Aujourd'hui, j'ai enfin fini par découvrir, ce matin, Rain Man, de Barry Levinson (1988), qui vaut la peine, et ai revu Les Tontons flingueurs, de Georges Lautner (1963). Ils ne relèvent pas du tout de la même ambiance, mais font passer de bons moments, intéressants ou drôles.
Hier soir, j'ai revu Poulet au vinaigre), de 1985, premier opus des aventures de l'inspecteur Lavardin, sarcastique et grinçant à souhait, aux méthodes pour le moins peu orthodoxes.
Hier soir, j'ai fini par découvert Eté 85, de François Ozon (2020), et j'ai trouvé cela glauquissime. Cela fait maintenant d'assez nombreuses années que ce cinéaste ne me fait plus rêver. Par acquis de conscience, je me suis laissé convaincre de visionner ce film.
Hier soir, j'ai fini par découvert Eté 85, de François Ozon (2020), et j'ai trouvé cela glauquissime. Cela fait maintenant d'assez nombreuses années que ce cinéaste ne me fait plus rêver. Par acquis de conscience, je me suis laissé convaincre de visionner ce film.
par découvrir, pardon.
Hier, en matinée, j'ai revu Le Concert, de Raddu Mihaileanu (2009), tragi-comédie musicale et familiale assez plaisante, bien qu'irréelle ; et, dans la soirée, j'ai découvert Le Petit locataire (2016), de Nadège Loiseau, histoire sympathique et aimablement barré d'une jeune grand-mère de 49 ans qui tombe enceinte.
Ce fut donc une agréable journée cinématographique.
Ce fut donc une agréable journée cinématographique.
On a vu "Bovines" d'Emmanuel Gras, un grand moment contemplatif en compagnie des vaches !
Hier soir, j'ai revu Trois couleurs : rouge, de Krzystof Kieslowski (1994). Cette étrange relation entre une mannequin morale et un tantinet naïve et un magistrat à la retraite finissant par se repentir de ses écoutes téléphoniques, pour épier ses voisins, finit par devenir plus profonde que le hasard mystérieux de leur rencontre initiale.
Cette après-midi, j'ai découvert le documentaire Pouvoir, de Patrick Rotman, de 2013, montrant les premiers mois de la prise de pouvoir de François Hollande, qui permet de (re)découvrir une ambiance, d'observer la déférence affichée par Emmanuel Macron au chef d'Etat d'alors, sans que cela en apprenne énormément.
Hier, en matinée, j'ai revu Le Concert, de Raddu Mihaileanu (2009), tragi-comédie musicale et familiale assez plaisante, bien qu'irréelle ; et, dans la soirée, j'ai découvert Le Petit locataire (2016), de Nadège Loiseau, histoire sympathique et aimablement barré d'une jeune grand-mère de 49 ans qui tombe enceinte.
Ce fut donc une agréable journée cinématographique.
Le concert, c'est vraiment un film que j'avais aimé. Ce cinéaste a aussi fait "Va, vis et deviens" que je recommande chaudement.
Je regarde, par morceaux lors de mes séances de vélos, "Le mépris" de Godart. Avec Brigitte Bardot et Piccoli. La musique est magnifique, le film me plait moins.
Hier, en matinée, j'ai revu Le Concert, de Raddu Mihaileanu (2009), tragi-comédie musicale et familiale assez plaisante, bien qu'irréelle ; et, dans la soirée, j'ai découvert Le Petit locataire (2016), de Nadège Loiseau, histoire sympathique et aimablement barré d'une jeune grand-mère de 49 ans qui tombe enceinte.
Ce fut donc une agréable journée cinématographique.
Le concert, c'est vraiment un film que j'avais aimé. Ce cinéaste a aussi fait "Va, vis et deviens" que je recommande chaudement.
Je regarde, par morceaux lors de mes séances de vélos, "Le mépris" de Godart. Avec Brigitte Bardot et Piccoli. La musique est magnifique, le film me plait moins.
Je suis content que cela t’ait également p’u !
Hier soir, j’ai revu Cosmopolis, Cronenberg adaptant le livre de Don DeLillo. Dérangeant, il reste intriguant et assez intéressant.
Aujourd'hui, j'ai revu Charlie et la chocolaterie (2005), de Tim Burton, ce matin, et découvert, enfin, Haïr (2005), de Milos Forman. Le premier est plaisant, bien que l'esthétique du cinéaste reste sombre et grinçante, alors que le second est solaire et idéaliste, bien que marqué de son époque.
En FR ouverture des cinémas demain
Pour ceux qui ne savent pas que choisir ma suggestion : Drunk, Thomas Vinterberg, 2020
Pour ceux qui ne savent pas que choisir ma suggestion : Drunk, Thomas Vinterberg, 2020
En FR ouverture des cinémas demain
Pour ceux qui ne savent pas que choisir ma suggestion : Drunk, Thomas Vinterberg, 2020
Et ça, c'est bien cool !
Hier matin, je suis allé voir Adieu les cons, d'Albert Dupontel.
C'est intéressant, humaniste, avec de belles idées, un humour décalé, mais le film reste passablement torturé et sombre.
Par ailleurs, hier après-midi, j'ai revu, mais en DVD, Minuit dans le jardin du bien et du mal, de Clint Eastwood, film pas mal fait sur les moeurs et personnalités de Savannah, autour d'un procès pour meurtre. Cette belle galerie de portraits est intéressante, bien que cela traine quelque peu en longueur.
Je viens de revoir Il y a des jours et des lunes (1990), de Claude Lelouch. Ce film léger et choral présente les complications que peut supposément créer la pleine lune sur la situation conjugale des gens. Drôle et grave, il (me) paraît agréable, tout en faisant réfléchir.
Au cinéma j'ai vu "Falling" de Viggo Mortensen, l'acteur américano-danois. Drame familial : un père, tyran domestique avec ses femmes et ses enfants, admet mal que son fils soit devenu homo... Très bien fait et joué.
Dans un autre genre aussi et toujours au cinéma, "Mandibules", de Quentin Dupieux : deux hurluberlus, amis d'enfance un peu demeurés, débarquent avec leur mouche géante qu'ils veulent apprivoiser sans une villa de jeunes bourgeois en vacances, un peu déjantés aussi. Humour noir qui, m'a bien plu, et surtout pas trop long : 1h15 seulement. J'ai bien aimé, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Et puis "Josep", film d'animation que j'avais raté l'an dernier, qui traite de l'enfermement dans des camps des réfugiés espagnols en 1939. Magnifique et bouleversant.
Dans un autre genre aussi et toujours au cinéma, "Mandibules", de Quentin Dupieux : deux hurluberlus, amis d'enfance un peu demeurés, débarquent avec leur mouche géante qu'ils veulent apprivoiser sans une villa de jeunes bourgeois en vacances, un peu déjantés aussi. Humour noir qui, m'a bien plu, et surtout pas trop long : 1h15 seulement. J'ai bien aimé, mais ça ne plaira pas à tout le monde.
Et puis "Josep", film d'animation que j'avais raté l'an dernier, qui traite de l'enfermement dans des camps des réfugiés espagnols en 1939. Magnifique et bouleversant.
Vous pouvez aller au cinéma en France ? Nous pas, j’attends avec impatience pour aller voir Nomadsland...
Oui, depuis le 19 mai.
Patience, ce devrait être pour bientôt : cela commence à se généraliser en Europe.
Patience, ce devrait être pour bientôt : cela commence à se généraliser en Europe.
@Saule
Date de sortie de Nomadland en FR : le 9 juin
Date de sortie de Nomadland en FR : le 9 juin
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