Perry Rhodan, tome 56 : La Mort de Mécanica
de Clark Darlton, Karl-Herbert Scheer

critiqué par SdS, le 29 août 2001
(Bruxelles - 54 ans)


La note:  étoiles
La mort de Mécanica ou à la recheche de l'origine des Biopsis
Lors d'une mission apparemment classique, un croiseur de la flotte solaire se retrouve face à un astronef étranger démesuré.
De par sa taille et son architecture, elle semble contredire toutes les lois pratiques des ingénieurs de l'Empire Arkonido-Terrien. Cette Nef composite est dirigée par des Biopsis, des robots dotés de plasma nerveux leur conférents des sentiments étranges: la haine envers tout ce qui est organique et la compassion envers tout ce qui est mécanique.
Dotés d'une technologie et d'une puissance phénoménale, ils mettent en déroute le plus puissant des cuirassés de la flotte terrienne. Après quelques péripéties durant lesquelles les mutants seront fort sollicités, les Terriens mettent en fuite la nef composite.
Rhodan pense trouver l'origine de cette race sur Mécanica. Pour se faire le Terriens mettent au point des psycho-neutralisateurs qui annihilent l'émission des ondes cérébrales détectées par les Biopsis. Les Terriens peuvent ainsi se faire passer pour 'La vie Réelle', c'est à dire une vie mécanique.
C'est là que les Invisibles, une race extra-terrestre mal connue, semblant appartenir à une autre dimension ayant des interférence avec la nôtre, refont leur apparition. Un combat Titanesque s'engage. Les biopsis ont le dessus et les Terriens assistent en spectateur à la destruction des vaisseaux 'Invisibles'. Ils arrivent cependant à mettre au sol une de ces nef et à la découper pour la ramener sur Terre afn d'y étudier la technologie des Biopsis.
C'est de justesse qu'ils quittent Mécanica dévorée par un incendie nucléaire qui consumera Mécanica pour la transformer en une éphémère Nova.