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Éloge lyrique : Le Pouêeet
Tout a commencé, un jour qu’on faisait la casse au magasin, on refaisait le monde, entre nous.
Les pauvres, ceux qui crèvent de faim, les trucs gaspillés etc.
Et au milieu du margouillis dégoulinant, de tous nos trucs de riches, j'ai vu mon Pouêeet ! Un jouet en polyéthylène, pour les chiens, en forme de hamburger, avec des frites et un steak, au milieu. Vachement bien détaillé, jusque dans la texture, on en aurait bouffé !
Il m’a plu tout de suite, il sentait rien et puis il avait même les petits grains de sésame de représentés, sur le pain de mie. D’un coup j’ai su que ma vie changeait. Son bruit, bien gras, franc : "POUUUUÊEEEEEEEETTTTT ! " quand on appuyait dessus, m’a donné un coup de fouet, je devenais un vrai homme !
D’ailleurs, Carl, il s’y est pas trompé, il a tout de suite dit : " Dis donc, Johannes, tu serais pas en train de tomber amoureux, des fois ? ". Et Carl, il faut dire ce qui est, il est drôlement doué pour les histoires de sentiments … Surtout celles des autres.
Y avait plus qu’à lui trouver un nom. Carl a dit "Eponyme".
Moi j’trouvais ça con, éponyme et puis énervé qu’il était à la fin, il a dit " Pouêeet", ça, ça lui allait drôlement mieux, "Pouêeet" au pouêeet!
Donc, je l’ai appelé pouêeet.
Du jour au lendemain, requinqué que j'étais, par le pouêet, au pieu, j’suis devenu un dieu, j’ai pris le taureau par les cornes comme on dit. Les POUUUUÊEEEEEEEETTTTT ! Du pouêeet me faisaient bander tout droit, un soldat au garde à vous. Ah, j’en connais une, la première fois qu’j’ai mis le pouêeet avec nous dans le lit, ça l’a bien surprise ! Dans le noir, elle m’a pas reconnu, elle m’appelait Jean-Yves, comme son moniteur du club de gym, c’est dire…
Au magasin, j’étais devenu quelqu’un avec mon pouêeet. Ahhhhhh !!! Johannes par-ci… Johannes par là, on en entendait dans le secteur ! Une vraie star, que j’étais devenu avec mon pouêeet ! Parce qu’alors, avant, personne me parlait au boulot, personne savait mon nom ! C’est que faut dire, avec le pouêeet, on rigolait bien, on déconnait même. On aurait dit que ça coûtait moins à tout le monde, d’y venir au boulot, depuis qu’j’avais mon pouêeet. J’ai même eu droit à une dérogation pour le faire entrer dans la réserve mon pouêeet, au titre "d’accroissement de rendement " qu’ils avaient dit, la direction, prouvé statistiquement, même !
Au magasin, on faisait des blagues au Toine, avec le Pouêeet. Le Toine, il a 25 ans de maison. 25 ans qu’il s’lève à 2h30 la nuit, alors forcement, sur le coup des 6 heures, il a son coup de barre, il récupère un peu en rayon, le Toine. On arrivait par derrière, le Pouêeet et moi, et puis les autres aussi parfois. Sans bruit. Et d’un coup … POUUUUÊEEEEEEEETTTTT !!!!!!!!.
Le Toine, il finissait accroché sur le néon du plafond ! Tout tremblant qu’il se retrouvait. Après, on allait chercher l’échelle, quand même, pour le faire descendre le Toine, parce qu’on était pas salaud, on faisait que des trucs gentils, le Pouêeet et moi !
Et puis un jour, y a des gens qui sont venus bouffer à la maison, avec un chien… Un Yorkshire. L’autre, il a senti mon poueeet, une odeur subtile que les chinois y avaient du mettre dedans pour les attirer. Enfin quand j’dis " subtile ", j’ me comprends vu que l’ersatz canin, il l’a sentie l’odeur. Ah ben !!! Eh ! Oh ! C’est du chinois, hein, faut pas s’attendre à des produits de grande qualité, c’est du bon marché, surtout pour le prix ! Enfin, bon, toujours est-il que ce con, il a joué avec. Moi dés que j’ai entendu ces premiers cris, Au Pouêeet, j’ai rappliqué… C’était trop tard !
