La Mamelouka
de Robert Solé

critiqué par Bernard2, le 17 avril 2007
(DAX - 75 ans)


La note:  étoiles
Un roman passionnant
Fin du XIXème et début du XXème en Egypte. Emile Touta, photographe rencontre Doris (la Mamelouka), peintre, et l’épouse.
Doris fait fi des convenances de l’époque, se met à faire de la photographie dans l’atelier du couple (elle ose photographier les hommes !), et réussit à s’imposer par son talent.
Cette réussite n’est pas du goût de tous dans cette société aux principes rigides. Son mari est jaloux de son succès.
Si vous avez lu « Le Tarbouche », commenté sur Critiques Libres, vous retrouverez avec plaisir le même cercle familial (mais en remontant le temps), et le même contexte géographique.
Le Tarbouche a reçu un prix littéraire. La Mamelouka d’après moi lui est supérieur, mieux écrit, mieux construit. On se passionne pour cette histoire.