A comme Association, Tome 4 : Le subtil parfum du soufre
de Pierre Bottero

critiqué par Fleur-de-lyss, le 8 juillet 2012
( - 28 ans)


La note:  étoiles
La fin d'une association
Tant d'émotions en refermant ce livre qui, hélas, ne connaîtra jamais de suite!
On retrouve Ombe dans toute sa spontanéité et son enthousiasme. L'ultime héroïne de Bottero nous entraîne dans une aventure rocambolesque et drôle à souhait mais malheureusement inachevée. De nombreuses questions resteront en suspens et il faut espérer que Erik Lhomme se charge des réponses.
Ce tome s'inscrit dans la lignée du précédent avec toutefois une évolution de taille: Ombe est amoureuse. Si l'on regrettera que son amant soit très peu creusé, on appréciera en revanche de découvrir Ombe sous un nouvel aspect. Elle devient plus profonde, plus fouillée, elle se dévoile. Les émotions abondent, sans toutefois se subtiliser à l'action ni à l'humour.
Je conseille ce tome à tous les nostalgique de Gwendalavir qui découvriront sans doute avec autant d'émoi que moi les derniers mots:
"La vie vaut la peine d'être vécue. Toujours"