critiqué par Imani, le 10 octobre 2010
(Toulouse - 43 ans)

La note: étoiles

Fébrilité.

Il a dû être beau le rêve qu'a fait cet homme écrivant ses nouvelles et se disant qu'il avait le "truc", qui fait de chaque plume qu'elle est unique.

Hélas!!!

Déception totale.
Non sur le fond mais sur le style.
L’auteur de ce recueil de nouvelles a beaucoup de choses à dire, à dénoncer à partager avec nous.
Mais... il s'y est très mal pris.

Il est originaire du Gabon, professeur d'université. L’instit est à sa première œuvre. Elle a certes, bien fait de sortir des tiroirs de l'auteur, mais une relecture s'imposait.

Il est impensable de donner à lire ce genre de chose. je dis chose, car l'œuvre est pleine d'erreur, fautes d'inattention, d'orthographe et de grammaire qui l'enlaidissent.

L'on espère en lisant le résumé fait par l'éditeur entrer dans un univers unique et apprendre des choses enrichissantes. On en apprend, certes, mais l'instit laisse à désirer.

Je referme le livre en mettant tous ces détails fâcheux pour une œuvre qui se veut unique, sur le compte de la précipitation et la fébrilité que ressent surement chaque auteur à l'idée de se voir publié sitôt son manuscrit accepté.

A ne pas lire. Cela vous donnera mal aux yeux.

Recueil en plein épanouissment

Contrairement à Imani qui jette l'ouvrage aux orties", ce premier recueil de nouvelles est une voie ouverte sur une dénonciation de la société. Le texte a eu un accueil favorable, car il se vend bien et a fait l'objet de plusieurs lectures dans les lycées et collèges des pays africains. Mais on connait Imani toujours mesquine et jalouse, n'est-ce pas Awa alias Imani. Relis le texte et tu trouveras qu'il y a des "fleurs" dans le "mal" que tu dénonces. je vous le conseillerais à nouveau, car elle ressemble à ton histoire d'ancien chef d'établissement... Mais c'est cela aussi la littérature qui se nourrit des contradictions et des velléités non scientifiques.
L'Instit. est à lire et à relire

Tata - - 38 ans - 2 octobre 2014