A mon ex-bien aimé
Quand il n’est resté de notre amour que le cadavre de notre amour, il a fallut être raisonnable, il a fallut se séparer. Aujourd’hui tu te déchaînes contre moi. Pourquoi te déchaînes tu contre moi?
Si par hasard nous nous rencontrons, tu me jettes un regard haineux. Tu me jettes en pâture aux autres. Tu ris de moi, toi le doux, le tendre.
Te souviens tu du temps où nous nous aimions ?
Moi je m’en souviens, et quand je m’en souviens, je ne me souviens pas de toi comme d’un homme méchant, mauvais, cruel.
Dis moi, toi que j’ai aimé, que faire contre ta haine ?
A mon ex-bien aimée
Si je me souviens du temps où nous nous aimions ? Non, je n’en ai aucun souvenir.
Par contre, Je me souviens du temps où tu disais que tu m’aimais, du temps où moi je t’aimais.
Je te l’avoue, j’ai souvent voulu ne pas me souvenir. Combien alors je te voyais belle, combien alors je te croyais mienne.
TU as décidé qu’il fallait être raisonnable.
TU as décidé qu’il fallait se séparer.
Tu me dis cruel, mais ma cruelle c’est avec toi que j’ai appris la cruauté.
Je t’ai regardé tuer mon bel, mon tendre, mon vivant amour pour toi. Je t’ai regardé me charcuter, me saigner, m’égorger. Je n’ai pas réagis, tu m’avais sonné.
Tu me dis que je te regarde haineusement quand nous nous rencontrons par hasard. Sache le, nous ne nous rencontrons pas par hasard. Je me mets sur ton chemin pour te regarder haineusement. Je suis incapable, certainement incapable, d’avoir pour toi autre chose que de l’amour ou de la haine.
On t’a rapporté que je riais de toi ? Je suis content que tu le saches enfin. Ne me traite plus de doux, de tendre, ne m’insulte plus, je veux être à la hauteur de ta cruauté.
A mon ex-bien aimé
Ta haine est ardente, brûlante, plus brûlante que ne l’a jamais été ton amour.
Pourquoi n’as-tu pas su m’aimer hier comme tu sais me haïr aujourd’hui ?
Pourquoi la tiédeur d’hier et la passion d’aujourd’hui ?
Pourquoi m’as-tu laissé partir sans un geste de regret, un geste de colère ?
Je ne te disais pas seulement que je t’aimais, je t’aimais, mais que faire face à ton indifférence ? Je voulais que tu me retiennes auprès de toi, que tu m’emprisonnes dans tes bras. Tu m’as glacé par ton acceptation, tu m’as donné raison de partir.
Tu sais me haïr plus que tu n’as jamais su m’aimer.
Ma cruelle, ma douce, ma bien aimée.
Je n’ai pas su t’aimer ?
Pardonne moi mon trop de pudeur, mon trop de retenue.
En moi, confortablement en moi, au chaud en moi, à l’abri en moi, était mon amour pour toi.
Le matin, la nuit, tout le temps, mon désir de toi me serrait la gorge, j’avais peur que tu ne devines mon désir de toi, j’avais peur de t'encombrer de mon désir de toi.
Aujourd’hui, mon affliction vient de mon plein d’amour pour toi, ma cruauté vient de ma nostalgie de toi.
J’avais peur que tu m’oublies. Je n’avais que ma haine pour te lier à moi.
Demain je serai à ta porte.
Ouvre moi ta porte. Ne m’ouvre pas ta porte. Je ne te tourmenterai plus.
En moi, niché en moi, vissé en moi, planté en moi, définitivement en moi, est mon amour pour toi.
Quand il n’est resté de notre amour que le cadavre de notre amour, il a fallut être raisonnable, il a fallut se séparer. Aujourd’hui tu te déchaînes contre moi. Pourquoi te déchaînes tu contre moi?
Si par hasard nous nous rencontrons, tu me jettes un regard haineux. Tu me jettes en pâture aux autres. Tu ris de moi, toi le doux, le tendre.
Te souviens tu du temps où nous nous aimions ?
Moi je m’en souviens, et quand je m’en souviens, je ne me souviens pas de toi comme d’un homme méchant, mauvais, cruel.
Dis moi, toi que j’ai aimé, que faire contre ta haine ?
A mon ex-bien aimée
Si je me souviens du temps où nous nous aimions ? Non, je n’en ai aucun souvenir.
Par contre, Je me souviens du temps où tu disais que tu m’aimais, du temps où moi je t’aimais.
Je te l’avoue, j’ai souvent voulu ne pas me souvenir. Combien alors je te voyais belle, combien alors je te croyais mienne.
TU as décidé qu’il fallait être raisonnable.
TU as décidé qu’il fallait se séparer.
