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Forums  :  Vos écrits  :  Court-textage 1/7

Yali 03/06/2004 @ 13:49:10
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Ce que j’aimerais, c’est crever. C’est un foutu rêve qui me poursuit depuis l’enfance. Ouais, à peine étai-je né que ce désir voyait le jour. Comme quoi, j’ai le rêve accessible, quasi petit. Depuis, j’ai grandi, et vu que ça n’arrivait pas, je me suis fait quelques plans. Pas sur la façon de crever, parce que de la façon je m’en fous. Seul l’après m’intéresse. Pas l’après « Ailleurs, » ou « Au-delà », parce que de ça aussi, je m’en fous. Non, je parle de cet après sur terre, dans laquelle, j’aimerais que l’on m’enterre.
Choisis un joli cimetière îlien. L’un de ceux qui essuie soleil et tempêtes à longueur de temps, et plante y une stèle. Surtout rien de riche, pas de marbre de Carrare ni d’autre part, pas de composite non plus, pas de… En réalité pas de stèle du tout, mais une petite pancarte comme celles que l’on voit dans les jardins et qui racontent le nom des fleurs. Et dessus inscrit y :
JE T’AIME
Et viens me lire de temps en temps.
Et, s’il te plait, laisse ce petit lopin de mort en friche.
Et rejoins-moi vite, parce que te tenant dans mes bras toute cette vie durant, tu me manquais déjà.

Monique 03/06/2004 @ 14:09:11
L'ANGE DE TES REVES
L'ange de tes rêves... celui dont tu n'as jamais rêvé,
tu as senti ses ailes, et la douceur de son âme,
son âme tendre qui veille sur toi chaque nuit,
qui au souffle chaud de son esprit
sèche querelle, douleur et toutes les larmes.
L'ange de tes rêves... celui que tu voudrais aimer,
comme on aime pour ne jamais haïr,
comme on aime pour ne jamais faire souffrir.
Une âme douce avec qui se poser
et vivre, vivre, vivre... simplement exister.
Une âme avec qui s’envoler pour oublier le temps qui passe,
un sentiment pur et beau qui jamais ne nous lasse.
Deux corps qui fusionnent et s’entremêlent pour ne faire qu’un avec l’éternité,
comme une étoile accrochée là haut au ciel bleuté.
Leur flamme brûle à jamais dans le souvenir de la voie lactée.

Monique 03/06/2004 @ 15:04:08
ESSAI
Le reflet des ombres perdues, monte et monte encore, Comme si un jour, on avait vu à travers les âmes de plus en plus fort, ce qui s’éloigne de nous, ce qui a été et ne sera jamais plus. Mes mots, mes larmes, mes joies dans ce monde fou, courent, brûlent et s’envolent en emportant ma flamme, celle qui brûlait encore si folle au milieu de ce monde si doux… Les papillons restent immobiles, sous cette pluie salée, des rêves biens futiles, il en faudra encore et encore, pour oublier bien plus fort, que l’on peut toujours aimer.

Yali 03/06/2004 @ 15:46:05
Ben, qu'est ce que tu fais là Mo ? Tu devrais être là, oui, mais normalement pour me dire "Houaaaaaaaaa, qu'il est beau ton texte, que je suis émue, et tout ça!"

Attends, je relance ailleurs, afin que tu y postes tes commentaires, et je reviens te lire, pour poster les miens. Ce que les pâtres, cultivatrices et poétesses peuvent être dissipées, tout de même.

Monique 03/06/2004 @ 15:53:28
J'avais pris ton nouveau "fuseau" pour un dépôt de textes libres en prose. Trompée je me suis. Bon, dont acte.
Pour le tien, ben, euh, je ne rêve pas de cimetières moi, je préfère les prés coqulicotés même si quelques bouses les parsèment.
Quant au texte lui-même, je n'ai pas accroché vraiment, ni au style pour tout dire... Alors houuuaaaa ! un autre ! un autre ! un.....

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