Ca ira mieux demain
de James Hadley Chase

critiqué par Antihuman, le 21 août 2014
(Paris - 41 ans)


La note:  étoiles
"Pas d'ordures de blancs ici !"
"On veut pas de noirs ici KKK." Le racisme, c'est comme les féministes hystériques et les machos balourds ça se trouve un peu de chaque coté, surtout dans le pulp qui veille à bien noter tout le monde ! Forcément car le bon polar ne supporte pas ces faux-derches qui parlent entre eux un language académique - quoique jamais vu dans la vie courante: d'autres auraient d'ailleurs parlé de ce "politiquement correct" angélique qui fait comme si il y avait les bons d'un coté et les méchants d'un autre...


Presque un débat philosophique actuel, pas mal pour ce bouquin de Chase (Tomorrow is a New Day) qui n'est certes pas le vrai dessus du panier de la collection mais qui se défend bien, j'ai bien aimé aussi les manipulations que des truqueurs y font à l'intérieur afin de bien monter les gens les uns contre les autres en s'aidant bien sûr de gros, très gros mensonges.

Vaille que vaille un plutôt bon récit pour quelque chose qui a, somme toute, l'âge de plus d'un quart de siècle.



résumé

Paradise City est en effet le paradis... pour la Mafia qui y glane son petit million et demi de dollards par moi en chantages, trafics de drogue et autres rackets. Qu'est-ce qu'un homme seul, même avec l'aide d'un bon copain, pouvait faire contre une multinationale comme l'Organisation, pour venger sa petite amie ? Mais avec de la persévérance on arrive à tout, même à se coincer les doigts dans de drôles d'embrouilles.