La saloperie, ce truc que si tu l’écrases, faut le faire du pied gauche pour qu'ca porte bonheur, ben, il avait tué mon pouêeet ! Le pouêeet y marchait plus, y avait un trou dedans. Quand t'appuyais dessus, y faisait du vent, comme ça : PFFFFFFF !!! Avec l’air en plus du bruit. Et plus : POUUEEETTTTT !!!!! Forcement c’était plus pareil ! Il était mort le Pouêeet !
Y ont bien vu que ça allait plus du tout, les invités, j'étais blanc comme un linge, apathique, une baisse de tension. Pour un hypertendu, c’était pas normal ! Y ont pas traînés, et sont partis bien ennuyés, les gens, avec le chien. Lui, il l'était pas du tout, ennuyé.
A la suite de quoi, moi je pouvais plus parler, j’ me suis mis en caisse. "C’est pas une dépression Johannes, juste une fatigue nerveuse" il a dit le toubib.
En tout cas, on est drôlement mal quand on fait une fatigue nerveuse, je vous le dis !
Bien sur, j’ai essayé d'en retrouver un autre, de pouêeet, j'avais gardé l’emballage pour la garantie. Donc, j’ai emmerdé le chef de rayon pour qu’il rappelle les chinois, mais ils en faisaient plus, épuisé, plus de matrice !
Avec les gars du boulot, j’ai pas pu tricher. Tout de suite, ils ont vu, qu’ça allait plus !
Eh ! Johannes, il est ou ton pouêeet ! Dis, Johannes !
Ils ont bien essayé de me réconforter, ils ont même acheté un nouveau Pouêeet…En forme de carotte. Mais c’était pas pareil, il sentait le plastique, il était rugueux, pas lisse comme mon vrai pouêeet ! Ce pouêeet là.
C’est tout con, d’abord, un pouêeet en forme de carotte. En plus, lui, il faisait pas POUUUÊEET ! Mais PUUUIIIIIIINNN! PUUUIIIIIINNN ! Une vraie quinarelle !
Y en a une… Ca ! Ça l’a pas perturbée, le changement de pouêeet, j’dirais même que ça l’a plutôt inspirée, surtout la forme ! Pendant que moi, avec ma déprime, j’étais devenu un vrai nyctalope, et qu’j’avais, il faut bien l’avouer, perdu toute capacité érectile pour la fesse, Madame, elle, elle avait bien su trouver un moyen de l’utiliser le nouveau pouêeet ! Plus besoin de moi. Entre les "Puuuiiiiiiiinn" liés à la manipulation de la carotte et ses gémissements à elle, j’avais plus que mes angoisses pour occupées mes nuits, ce qui les occupaient pas mal, d’ailleurs. Parce que des angoisses j’en avais à plus savoir qu’en faire, ça c’est sur !
Depuis j'suis au fond du trou ! Au boulot, j'y vais plus, je me suis fait virer. Plus la tête à ça, plus productif, non plus. Dans notre créneau, ça pardonne pas !
Les autres, les derniers temps, ils me disaient encore bonjour, mais comme ça : "s’lut ". Parce que mon prénom, ils le connaissaient plus, j’étais plus rien sans le Pouêeet !
Et puis après ma femme est partie. Après celle du Jean-Yves, Elle avait du se lasser de la carotte pouêeet...
Aujourd’hui, J’vis plus que pour faire les animaleries, brocantes et autres jardineries dans l’espoir de retrouver un pouêeet, même d’occasion, fabriqué sur la même matrice que le mien, par les chinois. Pour espérer redevenir un homme comme quand j’avais le pouêeet.
Tout a commencé, un jour qu’on faisait la casse au magasin, on refaisait le monde, entre nous.
Les pauvres, ceux qui crèvent de faim, les trucs gaspillés etc.
Et au milieu du margouillis dégoulinant, de tous nos trucs de riches, j'ai vu mon Pouêeet ! Un jouet en polyéthylène, pour les chiens, en forme de hamburger, avec des frites et un steak, au milieu. Vachement bien détaillé, jusque dans la texture, on en aurait bouffé !
Il m’a plu tout de suite, il sentait rien et puis il avait même les petits grains de sésame de représentés, sur le pain de mie. D’un coup j’ai su que ma vie changeait. Son bruit, bien gras, franc : "POUUUUÊEEEEEEEETTTTT ! " quand on appuyait dessus, m’a donné un coup de fouet, je devenais un vrai homme !
