le fond n'en vaut vraiment la chandelle... Petite lecture de vacances, si vous avez 3 heures à perdre...

Bienvenue chez les fous!

6 étoiles

Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 16 juillet 2008

J'ai découvert ce livre à l'occasion de sa publication en format poche au éditions Folio Policier (ISBN 2070357678), je ne connaissais pas du tout l'auteur et ce livre serait officiellement son seul roman. Va donc pour la surprise!
Ce n'est pas de la grande littérature, le style laisse par moments à désirer (mais je pense que la traduction n'est pas tout à fait étrangère à cela, il y a des expressions anglophones impossibles à bien traduire en français), l'intrigue est un peu tirée par les cheveux mais, ma foi, ça se laisse lire et ça offre même une tranche de détente si on ne prend pas tout cela trop au sérieux. Personnages et endroits sont caricaturaux au possible, nous sommes dans l'Amérique profonde des ploucs et dégénérés en tous genres, il se passe des choses bizarres et des gens se font déchiqueter par quelqu'un ou quelque chose. Willie le Siffleur dit la population, le shérif Beemis n'y croit pas un seul instant, mais il patauge un maximum dans ce marécage fait de sang et de superstitions. Doc Bobo et Lindwood viennent à sa rescousse; on ne peut pas dire que ces deux-là brillent par leur courage et leur intelligence...
Bref, un bouquin pas trop sérieux à prendre pour ça, une pause un brin absurde et amusante au milieu de polars qui se prennent parfois trop au sérieux.

Boaf...

3 étoiles

Critique de Manu55 (João Pessoa, Inscrit le 21 janvier 2004, 50 ans) - 20 février 2005

J'en garde pas un souvenir excellent, de ce bouquin, un arrière-goût de médiocrité. Cela fait longtemps que je l'ai lu, mais pas assez pour ne pas en garder un mauvais souvenir.
Ca arrive...

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