La rêveuse d'Ostende
de Éric-Emmanuel Schmitt

critiqué par AntigoneCH, le 10 janvier 2008
(La Roche sur Yon - 51 ans)


La note:  étoiles
Des nouvelles...
Ce volume contient cinq histoires : La rêveuse d'Ostende, Crime parfait, La guérison, Les mauvaises lectures et la femme au bouquet. Dans La rêveuse d'Ostende, un homme se réfugie dans une ville du Nord pour se remettre d'une rupture sentimentale et se laisse happer par le récit de vie de sa logeuse où se mêlent érotisme, pouvoir et amour passionné. Dans Crime parfait, une femme tue son mari sur un malentendu. Dans La guérison, une infirmière se découvre belle dans les mots d'un malade et se révèle enfin à elle-même. Dans Les mauvaises lectures, un homme qui ne lisait pas de romans se laisse engloutir par un roman policier à l'occasion de vacances, entorse à sa règle qui lui sera fatale ! Dans La femme au bouquet, le narrateur remarque une femme sur la quai d'une gare, elle y attend depuis quinze ans quelqu'un, mais qui ?

J'ai découvert Eric-Emmanuel Schmitt avec son film, Odette Toulemonde, film que j'ai beaucoup apprécié. Voici donc le premier livre que je lis de cet auteur et je suis un peu mitigée. En effet, je dois dire que ces histoires là m'ont bien embarquée, et que je me suis laissée piéger avec plaisir dans les fausses pistes aménagées. Par contre, il y a ce style qui ne me nourrit pas, et cette impression de "pas assez" que je ne saurais expliquer. Pourtant, ces mots simples sont plutôt efficaces... le décor, les personnages sont là, bien vivants. Alors, je ne sais pas, voilà une lecture que je qualifierais de récréative ! A essayer bien sûr !
Cinq nouvelles brillantes ! 9 étoiles

Cinq nouvelles brillantes :
- « La rêveuse d’Ostende » : Emma van A, la vieille dame qui héberge quelques temps un écrivain, n’a jamais été mariée. Qui aurait pu penser qu’elle cachait, toutefois, un grand amour. Mais était-ce vraiment la réalité ou s’agit-il d’une mythomane ? ***

- « Crime parfait » : Gabrielle tue son mari lors d’une promenade dans les Alpes. Tout cela parce qu’elle s’est montée le bourrichon, influencée par une amie. ***

- « La guérison » : la relation amoureuse d’une infirmière et d’un patient aveugle et moribond.

- « Les mauvaises lectures » : de l’influence néfaste de la lecture de Best Sellers sur des natures sensibles. Trop drôle ! ***

- « La femme au bouquet » : mais qui était donc vraiment cette personne qui a attendu inlassablement pendant de nombreuses années sur le quai 3 de la gare de Zurich la femme au bouquet ?

Extrait :

* - Excusez-la, monsieur, ma nièce ne sait pas vouvoyer. En néerlandais, voyez-vous, on n’emploie que le tutoiement.
- Dommage de se priver d’un tel plaisir, sauter du tu au vous.
- Le plus grand plaisir serait d’user d’une langue où n’existe que le vous, non ?

* - Tu n’as jamais lu Chris Black ? C’est vrai que tu ne lis pas de romans. Ecoute, c’est extraordinaire. Ça se dévore d’une traite, tu salives à chaque page, tu ne peux pas lâcher le livre avant de l’avoir fini.
Maurice remarqua que Sylvie parlait de ce livre comme d’un plat.