Tu me dis cruel, mais ma cruelle c’est avec toi que j’ai appris la cruauté.
Je t’ai regardé tuer mon bel, mon tendre, mon vivant amour pour toi. Je t’ai regardé me charcuter, me saigner, m’égorger. Je n’ai pas réagis, tu m’avais sonné.
Tu me dis que je te regarde haineusement quand nous nous rencontrons par hasard. Sache le, nous ne nous rencontrons pas par hasard. Je me mets sur ton chemin pour te regarder haineusement. Je suis incapable, certainement incapable, d’avoir pour toi autre chose que de l’amour ou de la haine.
On t’a rapporté que je riais de toi ? Je suis content que tu le saches enfin. Ne me traite plus de doux, de tendre, ne m’insulte plus, je veux être à la hauteur de ta cruauté.
A mon ex-bien aimé
Ta haine est ardente, brûlante, plus brûlante que ne l’a jamais été ton amour.
Pourquoi n’as-tu pas su m’aimer hier comme tu sais me haïr aujourd’hui ?
Pourquoi la tiédeur d’hier et la passion d’aujourd’hui ?
Pourquoi m’as-tu laissé partir sans un geste de regret, un geste de colère ?
Je ne te disais pas seulement que je t’aimais, je t’aimais, mais que faire face à ton indifférence ? Je voulais que tu me retiennes auprès de toi, que tu m’emprisonnes dans tes bras. Tu m’as glacé par ton acceptation, tu m’as donné raison de partir.
Tu sais me haïr plus que tu n’as jamais su m’aimer.
Ma cruelle, ma douce, ma bien aimée.
Je n’ai pas su t’aimer ?
Pardonne moi mon trop de pudeur, mon trop de retenue.
En moi, confortablement en moi, au chaud en moi, à l’abri en moi, était mon amour pour toi.
Le matin, la nuit, tout le temps, mon désir de toi me serrait la gorge, j’avais peur que tu ne devines mon désir de toi, j’avais peur de t'encombrer de mon désir de toi.
Aujourd’hui, mon affliction vient de mon plein d’amour pour toi, ma cruauté vient de ma nostalgie de toi.
J’avais peur que tu m’oublies. Je n’avais que ma haine pour te lier à moi.
Demain je serai à ta porte.
Ouvre moi ta porte. Ne m’ouvre pas ta porte. Je ne te tourmenterai plus.
En moi, niché en moi, vissé en moi, planté en moi, définitivement en moi, est mon amour pour toi.
Le jeu a commencé,
Les dés sont jetés,
S’aimer encore,
Se haïr encore plus fort,
Le mots ne remplacent rien,
Ni le mal, ni le bien,
Le temps tourne toujours,
Avec notre âme autour,
Le temps passe toujours,
Avec tout notre amour…
(Mo)
Les dés sont jetés,
S’aimer encore,
Se haïr encore plus fort,
Le mots ne remplacent rien,
Ni le mal, ni le bien,
Le temps tourne toujours,
Avec notre âme autour,
Le temps passe toujours,
Avec tout notre amour…
(Mo)
Pas de réactions ici?
Est si nul que personne n'a rien à dire?
Est si nul que personne n'a rien à dire?
Non, pas nul, Gerie, ne te vexe pas aussi vite ! Pour ma part, j'ai eu pitié un instant de ces deux "protagonistes" un peu perdus, mais qui semblent se complaire dans les lamentations, on a l'impression que ça peut durer comme ça des heures, et des jours et plus encore, il fallait que ça cesse !.. J'ai eu pitié, donc, et j'ai pondu quelques vers pour leur rendre hommage, c'était ma façon de "critiquer", ne m'en veux pas steuplé
Non, ce n'est pas nul, au contraire. Mais comme je ne suis pas très fort pour les critiques, je vais laisser maître Yali en faire une bien. Mais j'ai bien aimé ce "dialogue" d'amour-répulsion, tout ça à cause de malheureux malentendus...
Son affliction vient d’un amour délaissé.
C’est cette phrase qui a tout déclenché dans ma tête.
Affliction,
Amour délaissé
N’est ce pas que ces mots sont beaux ?
C’est cette phrase qui a tout déclenché dans ma tête.
Affliction,
Amour délaissé
N’est ce pas que ces mots sont beaux ?
Ben non c'est pas nul!
Résonance là encore chez moi. Sur un plan plus ... technique, j'ai l'impression que ça gagnerait à être plus ramassé.
Quant à la réactivité, il est difficile de tout suivre, d'avoir même seulement l'ordi ouvert. Enfin dans mon cas. Donc il y a décalage. Que dirait Yali pour qui je n'ai rien communiqué encore!
Résonance là encore chez moi. Sur un plan plus ... technique, j'ai l'impression que ça gagnerait à être plus ramassé.
