Méli-Mélo
de Lewis Carroll

critiqué par Nance, le 16 août 2008
( - - ans)


La note:  étoiles
Fade
C’est le dernier magazine que Charles Lutwidge Dodgson (Lewis Carroll) a écrit en famille avec ses frères et ses soeurs. Charles Lutwidge Dodgson devient de plus en plus connu et quelques articles sont reprit dans d’autres magazines.

Dans Méli-Mélo, on retrouve un peu de tout, comme ses autres magazines : de la poésie, des articles... Même si il y a quelques bons éléments, l’ensemble est fade, je préfère Le Magazine du presbytère.

Mon texte « préféré » est Petit traité de civilité ou Le dîner en ville facile : « Nous qui répondons au goût du public, pouvons en conscience recommander ce livre à tous les dîneurs en ville qui ignorent totalement les usages du monde. Même si nous pouvons regretter que notre auteur se soit borné à des mises en garde au lieu de donner des conseils, nous lui devons lui rendre justice que rien de ce qu’il énonce ici ne saurait contredire les coutumes de la meilleure société. Les exemples qui suivent attestent une pénétration et une expérience d’une ampleur rare. »