Septularisen

avatar 01/07/2020 @ 17:22:08

Tu remarqueras que j'ai écrit "aujourd'hui" car je pense que leurs choix intègrent de plus en plus des critères qui n'ont rien à voir avec la qualité littéraire. Cela ne veut pas dire que tout est à jeter non plus .Je veux juste dire que le Goncourt n'est pas une assurance de qualité et qu'il est hélas largement surévalué!


Je pense que le prix Goncourt, comme n'importe quel prix littéraire ä ses limites et il ne faut pas lui en demander plus que humainement possible... Comment juger si un livre est un chef d'oeuvre ou pas? Surtout sans avoir le recul nécessaire? Et parfois même les moyens nécessaires?

C'est un peu comme quand Feint et Stavroguine reprochent a l'Académie Suédoise de ne pas avoir donné le prix Nobel ä Franz KAFKA, Marcel PROUST, Robert MUSIL, James JOYCE ou bien encore a Cesare PAVESE?

Mais comment récompenser deux écrivains dont toute l'oeuvre n'a pas été publiée de leur vivant? Et ou leur grandeur littéraire est apparue bien après leur mort? (Marcel PROUST, Robert MUSIL), un qui n'a quasiment rien publié de son vivant? (Franz KAFKA), un qui n'a jamais été signalé à l'Académie Suédoise, même pas par les autorités de son propre pays? (James JOYCE) et un qui a tragiquement disparu a 41 ans? Soit bien avant d'avoir construit son oeuvre? (Cesare PAVESE)...

Myrco

avatar 01/07/2020 @ 18:31:10

Tu remarqueras que j'ai écrit "aujourd'hui" car je pense que leurs choix intègrent de plus en plus des critères qui n'ont rien à voir avec la qualité littéraire. Cela ne veut pas dire que tout est à jeter non plus .Je veux juste dire que le Goncourt n'est pas une assurance de qualité et qu'il est hélas largement surévalué!



Je pense que le prix Goncourt, comme n'importe quel prix littéraire ä ses limites et il ne faut pas lui en demander plus que humainement possible...



OK mais justement il me semble qu'il n'est pas tout à fait perçu comme n'importe quel prix littéraire et qu'il bénéficie à tort d'une certaine primauté dans le paysage littéraire français (voir les tirages qu'il engendre), et c'est ce qui m'agace.

Septularisen

avatar 01/07/2020 @ 22:30:16
OK mais justement il me semble qu'il n'est pas tout à fait perçu comme n'importe quel prix littéraire et qu'il bénéficie à tort d'une certaine primauté dans le paysage littéraire français (voir les tirages qu'il engendre), et c'est ce qui m'agace.


M'ouais... Disons surtout que c'est le prix littéraire le plus prestigieux de France, ou en tous les cas effectivement celui qui fait vendre le plus... Après...

Un jour, un journaliste français demandait a l'ancien académicien suédois M. Gunnel VALLQUIST pourquoi le Prix Nobel de Littérature "marchait si mal"? (c'était l'avis du journaliste, eihn!...)...

Et voici ce qu'il a répondu : (...) Votre prix Goncourt, cette foire d'empoigne des éditeurs, est encore plus injuste puisque sa liste depuis les origines comporte 80% de... - comment dites-vous en français? - de cloches? (...)

En conclusion, je dirais ce que j'ai dit dans un autre forum quand certains on crié au scandale quand M. Jean d'ORMESSON a été publié dans la Pléiade : "Personne ne vous oblige à le lire, si ça ne vous intéresse pas, si ça ne vous plaît pas... Et bien ne l'achetez pas"...

