À minuit, les chiens cessent d'aboyer
de Michaël Moslonka

critiqué par Ndeprez, le 11 avril 2012
( - 48 ans)


La note:  étoiles
Un polar des corons...
J'ai acheté ce livre car l'histoire se deroule à Auchel petite ville du Pas de Calais que je connais puisque j'y suis né.Je trouvais amusant qu'un polar se déroule dans ce coin assez tranquille du 62.
Une bonne surprise... le capitaine David Blacke flic cynique au possible, parfois enervant avec ces remarques désabusées doit résoudre un meurtre d'un jeune homme connu pour ces idées néo-nazis.
Le rythme est bon , le personnage du flic attachant (comme le peut être le dr House , on aime le detester).
Quelques bons mots, histoire crédible, j'ai passé un bon moment à lire ce livre qui je dois vous l'avouer toutefois ne figurera pas dans mon top 10 annuel.
Mais cet auteur habitant la région Lensoise merite d'être soutenu et j'acheterai prochainement son nouveau roman qui est sorti dernierement et qui narre une nouvelle aventure du capitaine Blacke.