Effaceur (L'), tome 3 : À trop monter on se fait descendre!
de Richez (Scénario), Henri Jeanfaivre (Dessin)

critiqué par Septularisen, le 3 juillet 2007
(Luxembourg - 56 ans)


La note:  étoiles
JAMAIS DE TEMOINS…
Voici donc le tome III des aventures de notre tueur à gages préféré, toujours scénarisé à merveille par Hervé RICHEZ et dessiné de main de maître par Henri JENFEVRE, les couleurs étant toujours aux mains de Pierre SCHELLE.

La BD fait toujours preuve d’autant d’imagination dans le scénario et les gags sont toujours d’un excellent niveau, la qualité ne se perd pas d’épisode en épisode et est toujours au rendez-vous.

L’imagination du scénariste semble ne pas avoir de limite, ansi p. ex. pour «éliminer» un dompteur de lions, Steel remplace son tube de gel coiffant par de la mayonnaise… ce qui bien sûr occasionne quelques problèmes quand le dompteur glisse sa tête dans la gueule du lion…

On se plait à suivre et à aimer les aventures de Steel O. Reynolds toujours aussi appliqué à «exécuter» ses contrats pour la plus grande satisfaction de ses clients.

On retrouvera dans cet épisode comme dans le tome II les personnages de Quentin , le fils adoptif et balourd de Steel, (toujours aussi occupé à faire disparaître les cadavres en chantant du Frank SINATRA) mais aussi Larry Luckfull (que comme toujours Steel essayera en vain d’assassiner), ou encore Famas le marchand d’armes.

Les classiques «forfaits» pour exécuter les contrats sont toujours là, que ce soit le forfait «sculpture», «last will» ou «crescendo»… ce qui occasionne encore plus de gags hilarants…comme p.ex. la dernière chance accordée à une victime que l’on enterre dans un trou rempli de ciment et qui n’est autre qu’un… masque et un tuba, et la deuxième fois que Steel remet ça, la dernière chance est… un masque et des bouteilles d’oxygène.

On le voit donc, chaque tome nous réserve son lot de surprises et la série est à suivre…