Le don du roi
de Rose Tremain

critiqué par Karl glogauer, le 11 juin 2004
( - 49 ans)


La note:  étoiles
grandeur, décadence et rédemption de Robert Merivel
Après la rigueur de Cromwell, Charles II monte sur le trône pour un règne beaucoup plus débridé.
Séduit par son souverain, Robert Merivel, étudiant en médecine amoureux de la vie et de ses plaisirs, devient son bouffon et favori...
Un itinéraire original, pour un personnage très attachant, au coeur d'une époque très bien retranscrite
Très bien écrit, il est difficile d’échapper à son charme
Ne pas manquer l'adaptation cinéma, injustement méconnue