Cris d'une poétesse
de Priscillia Mpemba Ebotsi Aurole

critiqué par Imani, le 17 juin 2010
(Toulouse - 43 ans)


La note:  étoiles
Percutant!
Avec des vers percutants comme ceux-là, il y a de quoi se souvenir longtemps de cette jeune plume.

Elle écrit, je dirais crie, pour dire les maux, la bêtise, le despotisme qui enlaidissent la vie dans son pays natal le Gabon.

Les mots sont forts lorsqu’ils décident de pourfendre la misère qui enserre les âmes, les êtres et les empêchent d’éclore, de donner le meilleur d’eux.

Sous l’image du poète dont le lyrisme se meurt, Priscillia Mpemba Ebotsi jette un regard âpre sur l’intellect qui se noie dans un monde qui cloue toute création, toute innovation au pilori.

Ses vers laisse une trace indélébile comme l’image ces malades dans des hôpitaux sans médicament ; de ces pauvres dans un pays ayant des richesses.
A lire, à lire.