La petite fille qui aimait la lumière
de Cyril Massarotto

critiqué par Mcchipie, le 26 décembre 2011
( - 47 ans)


La note:  étoiles
5 étoiles. Sublime!
Quatrième de couverture :



Barricadé dans sa maison au cœur d’une ville déserte, un vieil homme prend des ris­ques fous pour recueillir une petite fille bles­sée.

L’enfant ne parle pas, elle ne pro­nonce qu’un mot : Lumière, elle qui a si peur du noir. Alors le vieillard parle, il lui raconte la beauté de la vie d’avant, les peti­tes joies du quo­ti­dien, son espoir qu’on vienne les déli­vrer. Il lui ensei­gne la pos­si­bi­lité d’un avenir, quand elle lui offre de savou­rer le pré­sent.

Cyril Massarotto explore avec toute la finesse et la pro­fon­deur à laquelle il nous a accou­tu­més depuis son pre­mier livre, Dieu est un pote à moi, la rela­tion filiale qui se noue entre ces deux êtres que tout oppose.



Mon avis :

Un coup de poing... Un véritable roman éblouissant... On arrive à suivre la rencontre de deux inconnus, à s'attacher à leur histoire. Le contexte est effroyable, mais la puissance lumineuse de ces deux personnages, de leur besoin de l'autre est extra. Pour moi, le meilleur roman de Cyril Massarotto.

"C'est grâce à l'obscurité que l'on apprécie la Lumière!" Cyril Massarotto