Goodnight, Irene
de Jan Burke

critiqué par Mademoiselle, le 23 avril 2007
( - 36 ans)


La note:  étoiles
Le début d’une série passionnante
Irene Kelly, journaliste, est effondrée. Son mentor et ami, O’Connor, vient d’être tué dans l’explosion de sa maison. Malgré les mises en garde de Franck, le policier chargé de l’affaire, qui est une de ses vieilles connaissances, elle plonge le nez dans les enquêtes qu’il menait, notamment l’énigme d’une jeune fille massacrée et défigurée qu’il essayait de résoudre depuis 35 ans.

Les enquêtes d’Irene Kelly sont un savant mélange. Il y a un équilibre entre la vie privée de la journaliste et l’enquête, entre l’humour et l’horreur. Chacun y trouve son compte et j’ai été complètement emballée par cette série.

Pas une page d’ennui, pas de longueur, mais une narration trépidante de fusillades, poursuites en voiture, etc, entrecoupé de discussions avec le chat, de disputes et de réconciliations avec la sœur, de larmes et de rires. La vie, quoi.

Au fait, Jan Burke est une femme et non un homme comme je le pensais en achetant ce livre.