Saint Jean-Baptiste 02/07/2020 @ 11:06:20
Bonjour SJB,

Tu remarqueras que j'ai écrit "aujourd'hui" car je pense que leurs choix intègrent de plus en plus des critères qui n'ont rien à voir avec la qualité littéraire. Cela ne veut pas dire que tout est à jeter non plus .Je veux juste dire que le Goncourt n'est pas une assurance de qualité et qu'il est hélas largement surévalué!
Bonjour Myrco, parlons livres, ça nous changera…;-))

Je me suis amusé à relire les critiques des cinq derniers Goncourt.
En commençant par le dernier :
« Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon ».
Les critiques sont bonnes et certains critiqueurs, pourtant difficiles, donnent même 5 étoiles.
« Les enfants après eux ».
Les critiques sont couci-couça mais pas vraiment mauvaises, et certains l’ont même plutôt apprécié.
« L’Ordre du Jour » est, m’a-t-on dit, un livre excellent et les critiques sont bonnes. Je l’ai sur ma pile de LAL. Je pense que Eric Vuillard, comme historien, est assez fantaisiste mais, il est amusant à lire et il écrit très bien.
« Chanson douce » est, apparemment, pas très bon ; mais certaines critiques ne sont pas mauvaises. Disons que c’est un Goncourt un peu raté.
« Boussole » est, apparemment, controversé. Mais certains critiqueurs l’ont trouvé excellent.
480 pages ! Et on dit que le Goncourt n’aime pas les gros bouquins…

Je suis remonté jusqu’au 10ème : « La Carte et le Territoire ». Évidemment, très controversé ! c’est du Houellebecq… Je déteste ce qu’il écrit mais il faut reconnaître qu’il tient le coup, il est plus qu’une mode et, à mon avis, il méritait bien un Goncourt pour l’intérêt qu’il suscite.

Je ne vais pas faire les commentaires des autres parce que c’est trop long ; mais, finalement, je reste sur mon impression que les Goncourt se situent quand même dans le haut de gamme.
Mais tu me diras peut-être que le haut de gamme n’est, actuellement… pas très haut ? ;-))

Saint Jean-Baptiste 02/07/2020 @ 11:16:26
Bonjour SJB,
Personnellement je n'y mettrais pas Les Bienveillantes que je n'ai pu achever mais j'y reviendrai car je l'avais acheté à sa sortie et je déteste ne pas terminer un ouvrage même s'il me déplaît.

Tu vois, Myrco, Les Bienveillantes est le type du livre qu’on aime ou qu’on déteste.
Mais je pense que c’est la preuve que c’est un grand livre. Il ne laisse personne indifférent.
Pour moi, c’est un des meilleurs livres que j’aie lus. Je connais des gens qui l’ont lu deux fois d’affilée et d’autres, comme toi, qui ne sont pas arrivés au bout.
C’est bon que je suis un grand féministe, sinon, je dirais que ce n’est pas vraiment un livre pour les dames… ;-))

Don_Quichotte
avatar 02/07/2020 @ 20:44:36
J'ai lu l'Ordre du Jour, qui n'est pas inintéressant mais qui fait parti de cette cohorte de livres qui obtiennent des Prix parce qu'ils évoquent la guerre.

Saint Jean-Baptiste 04/07/2020 @ 10:51:38
... cette cohorte de livres qui obtiennent des Prix parce qu'ils évoquent la guerre.
La guerre peut faire un beau sujet de roman et c’est surtout le comportement des hommes pendant la guerre qui est intéressant. Je pense que c’est normal que ce genre de romans reçoivent des prix.
C’est en tout cas plus intéressant que tous ces livres où les auteurs parlent d’eux-même, de leur enfance, de leur papa, de leur maman, de leurs papys et mamys…
Mais tous les goûts…

Don_Quichotte
avatar 04/07/2020 @ 17:36:54
Que Claude Simon, Céline, Genevoix, Malraux ou Semprùn évoquent la guerre et les hommes (Arma virumque cano) me passionne. Qu'un écrivain de polars s'amuse à des fantasmagories sur les gueules cassées, ou que d'autres s'excitent sur les nazis et le mal absolu parce que ça fait vendre, j'ai beaucoup plus de mal. En somme, ce n'est pas le sujet qui me déplait, c'est la manière dont on le traite, et pourquoi l'on décide de s'en emparer.

