A la recherche de Livingstone
de Henry Morton Stanley

critiqué par Chene, le 6 mars 2016
(Tours - 54 ans)


La note:  étoiles
Dans les ténèbres de l’Afrique
A la fin du XIXe siècle, le New York Herald envoya Henri Morton Stanley à la recherche du docteur Livingstone, disparu en Afrique centrale depuis plus de deux ans.
Après bien des péripéties, c’est au bord du lac Tanganyika en Tanzanie, le 10 novembre 1871, qu’il retrouva le célèbre explorateur écossais.
Celui-ci était malade et sans ressources, assis sous un arbre dans un petit village ignoré. Henri Morton Stanley, lui-même fiévreux, crasseux, amaigri, prononça alors, dans un style tout britannique, cette phrase restée dans l’histoire : « Docteur Livingstone, I présume. »
Naîtra une amitié entre ces deux personnages d’exceptions, tous les deux dévorés par ce continent noir mystérieux.
Poussé par la fièvre de l’énigme des sources du Nil, Livingstone continuera ses travaux en Afrique et mourra au bord du fleuve Zambèze. Stanley retournera en Angleterre conter ses exploits.
Ces deux grands explorateurs ont marqué l’histoire du continent africain et de l’Europe.
C’est une aventure des plus fascinantes à travers ces troublantes contrées, qui au XIXe siècle, étaient encore totalement sauvages et inconnues des hommes blancs.