Resident Evil : Genesis
de Thomas Day

critiqué par Nance, le 27 juillet 2009
( - - ans)


La note:  étoiles
Pour les amateurs des jeux de la série et des films
« Je suis la reine du château, de la Ruche comme ils disent.
Je règne sur cinq cent trente-trois sujets que je peux surveiller à chaque seconde, où qu'ils aillent dans les salles et les allées du domaine. On trouve là une majorité d'informaticiens et de chercheurs en biologie, quelques secrétaires et une minorité d'ouvriers chargés du nettoyage et de l'entretien du domaine - pour la plupart noirs ou d'origine mexicaine.
Mon royaume est situé à huit cents mètres sous la surface de la Terre, à l'aplomb d'une grande ville universitaire de la baie de San Francisco. Raccoon City.
Je suis reine de droit divin ; le dieu bienfaiteur qui m'a couronnée est invisible, dénué de limites physiques. Il se nomme Umbrella Corporation. »

J’ai aimé lire ce livre, mais je suis partiale parce que je suis une fan finie des jeux vidéo. C’est la novélisation du premier film de Paul W. S. Anderson et je crois qu’il existe une autre version de Genesis écrite par Keith R. A. DeCandido (que je n’ai pas lu, alors, je ne peux comparer). Bon, les personnages sont tracés grossièrement comme dans les films d’action américains, les références sont surtout de la culture moderne, le langage est simple, l’histoire est simple (un virus s’est répandu dans un complexe scientifique souterrain, des humains vont devoir se battre contre des morts-vivants), mais j’ai aimé, à cause de l’action soutenue et de l’atmosphère, propre à la série de jeux vidéo.