D’ailleurs, Carl, il s’y est pas trompé, il a tout de suite dit : " Dis donc, Johannes, tu serais pas en train de tomber amoureux, des fois ? ". Et Carl, il faut dire ce qui est, il est drôlement doué pour les histoires de sentiments … Surtout celles des autres.
Y avait plus qu’à lui trouver un nom. Carl a dit "Eponyme".
Moi j’trouvais ça con, éponyme et puis énervé qu’il était à la fin, il a dit " Pouêeet", ça, ça lui allait drôlement mieux, "Pouêeet" au pouêeet!
Donc, je l’ai appelé pouêeet.
Du jour au lendemain, requinqué que j'étais, par le pouêet, au pieu, j’suis devenu un dieu, j’ai pris le taureau par les cornes comme on dit. Les POUUUUÊEEEEEEEETTTTT ! Du pouêeet me faisaient bander tout droit, un soldat au garde à vous. Ah, j’en connais une, la première fois qu’j’ai mis le pouêeet avec nous dans le lit, ça l’a bien surprise ! Dans le noir, elle m’a pas reconnu, elle m’appelait Jean-Yves, comme son moniteur du club de gym, c’est dire…
Au magasin, j’étais devenu quelqu’un avec mon pouêeet. Ahhhhhh !!! Johannes par-ci… Johannes par là, on en entendait dans le secteur ! Une vraie star, que j’étais devenu avec mon pouêeet ! Parce qu’alors, avant, personne me parlait au boulot, personne savait mon nom ! C’est que faut dire, avec le pouêeet, on rigolait bien, on déconnait même. On aurait dit que ça coûtait moins à tout le monde, d’y venir au boulot, depuis qu’j’avais mon pouêeet. J’ai même eu droit à une dérogation pour le faire entrer dans la réserve mon pouêeet, au titre "d’accroissement de rendement " qu’ils avaient dit, la direction, prouvé statistiquement, même !
Au magasin, on faisait des blagues au Toine, avec le Pouêeet. Le Toine, il a 25 ans de maison. 25 ans qu’il s’lève à 2h30 la nuit, alors forcement, sur le coup des 6 heures, il a son coup de barre, il récupère un peu en rayon, le Toine. On arrivait par derrière, le Pouêeet et moi, et puis les autres aussi parfois. Sans bruit. Et d’un coup … POUUUUÊEEEEEEEETTTTT !!!!!!!!.
Le Toine, il finissait accroché sur le néon du plafond ! Tout tremblant qu’il se retrouvait. Après, on allait chercher l’échelle, quand même, pour le faire descendre le Toine, parce qu’on était pas salaud, on faisait que des trucs gentils, le Pouêeet et moi !
Et puis un jour, y a des gens qui sont venus bouffer à la maison, avec un chien… Un Yorkshire. L’autre, il a senti mon poueeet, une odeur subtile que les chinois y avaient du mettre dedans pour les attirer. Enfin quand j’dis " subtile ", j’ me comprends vu que l’ersatz canin, il l’a sentie l’odeur. Ah ben !!! Eh ! Oh ! C’est du chinois, hein, faut pas s’attendre à des produits de grande qualité, c’est du bon marché, surtout pour le prix ! Enfin, bon, toujours est-il que ce con, il a joué avec. Moi dés que j’ai entendu ces premiers cris, Au Pouêeet, j’ai rappliqué… C’était trop tard !
La saloperie, ce truc que si tu l’écrases, faut le faire du pied gauche pour qu'ca porte bonheur, ben, il avait tué mon pouêeet ! Le pouêeet y marchait plus, y avait un trou dedans. Quand t'appuyais dessus, y faisait du vent, comme ça : PFFFFFFF !!! Avec l’air en plus du bruit. Et plus : POUUEEETTTTT !!!!! Forcement c’était plus pareil ! Il était mort le Pouêeet !
Y ont bien vu que ça allait plus du tout, les invités, j'étais blanc comme un linge, apathique, une baisse de tension. Pour un hypertendu, c’était pas normal ! Y ont pas traînés, et sont partis bien ennuyés, les gens, avec le chien. Lui, il l'était pas du tout, ennuyé.
