Prends le temps qu'il nous faux, prends le temps qu'il nous vrai
de Clément Revel

critiqué par Mediabis, le 18 juillet 2011
( - 42 ans)


La note:  étoiles
Prends le temps qu'il nous faux, prends le temps qu'il nous vrai
Elle le voit, c’est lui… Ses mains trembles, son cœur palpite, elle ressent comme des papillons dans son estomac, elle le sait, elle l’aime. C’est lui, pas un autre.

Lui ? Il la voit, un an, un an déjà que leurs lèvres se sont rencontrées, effleurées puis embrassées. Un an qu’il est amoureux d’elle. Elle, et pas une autre.

Ils s’aiment ils en sont sûres. Mais un an plus tard, quand est-il de leur relation ? L’amour ne fait pas tout. Quand la routine s’installe, que les « je t’aime » deviennent banals, qu’advient- t ‘ils des sentiments réels et profonds de l’un et de l’autre ? Seuls eux-mêmes peuvent le savoir…

Sous forme de théâtre, Clément Revel narre l’histoire d’un jeune couple se remémorant le début de leur histoire d’amour et qui aujourd’hui est en proie aux doutes… Des moments d’incertitudes qu’un couple peut avoir et qui au final peuvent lui permettre de mieux repartir…