Saint Jean-Baptiste 05/07/2020 @ 10:59:46
(...) En somme, ce n'est pas le sujet qui me déplait, c'est la manière dont on le traite,
Oui, c’est évident mais on peut dire ça de tous les sujets. Moi ce qui me déplaît c’est cette littérature actuelle où les auteurs s’épanchent sur leur passé si difficile, sur leurs ancêtres si misérables… De quoi faire pleurer Margot, le monde est trop z’injuste, n’est-il pas !

Don_Quichotte
avatar 05/07/2020 @ 11:28:06

Oui, c’est évident mais on peut dire ça de tous les sujets.


Déjà, non, puisque des sujets peuvent me déplaire intrinsèquement. Et puis celui-ci, comme je le disais, est le plus beau pourvoyeur de prix en tout genre. De plus, se faire de l'argent en brodant sur les horreurs de la guerre depuis son canapé me semble plus méprisable que d'en gagner en racontant sa propre vie, si médiocre et inintéressante fut-elle.

Tu n'aimes pas les geignards, et moi non plus. Mais j'aime encore moins les autres.

Myrco

avatar 05/07/2020 @ 15:34:44
@ SJB
Je reviens avec retard à nos échanges du 2.
;; mais, finalement, je reste sur mon impression que les Goncourt se situent quand même dans le haut de gamme.
Mais tu me diras peut-être que le haut de gamme n’est, actuellement… pas très haut ? ;-))


J'aurais peut-être pu spontanément te faire cette réflexion en effet;-))
Ce que je pense en réalité c'est qu'une littérature française de qualité existe encore loin des côteries qui encensent souvent la médiocrité et des grands éditeurs, mais que malheureusement elle ne bénéficie d'aucune visibilité dans le champ médiatique courant.

Myrco

avatar 05/07/2020 @ 16:12:01
Bonjour SJB,
Personnellement je n'y mettrais pas Les Bienveillantes que je n'ai pu achever mais j'y reviendrai car je l'avais acheté à sa sortie et je déteste ne pas terminer un ouvrage même s'il me déplaît.


Tu vois, Myrco, Les Bienveillantes est le type du livre qu’on aime ou qu’on déteste.
Mais je pense que c’est la preuve que c’est un grand livre. Il ne laisse personne indifférent.
Pour moi, c’est un des meilleurs livres que j’aie lus. Je connais des gens qui l’ont lu deux fois d’affilée et d’autres, comme toi, qui ne sont pas arrivés au bout.
C’est bon que je suis un grand féministe, sinon, je dirais que ce n’est pas vraiment un livre pour les dames… ;-))

Je ne pense pas qu'il y ait de nos jours des livres qui ne soient pas pour les dames vois-tu;-)) mais ce n'est pas la question.
Sans doute suis-je quelque part encore un peu naïve, mais j'ai toujours eu beaucoup de mal à comprendre comment un homme d'un certain niveau, a priori cultivé pouvait en arriver à devenir (hors contrainte) le bras éxécutif de telles horreurs. Du coup, ma curiosité avait été piquée espérant trouver dans ce livre des éléments pour comprendre...dont voici la substance
J'avoue que j'ai rejeté ce livre assez vite (je ne pense pas être allée au-delà des 200 premières pages) tant il m'a indisposée; trop peu sans doute pour avoir un avis définitif. C'est pourquoi j'ai encore le projet d'y revenir (quand,ça je ne sais pas vu que c'est un pavé et que je croule sous mes listes).
J'avais toutefois pris quelques notes dont voici la substance:
1-"style" abominablement indigeste rendu très,très lourd par l'accumulation et la répetition sempiternelle des grades allemands à longueur de page;
2- aspects racoleurs (par exemple était-il nécessaire dans l'optique du sujet que le personnage d'Aue soit en plus homo et nous raconte par le détail les justifications physiques de ses préférences sexuelles?)
3- j'ai ressenti l'appel à la mythologie (les bienveillantes), les références à une construction musicale comme des éléments superposés artificiellement destinés à donner un vernis intellectuel, une caution culturelle en quelque sorte à un ouvrage essentiellement racoleur jouant sur des côtés glauques (sexe, violence ) avec délectation.
En outre, cette première approche m'avait donné le sentiment que je ne sortirais pas plus avancée quant à ma compréhension du processus. Peut-être me trompais-je?.

