Le Chat, tome 13 : Le chat a encore frappé
de Philippe Geluck

critiqué par Veneziano, le 31 décembre 2005
(Paris - 46 ans)


La note:  étoiles
Du bon de l'absurde
C'est le premier album du Chat que je lis. Philippe Geluck aime bien l'humour absurde, l'humour noir et l'humour scato (la vache sacrée qui lâche une grosse bouse), et les blagues de cul, plus ou moins fines (après les pin's, les couill's).
Sinon, le Chat apparaît généralement comme un personnage naïf à l'humour bon enfant.

L'une des meilleures de l'album consiste à faire demander au Chat à une femme qui danse avec lui et qui lui dit ne jamais coucher le premier soir si elle couche le dernier, auquel cas ils pourraient très bien ne pas se revoir le lendemain.
Je sais, la phrase ci-dessus est un peu alambiquée, c'est pour vous inciter à lire le livre. La blague en question est bien.

On retrouve bien la personnalité du chroniqueur qui sévit auprès de Laurent Ruquier et Michel Drucker sur Europe 1 et France 2.