Catinus - Liège - 72 ans - 27 novembre 2017


L'âme des femmes, leurs rêves et leurs secrets... 8 étoiles

Heureuse de retrouver Eric-Emmanuel Schmitt au faîte de son écriture.
Le recueil de nouvelles « La rêveuse d’Ostende » nous offre cinq nouvelles où l’auteur s’interroge à propos de nos rêves, de leurs entrelacs avec la vie réelle.
Part belle faite aux femmes, à la femme dans ce recueil.
Le recueil débute avec « La rêveuse d’Ostende » mais Emma rêve-t-elle ou a-t-elle toujours su dissimuler cette relation secrète qui la fait encore vibrer au jour de son dernier soupir.
Suivront ensuite Gabrielle et sa relation haineuse qui la pousse au pire.
Monsieur Schmitt mêle la trame du réel et de l’imaginaire et nous emmène loin, au revers de nous-même.
Il suggère les personnages et nous nous les représentons… quelle belle liberté nous laisse-t-il là… et pourtant quels tableaux précis naissent de ses mots.
Tendresse et fureur, rêveries et action, le tout savamment dosé pour entretenir le suspense, un soupçon d’âme en plus, le dosage est parfait pour une lecture heureuse, apaisante et divertissante.

Bafie - - 62 ans - 24 novembre 2015


Les secrets et la sensibilité des gens distants 8 étoiles

Ces nouvelles ont pour point commun, me semble-t-il, de traiter de la sensibilité, des secrets et difficultés amoureuses des gens timides, qui peuvent paraître lointains. Ce thème est traité avec pudeur et sensualité tour à tour, avec un suspense comme moteur. Ces nouvelles me sont donc apparues comme touchantes et intrigantes à la fois, avec une forme de respect pour ces personnages, malgré la tentation de la dérision au premier abord.
J'ai surtout apprécié la Rêveuse d'Ostende, la Guérison et la Femme au bouquet. Crime parfait et De mauvaises lectures me sont apparues plus ordinaires.
J'ai passé un bon moment avec cette lecture, que je recommande.

Veneziano - Paris - 46 ans - 25 août 2013


de belles petites histoires 7 étoiles

chacune de ces histoires a une particularité, un sentiment développé avec détails par EE Schmitt.
elles ont malgré tout quelques points faibles, l'histoire sur le "crime parfait" me semble un peu gros pour qu'une femme porte des jugements lourds de conséquences sur un simple témoignage.
Mais bon l'ensemble du livre est très bien écrit et on passe un très bon moment.

Gardigor - callian - 46 ans - 1 juin 2011


Très agréablement surprise 9 étoiles

J'ai pris ce livre sans savoir qu'il s'agissait de nouvelles, sinon je pense que je l'aurais laissé car ça faisait longtemps que je n'en avais pas lu. En fait, j'ai adoré La rêveuse d'Ostende et Les mauvaises lectures, et je suis ravie d'avoir pu me réconcilier ainsi avec le genre de la nouvelle "à chute".
Tout ceux qui ont envie de rêver peuvent trouver leur bonheur en lisant ce livre.

Flo29 - - 51 ans - 12 mai 2011


Un recueil pour rêver 7 étoiles

Encore un petit recueil de nouvelles sur l'importance que peut, peut-être que doit, prendre le rêve, dans la vie de chacun d'entre nous.
Des mots simples fluides qui comme chaque fois emportent le lecteur vers une réflexion qui commence à la fin de l'ouvrage, s'oublie et se reprend avec l'ouvrage suivant.
Pas de grands discours philosophiques ou moralisateurs mais comme les cailloux du petit Poucet, Eric-Emmanuel Schmitt nous laisse des messages, à nous de les voir glissés entre les lignes de ces nouvelles imaginaires... ou pas, et alors, peut-être de trouver ce recueil moins réussi que les autres, moins prenant. A vous de voir... et d'y réfléchir en passant à Ostende !

Moune - - 54 ans - 11 octobre 2010


Coup de coeur ! Oui j'avoue .. coup de coeur ! 10 étoiles

J'aimais déjà beaucoup cet auteur avant d'avoir commencé le livre et toujours cette appréhension avant un nouveau livre "pourvu que je ne sois pas déçue !..." Et non, pas déçue pour rien au monde. Bien sûr, certaines nouvelles me plaisent plus que d'autres. Le style est facile à lire, mais l'écriture reste riche. On aimerait quelque fois en savoir un peu plus à la fin de certaines nouvelles. Mais là, notre imagination fait le reste. "La rêveuse d'Ostende" et les autres nouvelles ne laissent pas indifférent (il me semble) et cela reste pour moi une qualité.
Donc, oui, je le conseille très fortement. Laissez vous embarquer dans le vie des personnages ! Bonne lecture !

