Une gueule comme la mienne
de Frédéric Dard

critiqué par Pierrot, le 30 décembre 2015
(Villeurbanne - 72 ans)


La note:  étoiles
Un panier de crabes.
Difficile de voir le jour dans ce roman de la nuit de Frédéric -Dard. Pas un personnage pour racheter l’autre. Cette histoire baigne dans l’huile comme le vilebrequin de sa Jaguar bleue, qui roulait aussi silencieusement que ce roman court, tournant comme une mécanique de précision jusqu’à ce que, ce c…, coupe le contact.
Un roman noir oui, mais aussi flamboyant que ces nuances noires des chevaux mustangs de John Huston dans les désaxés.