La maîtresse italienne
de Jean-Marie Rouart

critiqué par Veneziano, le 8 avril 2024
(Paris - 46 ans)


La note:  étoiles
La dernière conquête napoléonienne
Napoléon est exilé sur l'île d'Elbe, après son échec de Waterloo. il tente de revenir, tâte le terrain en Italie pour trouver des échappatoires, pour tenter un retour. Il s'évade de son île, et trouve une âme secourable, fort séductrice, une jeune aristocrate florentine, connue pour faire tourner toutes les têtes et amadouer les puissants. Une passion naît auprès de l'ancien souverain, mais vers quoi va-t-elle aboutir ? Et que veut cette mystérieuse comtesse Miiniaci ? Ce roman presque plus libertin que politique, consacré au héros vénéré par l'auteur est bien mené. Son Domaine d'intervention surprend, l'allante de l'amour et du pouvoir posant inévitablement des questions. Ce livre fait passer un bon moment.