Killdozer / Le viol cosmique
de Theodore Sturgeon

critiqué par Pendragon, le 26 décembre 2005
(Liernu - 53 ans)


La note:  étoiles
Mwouais...
Une entité étrangère (non terrestre) se retrouve coincée sur une île, enfermée sous des rochers. Une équipe est chargée de construire un petit aéroport et, lors des excavations, libère fortuitement la « chose ». Celle-ci se précipite alors dans le premier bulldozer qu’elle trouve et sème la panique et la mort sur son passage… Et quand je dis « dans », je veux bien dire « au sein de tous les atomes d’acier qui constituent le bulldozer en question ». Il s’agit donc bien d’un roman de SF classique de « machine-vivante ».

Se reportant dans le contexte de la science-fiction telle qu’elle existait en 1944, ce court roman a peut-être eu quelque succès, mais il faut dire qu’à la lueur de ce que nous connaissons aujourd’hui, il n’en reste pas grand-chose !
il se parodie lui même? 3 étoiles

Très, très mauvais... deux récits dont les titres résument le mauvais goût de la chose: Killdozer et Le viol cosmique.
Il réunit les plus mauvais travers de Lovecraft et Stephen King dans ces deux histoires, ça sonne comme un exercice raté pour cet écrivain capable du meilleur (cristal qui songe, les plus qu'humains).
Ma note de 1.5 tient compte de la curiosité qui m'a poussé vers cet ouvrage et de mon attachement à cet auteur, c'est pour dire.

Magicite - Sud-Est - 45 ans - 16 septembre 2011