Les mouettes d'Ostende
de Patrick Devaux

critiqué par Catinus, le 11 mars 2012
(Liège - 72 ans)


La note:  étoiles
" C'est comme de la poésie "
Brève nouvelle d’une trentaine de pages, onirique, poétique. L’auteur nous y parle
d’Ostende,
de mouettes,
d’estran,
de café serré
d’horloge, de montre, de banc
d’une fille
d’un voyeur,
d’art et d’éternité.
Entends-tu la mer d’Ostende ? Entends-tu les mouettes ? As-tu revu la fille ?
Quelle heure est-il ?
Marie dit : « c’est comme de la poésie ! «

Extraits :

- Elle avait, en tout cas, nettement, les yeux gris. Un gris de ciel d’automne, à faire mourir d’amour un parapluie.

- Ou bien alors, l’Art n’est rien. Rien du tout
Un simple hasard
Dans ce cas, il faut le laisser choisir.

- La mer restait la même, tout en changeant à chaque seconde, fidèle au ciel, aux mouettes et à l’estran.