A la suite de quoi, moi je pouvais plus parler, j’ me suis mis en caisse. "C’est pas une dépression Johannes, juste une fatigue nerveuse" il a dit le toubib.
En tout cas, on est drôlement mal quand on fait une fatigue nerveuse, je vous le dis !
Bien sur, j’ai essayé d'en retrouver un autre, de pouêeet, j'avais gardé l’emballage pour la garantie. Donc, j’ai emmerdé le chef de rayon pour qu’il rappelle les chinois, mais ils en faisaient plus, épuisé, plus de matrice !
Avec les gars du boulot, j’ai pas pu tricher. Tout de suite, ils ont vu, qu’ça allait plus !
Eh ! Johannes, il est ou ton pouêeet ! Dis, Johannes !
Ils ont bien essayé de me réconforter, ils ont même acheté un nouveau Pouêeet…En forme de carotte. Mais c’était pas pareil, il sentait le plastique, il était rugueux, pas lisse comme mon vrai pouêeet ! Ce pouêeet là.
C’est tout con, d’abord, un pouêeet en forme de carotte. En plus, lui, il faisait pas POUUUÊEET ! Mais PUUUIIIIIIINNN! PUUUIIIIIINNN ! Une vraie quinarelle !
Y en a une… Ca ! Ça l’a pas perturbée, le changement de pouêeet, j’dirais même que ça l’a plutôt inspirée, surtout la forme ! Pendant que moi, avec ma déprime, j’étais devenu un vrai nyctalope, et qu’j’avais, il faut bien l’avouer, perdu toute capacité érectile pour la fesse, Madame, elle, elle avait bien su trouver un moyen de l’utiliser le nouveau pouêeet ! Plus besoin de moi. Entre les "Puuuiiiiiiiinn" liés à la manipulation de la carotte et ses gémissements à elle, j’avais plus que mes angoisses pour occupées mes nuits, ce qui les occupaient pas mal, d’ailleurs. Parce que des angoisses j’en avais à plus savoir qu’en faire, ça c’est sur !
Depuis j'suis au fond du trou ! Au boulot, j'y vais plus, je me suis fait virer. Plus la tête à ça, plus productif, non plus. Dans notre créneau, ça pardonne pas !
Les autres, les derniers temps, ils me disaient encore bonjour, mais comme ça : "s’lut ". Parce que mon prénom, ils le connaissaient plus, j’étais plus rien sans le Pouêeet !
Et puis après ma femme est partie. Après celle du Jean-Yves, Elle avait du se lasser de la carotte pouêeet...
Aujourd’hui, J’vis plus que pour faire les animaleries, brocantes et autres jardineries dans l’espoir de retrouver un pouêeet, même d’occasion, fabriqué sur la même matrice que le mien, par les chinois. Pour espérer redevenir un homme comme quand j’avais le pouêeet.
Eh, Jonkind, c’est d’la triche, tu sprintes avant l’heure!
Génial ton texte, vraiment. C’est bourré de sensibilité, d’humour, de gentille dérision. Ton gars, un peu coquebin, est très attachant et le Pouêeet formidable. D’ailleurs, dès demain, je fais les magasins pour en trouver un. Sûr que la carotte PUUIINN n’a pas tenu la comparaison!
Je ne sais pas si ça correspond aux contraintes de Clamence mais le texte est bon, et il est là… bravo Jonkind.
Génial ton texte, vraiment. C’est bourré de sensibilité, d’humour, de gentille dérision. Ton gars, un peu coquebin, est très attachant et le Pouêeet formidable. D’ailleurs, dès demain, je fais les magasins pour en trouver un. Sûr que la carotte PUUIINN n’a pas tenu la comparaison!
Je ne sais pas si ça correspond aux contraintes de Clamence mais le texte est bon, et il est là… bravo Jonkind.
J'suis 'plètement emballée moi aussi, t'as vraiment pondu là un truc qui dépasse le cadre des cadres
C'est existentiel , ton machin, là !
Complètement Pouëtique, ouais !
C'est existentiel , ton machin, là !
Complètement Pouëtique, ouais !
Vraiment très drôle! tout en étant philosophique, psychologique, pouetique et super bien écrit.
Pour ne rien dire du champ sémantique qui... hum, hum, n'est-ce pas, enrichit notre pathos habituel.
