Le cri du passant
de Robert Le Meur

critiqué par Mélété, le 17 juillet 2011
( - 67 ans)


La note:  étoiles
L'incontournable de votre table de chevet à lire et à faire lire sans retenue.
« Viens mon fils, sortons des vestiaires où s’entassent nos peines et partons jardiner le monde. »
Le passant est un inconnu qui a besoin de nous comme nous avons besoin de lui.
Savoir d’où l’on vient, c’est pouvoir se situer et défier l’horizon. Il y a tant à voir et à vivre, des champs de blé mûr aux souvenirs ratés, de l’amour des rêves infinis aux maîtresses d’un jour. Ayons soif d’apprendre et de contempler le jour.

La poésie de Robert Le Meur est simple et douce comme la caresse du matin sur la peau endormie. Elle réveille les sens et, en toute innocence, appelle à la vie. À vivre ses passions, ses émotions et son destin. Les pieds dans le réel et l’esprit dans ses rêves, le poète trace un chemin, un sillon pour le passant que nous sommes et nous engage à cultiver un arbre de toute beauté: la sincérité.

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Que dire de plus que ce qui est écrit en quatrième de couverture ...
Sinon que d'une plume élégante et imaginative, l'auteur parle à notre subconscient et marque notre imagination ... Voyage en
un monde où les mots semblent plus concrets que tout ce qui nous entoure ...