On se souvient du nom des assassins
de Dominique Maisons

critiqué par Bernard2, le 21 août 2020
(DAX - 74 ans)


La note:  étoiles
La raison du plus fort...
Peu de temps après la séparation de l’Église et de l’État, un cardinal est sauvagement assassiné lors d’une réunion mondaine en région parisienne. On redoute un incident diplomatique, et très rapidement on trouve la coupable idéale : Justine, une femme de chambre présente dans l’hôtel où séjournait la cardinal.
Un écrivain publiant un feuilleton dans un quotidien, aidé d’un assistant (le narrateur de ce livre) va tout mettre en œuvre pour prouver l’innocence de Justine, et démasquer le vrai coupable, se heurtant parfois aux enquêteurs officiels.
Un thriller qui se lit sans ennui malgré ses 500 pages, si l’on passe volontiers sur des incohérences parfois un peu trop voyantes.