Le premier que je lis, et il est super bien. Bravo
;-)))
Pour ne rien dire du champ sémantique qui... hum, hum, n'est-ce pas, enrichit notre pathos habituel.
Le premier que je lis, et il est super bien. Bravo
;-)))
Un interessant conte insolite, à la limite du fantastique, à partir de l'idée de l'emprise d'un objet sur un individu. Un style très vivant; peut être un peu top débridé, mais ça c'est une question de goût. Et ici, la présentation trop compacte nuit un peu à la lecture
Le plus original Jonkind, parce qu'il ya derrière (qui sisi, est bien là, ça répond donc aux contraintes, même si c'est narratif) une vraie histoire, désopilante d'abord (johannes, ce grand gosse, me rappelle mon pote Marcel) , puis presque sentimentale -il m'a ému ce johannes;-))-, et enfin le détour lubrique n'est pas pour me déplaire.
c'est très bien écrit, je suis toujours soufflée en fait de voir ce qu'on arrive à faire de différent avec le même sujet, et voudrais en profiter pour vous demander humblement à tous l'autorisation de garder vos textes -je remettrai ma demande dans un autre fuseau- pour en faire bon usage le jour où enfin je retournerai occuper un poste en lycée et proposerai ce sujet à mes élèves:-))
donc je le redis bien haut, bien fort, bravo Jonkind!
c'est très bien écrit, je suis toujours soufflée en fait de voir ce qu'on arrive à faire de différent avec le même sujet, et voudrais en profiter pour vous demander humblement à tous l'autorisation de garder vos textes -je remettrai ma demande dans un autre fuseau- pour en faire bon usage le jour où enfin je retournerai occuper un poste en lycée et proposerai ce sujet à mes élèves:-))
donc je le redis bien haut, bien fort, bravo Jonkind!
Premier que je lis et séduit je suis, Johannes, (euh Jonkind pardon), par ton conte. Je suis d'accord avec Mae (entre autres) ; sous des apparences d'histoire à deux sous, il est plutôt transcendant ton texte. Il y a du sérieux qui sommeille sous le comique et le décontracté affichés.
Où ça va se nicher la modernité quand même !
Belle réussite.
Où ça va se nicher la modernité quand même !
Belle réussite.
cf "Dix ans, Vos Ecrits ... 2006 année de résistance"
Jonkind est le cas d'espèce d'un qui nous a permis de passer le cap fatidique de fin 2005. Apparu en décembre 2005, il a fait "la campagne de 2006", au moins le début, avec nous ....
Jonkind est le cas d'espèce d'un qui nous a permis de passer le cap fatidique de fin 2005. Apparu en décembre 2005, il a fait "la campagne de 2006", au moins le début, avec nous ....
Très drôle, tendre, presque pathétique ; Et profond...!
Elle est super cette histoire.
Authentique et imaginative, drôle et dramatique.
Pas lu tout ce que note pêcheur d'écrits remonte sur le fil des lignes mais celui là m'a vraiment plu, peut être parce que j'ai bossé plusieurs années dans la grande distribution et que je sèche lamentablement sur ma nouvelle "Hyperman" inspiré de cette période... non, même sans connaitre le super/hypermarché de l'intérieur c'est plaisant.
Il y a une belle alchimie d'idées et une écriture très abordable qui va dans le détails.
Passé les premières lignes j'ai lu la suite d'une traite(ce qui m'arrive pas tout le temps surtout à cause du format écran pour lire), c'est rythmé par le Pouêeet!
J'ai adoré, merci.
Authentique et imaginative, drôle et dramatique.
Pas lu tout ce que note pêcheur d'écrits remonte sur le fil des lignes mais celui là m'a vraiment plu, peut être parce que j'ai bossé plusieurs années dans la grande distribution et que je sèche lamentablement sur ma nouvelle "Hyperman" inspiré de cette période... non, même sans connaitre le super/hypermarché de l'intérieur c'est plaisant.
Il y a une belle alchimie d'idées et une écriture très abordable qui va dans le détails.
Passé les premières lignes j'ai lu la suite d'une traite(ce qui m'arrive pas tout le temps surtout à cause du format écran pour lire), c'est rythmé par le Pouêeet!
J'ai adoré, merci.
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