Tod Browning, fameux inconnu
de Pascale Risterucci

critiqué par Veneziano, le 21 septembre 2017
(Paris - 46 ans)


La note:  étoiles
Une atmosphère étrange dans le cinéma muet
Ne connaissant quasiment rien au cinéma muet, il m'a été conseillé ce livre qui m'a été prêté, au sujet de Tod Browning. Ce cinéaste américain s'est spécialisé dans le fantastique avec une profusion de vampires, dont le premier Dracula, et de personnages handicapés ou mutilés, tels des nains, des contorsionnistes, de vrais ou faux infirmes, l'un d'eux masquant ses bras dans un corset. Son univers connaît un certain nombre de monstres et une atmosphère passablement glauque, qui ne me donne que modérément envie, pour tout vous avouer.
Les deux tiers de l'ouvrage, environ, sont consacrés à l'environnement général de l'oeuvre du réalisateur, avant que, en fin de course, il soit présenté sa filmographie. Aussi la construction m'est-elle parue un peu curieuse. Mais il reste intéressant et assez bien fait, bien que la thématique générale me laisse un tantinet de marbre.