De ce fait, j'aurais tendance à rejoindre l'appréhension de Don Quichotte là-dessus.

Radetsky 05/07/2020 @ 17:14:53
@ Myrco

Je souscris à ton analyse. Xavier de Maistre voyageait autour de sa chambre, Littell voyage autour de son nombril...et du reste. C'est un exemple entre mille de ces best sellers que les mangeurs de gomme pondent à la tonne, lesquels, sous le prétexte d'effrayer le bourgeois bien pensant, pondent des trucs où ils tâchent de mettre le maximum de fantasmes personnels, quitte à instrumentaliser tout ce qui leur tombe sous la plume (la guerre, le sexe, la Shoah, la mythologie - ça fait "cultivé", etc), et dont ils n'ont aucune expérience même indirecte, mais ça sert de décor impressionnant pour un misérable tas de petits vices privés dont on se fout éperdument..
L'effet marketing fait le reste. Faut-il répéter que ce truc a été écrit pour un certain public, dans un certain contexte, sur lesquels il est inutile de revenir ? C'est un "pavé de gare", basta.
Je l'avais brièvement critiqué. Mon avis n'a pas changé.

Septularisen

avatar 06/07/2020 @ 00:12:13
Que Claude Simon, Céline, Genevoix, Malraux ou Semprùn évoquent la guerre et les hommes (Arma virumque cano) me passionne.


Tout à fait d'accord ici!
On pourrait d'ailleurs sans problèmes ajouter quelques noms, mais cette liste est vraiment très bonne!
Après, au risque de me répéter, si le reste ne t'intéresse pas, ne l'achète pas et ne le lis pas!..

Don_Quichotte
avatar 06/07/2020 @ 06:27:23
Septularisen : Encore une fois, l'Ordre du jour n'est pas indigne, donc mon jugement n'est pas brutalement catégorique.Et puis, ne pas apprécier ne m’empêche pas d'avoir une opinion sur ces oeuvres : je ne pratique pas d'autodafé non plus.

Saint Jean-Baptiste 06/07/2020 @ 10:51:50


... j'ai toujours eu beaucoup de mal à comprendre comment un homme d'un certain niveau, a priori cultivé pouvait en arriver à devenir (hors contrainte) le bras éxécutif de telles horreurs.
(...)
J'avais toutefois pris quelques notes dont voici la substance:
1-"style" abominablement indigeste rendu très,très lourd par l'accumulation et la répetition sempiternelle des grades allemands à longueur de page;
2- aspects racoleurs (par exemple était-il nécessaire dans l'optique du sujet que le personnage d'Aue soit en plus homo et nous raconte par le détail les justifications physiques de ses préférences sexuelles?)

@Don Quichotte - Radetsky
Bien sûr, il y a des très bons livres sur la guerre et d’autres qui sont racoleurs. Mais je crois que c’est le cas pour tous les genres de livres.

@Myrco
A propos des Bienveillantes, Radetsky nous dit que le récit « sert de décor impressionnant pour un misérable tas de petits vices privés ».
Je crois plutôt que ces « petits vices privés » ont été rajoutés pour salir encore un peu plus le « héros » du livre.

Dans ma critique je disais : « Malheureusement, et on se demande pourquoi, l'auteur a voulu que son héros soit affublé de perversions sexuelles invraisemblables. Ça nous vaut quelques pages à la limite de la pornographie et c'est regrettable, ce livre n'avait vraiment pas besoin de ça ».

Quant à l’énumération des grades des officiers allemands, on peut les survoler sans se gâcher la lecture. Personnellement, ça ne m’a pas gêné. J’ai trouvé que les faits de guerre sont très bien décrits dans ce livre. Avec un réalisme que je n’ai pas trouvé racoleur.

Mais, pour moi, l’intérêt principal du livre, est de nous montrer l’état d’esprit des Allemands vis-à-vis d’Hitler. Notamment la soumission des hauts gradés et des intellectuels à sa volonté ; cette soumission est, à mon avis très bien évoquée dans ce livre et reste, pour moi, le fait le plus incompréhensible et le plus mystérieux de toute la guerre.

