Le féminisme n'a jamais tué personne
de Florence Montreynaud

critiqué par Veneziano, le 22 octobre 2011
(Paris - 46 ans)


La note:  étoiles
Histoire d'un engagement
Florence Montreynaud, créatrice des Chiennes de garde, mais également historienne et écrivaine, vient expliquer, presque justifier sa démarche féministe, ancienne de quarante ans. Y recourir tient du plaisir, mais également de la nécessité : il s'agit de démontrer que le féminisme relève d'un objectif d'humanisme et de concorde, n'ayant pas pour but d'annihiler la féminité et de montrer une hostilité aux hommes, détenteurs malgré eux d'un système de domination.

Cette brève présentation de son engagement tend à prouver le bien-fondé de sa démarche, pacifique et bénéfique pour l'ensemble de la société. Elle permet de combattre, en peu de mots, des idées reçues, des clichés, voire des fantasmes négatifs. Elle est au moins aussi utile qu' Indignez-vous, de Stéphane Hessel.