L'amour est une maladie ordinaire
de François Szabowski

critiqué par Veneziano, le 7 octobre 2017
(Paris - 46 ans)


La note:  étoiles
Un roman original mais glauque
François est angoissé de perdre l'amour de Marie, si bien qu'il fait croire à sa mort sous les rames du métro. Didier l'aide à faire croire à sa disparition, François prend une série de nouvelles identités, d'apparences et s'enfonce dans la marginalité, jusqu'au jour où il retrouve Marie. Puis il finit par comprendre que les choses n'ont pas évolué de la manière dont il croyait et tout tourne au glauque.
L'idée m'est apparue originale, bien que la descente aux enfers sociale s'avère un tantinet pénible à lire ; mais la fin m'est apparue bâclée et inutilement cruelle, alors qu'il y avait moyen pour les personnages de s'expliquer et de lever des incertitudes. C'est bien tenté, mais c'est dommage.