Septularisen

avatar 08/07/2020 @ 13:27:35
Septularisen : Encore une fois, l'Ordre du jour n'est pas indigne, donc mon jugement n'est pas brutalement catégorique.Et puis, ne pas apprécier ne m’empêche pas d'avoir une opinion sur ces oeuvres : je ne pratique pas d'autodafé non plus.


Tout à fait d'accord, ici.
Après, a aucun moment je n'ai parlé de détruire, ignorer est déjà bien suffisant!

Septularisen

avatar 08/07/2020 @ 13:36:57


Et après Lemn SISSAY, qui a partagé le prix avec Befeqadu HAILU (écrivain, activiste et blogueur éthiopien), l'année dernière, c'est
le poète et musicien de reggae britannique Linton Kwesi JOHNSON qui a été couronné lauréat du PEN Pinter Prize 2020.

Sa biographie est ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Linton_Kwesi_Johnson

Le lien est ici :

https://actualitte.com/article/…


Septularisen

avatar 11/07/2020 @ 12:27:13
Le 74e Prix STREGA (l’équivalent italien du Prix Goncourt en France), a été remis pour l'année 2020 à... Sandro VERONESI pour son livre : "Il Colibrì" ("Le Colibri"), pas encore traduit en français, mais vu le succès des précédents romans de M. VERONESI en France gageons que cela ne tardera pas...

C'est la deuxième fois que Sandro VERONESI gagne ce Prix Littéraire puisqu'il l'avait déjà remporté en 2006 avec: «Chaos calme», ici sur CL : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18607

Avant lui, seul l'écrivain Paolo VOLPONI avait remporté le Prix Strega deux fois en 1965 avec: "La Macchina mondiale" ("La Machine mondiale") et en 1991 avec: "La Strada per Roma" ("La Route pour Rome").

Sandro VERONESI est ici sur CL : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vauteur/13740

Rappelons quelques livres fameux (et présents sur CL), récompenses précédemment par le Prix STREGA :

2010 : «Canal Mussolini» d’Antonio PENNACCHI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/38347
2008 : «La solitude des nombres premiers» de Paolo GIORDANO, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/21518
1997 : «Microcosmes» de Claudio MAGRIS, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/3832
1981 « Le Nom de la rose» d’Umberto ECO, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4882
1960 : «La Ragazza di Bube» de Carlo CASSOLA, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/25162
1959 : «Le Guépard» de Giuseppe Tomasi di LAMPEDUSA, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/12317
1957 : «L’île d’Arturo» d’Elsa MORANTE, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/22774

Septularisen

avatar 11/07/2020 @ 15:26:54

Et pour ne pas faire de jaloux, voici la liste complète de tous les livres lauréats du Prix Strega présents sur CL depuis la création du prix jusqu'à aujourd'hui :

2017 : «Les huit montagnes», de Paolo COGNETTI : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/55268
2010 : «Canal Mussolini», d’Antonio PENNACCHI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/38347
2009 «Stabat Mater» de Tiziano Scarpa : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/32839
2008 : «La solitude des nombres premiers», de Paolo GIORDANO, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/21518
2007 : «Comme Dieu le veut», de Niccolò AMMANITI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18349
2006 «Chaos calme», de Sandro VERONESI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18607
2002 «Ecoute-moi», de Margaret MAZZANTINI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4766
1997 : «Microcosmes», de Claudio MAGRIS, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/3832
1981 « Le Nom de la rose», d’Umberto ECO, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4882
1978 «Apothéose», de Ferdinando CAMON, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/22910
1960 : «La Ragazza di Bube» de Carlo CASSOLA, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/25162
1959 : «Le Guépard» de Giuseppe Tomasi di LAMPEDUSA, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/12317
1958 : « Les sept messagers», de Dino BUZZATTI, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/11217
1957 : «L’île d’Arturo» d’Elsa MORANTE, ici : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/22774
1954 : «Les lettres de Capri», de Mario SOLDATI, ici: http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/531

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