Noir comme l'amour. "22 nouvelles fantastiques"
de Collectif

critiqué par Antihuman, le 4 août 2019
(Paris - 41 ans)


La note:  étoiles
Sombres & insensées
MON AVIS

Recueil de nouvelles de sexe particulièrement pimenté comme on ne verra plus jamais aujourd'hui.. À cause du crétinisme correct actuel bien sûr. (La date de parution est de 1995.)

De plus l'argent n'est pas forcément la condition sinequanone mais plutôt la vengeance ou le besoin de se sentir "important". Voici mon honnête ressenti, je recommande donc en gros: et pour info celles du début sont les meilleures. Et ce livre explore tout comme de juste et pas seulement le côté huppé accepté par la novlangue de rigueur.

Il y en a aussi quelques unes qui ont la saveur des "contes de la crypte". Voilà, vous pouvez vous toucher les endroits de votre corps que vous ne montrez à personne. Ou pas.



RESUME EDITEUR

Stephen King, St. Kaminsky, etc... Noir comme l'amour Erotisme et fantastique, désir et terreur, amour et frissons... Vingt-deux des meilleurs romanciers américains de l'épouvante et du fantastique, au premier rang desquels Stephen King, se sont piqués au jeu d'écrire une nouvelle sur « l'amour noir ». Ils ont puisé au plus obscur de l'âme humaine, où se côtoient le fantasme, la pulsion de mort, la perversion. Ou bien, plus loin encore, dans les ténèbres du surnaturel. Il en résulte cette exceptionnelle anthologie, d'une surprenante variété de styles et d'inspiration. Vingt-deux histoires de chair, de sang et d'horreur ; une vision inédite de l'amour, troublé par la peur et les délices du tabou. Ces vingt-deux chroniques ténébreuses, qui semblent vouloir prouver qu'il n'y a point d'amour sans obsession, sont à déguster avec modération. Surtout si, en ce moment, vous aimez quelqu'un à la folie. Olaya Gonzalez, Le Matin (Lausanne). Un recueil où ne figure aucun texte médiocre ou tout simplement moyen, et qui décline les formes monstrueuses que peut prendre l'amour. Jacques Baudou, Le Monde.