Le beau mystère
de Louise Penny

critiqué par Ludmilla, le 20 avril 2018
(Chaville - 68 ans)


La note:  étoiles
Un auteur à suivre
La quatrième de couverture présente correctement le livre sans en dire trop :
« Au coeur d’une forêt sauvage du Québec, à l’écart de la civilisation, vit une communauté religieuse que l’on croyait depuis longtemps disparue : les gilbertins. Ironiquement, la communauté qui a fait voeu de silence est devenue mondialement célèbre en produisant, quelques mois auparavant, un disque de chants grégoriens. Ce succès inattendu a bouleversé le quotidien des moines qui ont dû soudain faire face à l’afflux des touristes et des journalistes. Mais, à l’exception des membres de la congrégation, aucun autre être vivant n’a été admis dans l’enceinte de l’abbaye. Du moins jusqu’à ce que l’inspecteur-chef Gamache et son adjoint Beauvoir se présentent un après-midi devant le portail de l’imposante bâtisse. Leur billet d’entrée : un mort. Et pas n’importe lequel : l’homme retrouvé dans un jardin du monastère, le crâne fracassé, n’est autre que le chef de choeur et principal artisan du succès discographique des gilbertins.
Lors de l’autopsie, une feuille tombe de sa robe. Un étrange chant grégorien y est inscrit. La victime aurait-elle donné sa vie pour protéger ce document ?
Une chose est sûre : un homme de Dieu a bravé le sixième commandement. Reste à trouver lequel… »

Un excellent policier dans un lieu inattendu.

J’ai lu « Le beau mystère » parce que j’avais lu (mais où ?) que ce livre avait reçu plusieurs prix.
Mon seul regret est d’avoir découvert que, comme beaucoup de romans policiers, ce livre fait partie d’une série, l’inspecteur-chef Gamache et son adjoint Beauvoir étant des personnages récurrents. L’énigme du moine assassiné n’est donc pas la seule, ce roman contient aussi une autre intrigue ayant commencé dans un des romans précédents et n’étant pas résolue dans celui-ci…
Il ne me reste plus qu’à reprendre la série en commençant par le premier.