Mandarine - - 52 ans - 3 juillet 2010


J'apprécie encore un peu plus cet auteur 7 étoiles

Très bon livre. J'ai aimé ces cinq nouvelles mais j'ai des préférences.

"La rêveuse d'Ostende" est très agréable à lire et j'aime beaucoup le fait que même à la fin on ne sait pas exactement ce qui est vraiment arrivé à l'héroïne.

"Crime parfait", là, j'aime la manière dont l'auteur décrit la femme et les raisons de son geste. Cependant, je trouve l'histoire un peu cousue de fil blanc car dès le début on devine en grande partie la fin.

Pour "La guérison", par contre, j'ai un sentiment mitigé. D'un côté, voir cette jeune femme prendre confiance en elle est vraiment beau mais de l'autre la fin me déçoit un peu.

"Les mauvaises lectures", une des nouvelles que j'ai préférées, j'aime les réflexions du personnage et la façon dont il va se laisser prendre par un livre tout au long de l'histoire. Fin surprenante en plus. J'ai beaucoup aimé.

La femme au bouquet me laisse un petit goût d'inachevé.

Encore une belle découverte pour moi de cet auteur. Vivement les prochains livres.

Lalie2548 - - 39 ans - 29 mai 2010


5 nouvelles 8 étoiles

5 histoires. 5 histoires de relations femmes /hommes d’une grande originalité. C’est une bonne idée que d’avoir intitulé le recueil du titre de la première nouvelle, car c’est indéniablement la meilleure.
La « rêveuse » d’Ostende passe pour une vieille fille qui n’a pas vécu aux yeux de son entourage. Et pourtant, un écrivain en rupture amoureuse – Eric-Emmanuel Schmitt ? – qui vient loger chez cette Anna van A. en doute. En doute tellement qu’il va se mettre en tête, et de découvrir Ostende (et nous avec) et d’avoir le fin mot de l’histoire d’Anna van A.. Fin mot qui n’est ni un vain mot ni un petit mot. Une histoire débridée et surprenante, pas loin du rêve onirique.
Quelque part, la troisième : « La guérison », est dans un type similaire de relation femme/homme puisque E.E. Schmitt nous raconte une infirmière fortement complexée dans sa relation aux hommes qui va guérir de son complexe au contact d’un accidenté hospitalisé aveugle et quasi paralysé. Ses mots à lui sauront la toucher là où elle pourra enfin se reconnaître, ou même plus simplement se connaître.
« Crime parfait » et « Mauvaises lectures » évoluent davantage vers le tragique. Un peu comme des polars avortés qui auraient fini en nouvelles, et qui contiennent un drame. Elles restent originales mais en retrait, dans l’imagination, par rapport aux deux déjà citées.
La dernière : « La femme au bouquet » est dans le domaine de l’étrange plutôt. Comme un cauchemar ouaté qu’on essaierait de raconter sans vraiment le comprendre ni surtout en connaître tenants et aboutissants. Etrange.
Probablement pas l’ouvrage le plus marquant d’Eric-Emmanuel Schmitt, mais le titre éponyme, la première nouvelle, restera probablement dans ma mémoire.

Tistou - - 67 ans - 24 mai 2010


belles nouvelles 9 étoiles

Je ne suis pas très amateur des nouvelles mais force m'est de reconnaître la grande qualité de ce livre. Un style pur et aéré... ça se lit vite et avec plaisir.
Pour la Rêveuse d'Ostende l'auteur parvient à raconter une histoire assez complexe (essayez de la raconter sans omettre un détail crucial et vous comprendrez l'exercice) comme un conte de fées.
C'est très beau.

