Benoit
avatar 15/06/2004 @ 23:37:17
Franchement, ils n'ont pas ete tres heureux en choisissant les couleurs de la couverture : jaune + rose + marron!!! Ils voulaient faire le concours des couleurs les plus moches??
Autant j'adore le jaune et aime bien le rose et le marron mais les trois associees!?!?!?!!? C'est le gamin du patron qui a choisi les couleurs??
La prochaine fois, qu'ils engagent une meilleure personne chez Pocket!!

Fee carabine 16/06/2004 @ 00:34:16
A propos de couvertures affreuses: quelqu'un peut-il m'expliquer ce qui est passe par la tete des editeurs d'Actes Sud, pour leur faire remplacer la tres belle silhouette voilee d'Odilon Redon sur l'edition grand format d'Antigone, par un horrible dessin rouge et mauve (pas mal non plus comme association de couleurs!) pour l'edition babel?

Yali 16/06/2004 @ 01:02:45
A propos de couvertures affreuses: quelqu'un peut-il m'expliquer ce qui est passe par la tete des editeurs d'Actes Sud, pour leur faire remplacer la tres belle silhouette voilee d'Odilon Redon sur l'edition grand format d'Antigone, par un horrible dessin rouge et mauve (pas mal non plus comme association de couleurs!) pour l'edition babel?


Le coût de l’impression !

Sahkti
avatar 16/06/2004 @ 01:05:36
A propos de couvertures, il arrive que la même couverture (et je parle ici de dessin, pas d'un tableau connu) soit utilisée pour deux ouvrages différents.

Un exemple?

- La douleur de Manfred de Robert McLiam Wilson, chez Christian Bourgeois (ISBN 2267016893)
- Wilt 2 de Tom Sharpe, chez 10/18 (ISBN 2264011106)

Yali 16/06/2004 @ 02:07:06
Un bon nombre d’éditeurs via les studios graphiques, les agences de com, se servent dans des banques d’images : photos, peintures, dessins pour la couverture de leurs livres. Il y a en réalité pas mal de chance pour qu’une image de couverture se trouve sur deux bouquins différents. Toutefois, si la cible lectorat est convenablement repérée, il n’y a pratiquement aucune chance que les deux ouvrages se retrouvent dans ta bibliothèque.
L’éclectisme, c’est ça ton problème Sahkti. :)

Tophiv
16/06/2004 @ 08:20:32
A mon sens, Pocket et Folio sont des spécialistes des couvertures affreuses.

Sahkti
avatar 16/06/2004 @ 10:43:48
Je ne suis pas sûre que les deux livres soient différents au point de ne pas se retrouver ensemble dans une bibliothèque Yali.
Mais je prends note de mon problème :)))

Pour Tophiv, en ce qui concerne Folio, à une époque, leurs couvertures étaient très jolies, je trouve. De belles photos et un design soigné qui donnait une ligne graphique très reconnaissable à l'éditeur.

Féline
avatar 16/06/2004 @ 11:06:54
Je suis d'accord avec vous deux :-). Je trouve certaines couvertures Folio magnifiques, d'autres horribles.
Mais ce qui a le don de m'exasperer chez Folio, c'est les couvertures glacées sur lesquelles apparaissent les traces de doigts. Ce qui fait que je n'arrête pas d'essayer de les frotter, mais en vain bien sûr :'(.
Bon, ça fait un peu manaique ;-) je reconnais mais c'est vrai que je le suis un peu (beaucoup) avec mes livres.

Tophiv
16/06/2004 @ 11:34:26
Pour moi, La pire couverture, c'est celle qui met un visage sur un personnage.

Cela arrive très souvent dans les éditions de poche quand un livre a été adapté au ciné par exemple... Ces couvertures contrarient "mon imaginaire"...

De manière générale, je préfère souvent une photo qu'un dessin. Plutôt quelque chose d'évocateur, énigmatique.

En général, j'aime bien les couvertures d'Actes Sud, de Phébus.

Le dilletante offre souvent des couvertures accrochant l'oeil, assez réussie.

Manu55 16/06/2004 @ 11:57:08
Et cette mauvaise habitude de remplacer dans les rééditiions les couvs par une affiche du film, quand le bouquin à été porté à l'écran !!

Benoit
avatar 16/06/2004 @ 15:40:56
C'est vrai, ca ! Mettre des photos de film sur la couverture de livres, moi, j'aime pas!
C'est pourquoi je cherche une plus vieille edition, si le cas se presente, avec un dessin dessus, quitte a faire plusieurs magasins...

Grga 16/06/2004 @ 17:20:05
Je trouve pour ma part que, dans leur acharnement à vouloir créer des couvertures «voyantes», certains éditeurs se tirent dans le pied en produisant des couvertures qui ne jureraient pas sur les étalages des revues people. Je pense notamment à J'ai lu, Au Diable vauvert et parfois, le Dilettante.

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