Quant à la réactivité, il est difficile de tout suivre, d'avoir même seulement l'ordi ouvert. Enfin dans mon cas. Donc il y a décalage. Que dirait Yali pour qui je n'ai rien communiqué encore!
...Quant à la réactivité (...) Que dirait Yali pour qui je n'ai rien communiqué encore!
Yali ? C'est une éponge. Euh... je veux dire qu'il absorbe tout, les critiques et les non-critiques, jusqu'à ce que ça pète ! Et là, il te pond un nouveau forum, juste pour s'épancher, comme pour évacuer vers le tout-à-l'égoût...
Mais envoie-lui ta réaction, va, avant qu'il en arrive là...
...Quant à la réactivité (...) Que dirait Yali pour qui je n'ai rien communiqué encore!
Yali ? C'est une éponge. Euh... je veux dire qu'il absorbe tout, les critiques et les non-critiques, jusqu'à ce que ça pète ! Et là, il te pond un nouveau forum, juste pour s'épancher, comme pour évacuer vers le tout-à-l'égoût...
Mais envoie-lui ta réaction, va, avant qu'il en arrive là...
Une éponge c'est pas ce truc qui fait la vaisselle pour peu qu'on l'ait équipé d'un moteur performant, genre une femme? Oui, suis tout pareil qu'une éponge, me faut les doigts d'une femme, pour que j'enfle et que je serve finalement à quelque-chose.
Mille fois pardon, c'était trop tentant :-)(-:
Propos X, B2b devrait censurer qomme il l'a fait pour l'imbécile qui nous a glissé un lien porno dans les forums cet aprèm...
Yali, revenons à Shakespeare, please
Yali, revenons à Shakespeare, please
Propos X, B2b devrait censurer qomme il l'a fait pour l'imbécile qui nous a glissé un lien porno dans les forums cet aprèm...
Yali, revenons à Shakespeare, please
Mille et une fois pardon!
Oui, suis tout pareil qu'une éponge, me faut les doigts d'une femme, pour que j'enfle et que je serve finalement à quelque-chose.
Facile Yali! Je pense que si j'étais une femme ça aurait le don de m'énerver!
Mais bon, on sait que tu vaux mieux que ça. Il faut bien se lacher quelquefois. (Non, lâcher Yali pas lècher)
Facile Yali! Je pense que si j'étais une femme ça aurait le don de m'énerver!
Mais bon, on sait que tu vaux mieux que ça. Il faut bien se lacher quelquefois. (Non, lâcher Yali pas lècher)
Pardon, mille et deux fois.
Allons-y gaiement ! Au fait, je suis sûre que vous savez pourquoi les chiens se lèchent souvent les,... les,... enfin, vous voyez !
Allons-y gaiement ! Au fait, je suis sûre que vous savez pourquoi les chiens se lèchent souvent les,... les,... enfin, vous voyez !
A vrai dire je m'en fous un peu j'aime mieux les chats.
Cela dit les chats le font aussi!
Alors pourquoi? Vas y, lâche ton venin!
Non Mo, il n’y a pas tout dans le genre, si cette femme est cruelle, joue ainsi de lui, elle doit avoir une raison autre que le simple désir de faire mal. Cette raison me manque, parce que c’est précisément cette raison qui m’intéresse. De plus, elle l’amène à douter d’elle à jamais.
Pourquoi fait-elle ça ???
J’aimerais le savoir !!!
Quant à ton personnage Mo, il ne fait pas que passer, et tu nous invite, en lui disant « Vous » à la déférence plutôt qu’à l’intimité. Je me trompe ?
Hé Gérie, la cadence est là, me manque un bout de toi.
Bon, j’ai été clair là ?
Pourquoi fait-elle ça ???
J’aimerais le savoir !!!
Quant à ton personnage Mo, il ne fait pas que passer, et tu nous invite, en lui disant « Vous » à la déférence plutôt qu’à l’intimité. Je me trompe ?
Hé Gérie, la cadence est là, me manque un bout de toi.
Bon, j’ai été clair là ?
Tout ce que je sais, c'est que mon chat castré se lécher aussi à cet endroit.
OOOOOOOhhhhhhhh !!!!!!!!! Moi aussi je préfère les chats, et comment !
Bon, en fait, s'ils font ça, les chiens et les chats, C'EST PARCE QU'ILS Y ARRIVENT, EUX !!!
Bon, en fait, s'ils font ça, les chiens et les chats, C'EST PARCE QU'ILS Y ARRIVENT, EUX !!!
C'est quand que tu ouvres le fuseau "Grosses Têtes" Monique???
Eh, avec tous ces machos, il faut bien avoir de quoi rabattre leur caquet parfois...
On revient à nos écrits si relevés ?... parce que la scatologie, ça va un temps
On revient à nos écrits si relevés ?... parce que la scatologie, ça va un temps
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