Monocle - tournai - 64 ans - 10 mai 2010


humain... 6 étoiles

cinq relations homme-femme, différentes les unes des autres, l'humain dans toute sa fragilité. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de tendresse dans ces récits. Des histoires courtes, des flashes, il faut aimer. Je partais avec un a priori défavorable, cinq histoires en un livre! finalement je crois que ce sont de belles histoires, humanistes et tendres.

Pat - PARIS - 60 ans - 22 mars 2010


Quand l’imaginaire devient réel 7 étoiles

Le point commun entre ces cinq nouvelles est bien la prise de conscience de la frontière parfois très floue entre l’imaginaire et la réalité.
Si dans la première nouvelle (La rêveuse d’Ostende) et dans la dernière (La femme au bouquet), le mystère ne sera pas véritablement éclairci, dans la troisième (La guérison) on reste étonné et dubitatif, et dans les deux autres (Crime parfait, et Les mauvaises lectures), tout est d’une logique implacable, démontrée… mais qu’on ne comprend que tout à la fin.
Finalement, à quoi tient le hasard ?...

Bernard2 - DAX - 74 ans - 4 février 2010


OSTENDRE 7 étoiles

Ah!... le charme d'Emma Von A. Je dois avouer qu'en lisant ces nouvelles, j'ai littéralement été subjugué par la charisme de l'héroïne de la première nouvelle d'EES, dont c'était pour moi le premier livre que je lisais...

La première nouvelle (qui donne d'ailleurs son nom au livre) est vraiment très originale tant dans son thème que dans le déroulement des faits, et bien que l'on voie la chute arriver de loin (comme dans toutes les autres nouvelles de ce livre d'ailleurs), c'est de loin la plus belle du livre... D'ailleurs la véritable héroïne n'est-elle pas d'ailleurs plutôt la ville d'Ostende, tant les descriptions de cette ville par l'auteur sont belles, nettes, justes, précises, précieuses...

Les autres nouvelles sont également à découvrir, surtout la deuxième "Crime parfait" et la troisième "La guérison". Les deux dernières étant un ton en dessous "Les mauvaises lectures" et "La femme au bouquet" auraient mérité plus d'épaisseur, plus de développement au niveau de l'intrigue et des personnages plus étoffés notamment au niveau psychologique.

Et oui... je dois l'avouer, j'ai beaucoup aimé le style simple, mais jamais simpliste, et direct de l'auteur, qui n'est pas sans rappeler celui de Jean-Paul DUBOIS d'ailleurs, avec cette façon de regarder les personnages et ensuite de nous les raconter, de nous les rendre attachants, le tout sans jamais les juger...

Seules quelques lourdeurs, quelques redondances dans l'écriture, et beaucoup trop de détails inutiles, m'ont, parfois, empêché de profiter pleinement de la beauté de ces nouvelles, mais bon je suppose que ce n'est que partie remise...

Septularisen - Luxembourg - 56 ans - 29 septembre 2009


Très belles nouvelles 9 étoiles

Un très bon moment de détente, des très belles histoires

Mu1109mu - - 52 ans - 23 septembre 2009


La cruauté du destin 8 étoiles

Dans la collection précédente de nouvelles (Odette Toulemonde), les textes étaient courts, réduits à leur plus simple appareil, dans le pur style épuré mais incisif de Schmitt. Ici, nous sommes à l’opposé. Quatre des cinq nouvelles sont longues, parfois embourbées dans des détails inutiles. Par contre, ceci permet de nous enfoncer mieux dans l’histoire et savourer encore plus les chutes inattendues.

Comme toujours, le drame est au cœur des histoires d’EES et c’est par lui que l’on porte un regard sur notre propre parcours de vie. Cette fois, j’ai trouvé que le malheur était pernicieux. Le sort des pauvres personnages – soit celle que l’on considère folle, celle qui n’a jamais connu l’amour par manque de confiance, celui qui rejette le plaisir de la littérature populaire et celle qui se laisse manipuler par les autres – est particulièrement triste et souvent méchant.

Ceci n’enlève rien à la qualité des nouvelles. La fiction n’existe pas seulement que pour nous remonter le moral.

Aaro-Benjamin G. - Montréal - 54 ans - 30 septembre 2008


un vrai bonheur... 10 étoiles

Alors que ,d'habitude, je ne suis pas très friande de nouvelles, j'ai adoré ces cinq récits (surtout les trois premiers) qui mettent en évidence la puissance de l'imagination...
Depuis la vieille fille solitaire qui vit du souvenir (rêvé ?) d'un amour passionné et sensuel jusqu'à la petite infirmière complexée qui se révèle à elle-même à travers le "regard" d'un patient aveugle en passant par l'épouse tendrement aimée qui doute de l'amour de son mari... A travers ces personnages excessifs, c'est un peu de nous-mêmes que nous retrouvons, avec nos rêves, nos illusions, nos complexes, nos peurs... ces images souvent infidèles de la réalité...
Dans un style simple mais efficace, ce recueil n'est pas seulement récréatif. Il donne à penser ... longuement !

Minouga - - 75 ans - 19 août 2008


Perplexe... 7 étoiles

On se laisse emporter par la lecture comme d' habitude avec EES . Il nous décolle de notre réalité quotidienne mais après avoir fermé le livre on reste perplexe pourquoi fait -il allusion à la maladie et à la mort dans chaque nouvelle ? Si son style transporte , ses analyses tombent justes les chutes des nouvelles déçoivent; pour ma part elles me dérangent .Mais en aucun cas je ne regrette de l'avoir lu!

Catherine64 - - 54 ans - 9 mars 2008


Un peu amer cette lecture... 6 étoiles

Les nouvelles sont mignonnes, un peu grave, les personnages sont authentiques, ces petites bonnes femmes déterminées... Mais bon sang, qu'arrive-t-il à EES, il nous a habitué à beaucoup mieux. En comparaison de ces romans tel que l'évangile selon Pilate ou la part de l'autre, ce recueil de nouvelles est vraiment pauvre. A croire que l'éditeur avait commandé pour noël un bouquin pour assurer son chiffre. Je ne dis pas que c'est nul, au contraire, c'est agréable à lire, mais c'est de l'ersatz de Schmitt, c'est assez pauvre tant au niveau des histoires que du style. Les nouvelles commencent toutes bien, mais les chutes sont vraiment plates, voire prévisibles... Cela me fait vraiment penser à de la littérature de pognon, 350 pages qui tiendraient dans une petite centaine. Son livre pourrait faire l'objet de sa nouvelle : "mauvaises lectures", beaucoup d'arbres pour pas grand chose...

Soit dit en passant, il est agréable à lire, rapide, mais autant attendre sa sortie en poche et se le réserver pour passer un moment agréable au bord de la plage. N'en tenons pas rigueur, mais attention monsieur Schmitt à ne pas tomber dans de la littérature de supermarché, vos livres n'ont pas habituellement place au milieu des saucissons et des couches bébé...

Luc ingrand - - 41 ans - 3 mars 2008


Très différent 10 étoiles

J'ai adoré ce recueil de nouvelles.Une fois encore E E Schmitt nous envoie dans un monde où on ne peut que se laisser porter par la poésie, la fragilité des personnages et la tendresse qui se dégage. Lecture facile et histoires attachantes

Campanule - Orp-Le-Grand - 62 ans - 13 février 2008


nouvelles amusantes et spitituelles 8 étoiles

" La rêveuse d' Ostende" comme les autres nouvelles suivantes de l 'auteur m'ont beaucoup amusé car l 'humour et la tendresse d'Eric Emmanuel Schmitt font merveille ..un vrai bonheur de lecture

Francesco - Bruxelles - 79 ans - 4 février 2008