J'ai terminé deux recueils d'aphorismes, celui de Dominique Saint-Dizier, "Indocile heureux" et un d'Alain Helissen, "Des lettres de la Voie Lactée" et un recueil de nouvelles de Ludmila Oulitskaïa, "Les pauvres parents". J'enchaîne avec une pièce de théâtre, c'est une première pour moi depuis le lycée, de Fernando Pessoa, "Le marin" avant de conclure ma série de recueils d'aphorismes par celui de Thierry Roquet : "L'ampleur des astres". Ensuite on avisera en fonction d'éventuels arrivages, prêts ou échanges...
Hou là là ! Je n'ai jamais cessé de lire du théâtre. D'abord, parce que pendant longtemps je n'ai pas pu aller voir des pièces (théâtre trop cher, trop éloigné), et puis parce que j'aime ça. J'en lis au moins une par mois, souvent deux, et surtout j'en relis : Molière, Shakespeare, Tchékhov, Garcia Lorca, Pirandello, Ibsen, Ionesco principalement... Et je ne vais presque jamais au théâtre sans lire (ou relire) la pièce avant d'aller la voir (ou revoir)...
Aucune envie de me priver de théâtre, et comme la télé n'en propose que rarement !!!
Aucune envie de me priver de théâtre, et comme la télé n'en propose que rarement !!!
Hou là là ! Je n'ai jamais cessé de lire du théâtre. D'abord, parce que pendant longtemps je n'ai pas pu aller voir des pièces (théâtre trop cher, trop éloigné), et puis parce que j'aime ça. J'en lis au moins une par mois, souvent deux, et surtout j'en relis : Molière, Shakespeare, Tchékhov, Garcia Lorca, Pirandello, Ibsen, Ionesco principalement... Et je ne vais presque jamais au théâtre sans lire (ou relire) la pièce avant d'aller la voir (ou revoir)...
Aucune envie de me priver de théâtre, et comme la télé n'en propose que rarement !!!
Je n'ai pas accroché quand j'étais au lycée et je ne m'y suis jamais remis mais comme il n'est jamais trop tard, je retente l'aventure, je pourrai peut-être ainsi essayer de lire Tchékov dont ma femme a apporté l'intégrale qu'elle avait reçue comme cadeau d'anniversaire avant notre rencontre.
La mouette, Oncle Vania, La cerisaie... magnifique ! Mais bien sûr, c'est fait pour être joué...
Et quel écrivain de nouvelles !!!
Et quel écrivain de nouvelles !!!
La mouette, Oncle Vania, La cerisaie... magnifique ! Mais bien sûr, c'est fait pour être joué...
Contrairement à la seule pièce de Pessoa, il dit qu'elle est faite pour être lue.
On peut les lire aussi : l'atmosphère russe y est extraordinaire !
Je lis "Sur les chemins noirs" de Sylvain Tesson et je suis bien heureuse de le retrouver avec sa verve habituelle, son refus de la société moderne et son irrésistible besoin de s'évader, de parcourir le monde. Je l'aime ! ;-)
Trois chevaux d'Erri de Luca, pas d'avis j'en suis au début mais j'ai envie de poursuivre et j'aime bien l'univers qui est planté.
J'ai terminé La route, de Mc Carthy, un grand livre selon moi. 245 pages sur l'errance d'un père et son fils dans un monde déserté ou presque, le froid, la faim, la peur. Et c'est tout. Et à aucun moment on n'en s'ennuie, on a froid, faim et peur aussi.
Je dis bravo.
J'ai terminé La route, de Mc Carthy, un grand livre selon moi. 245 pages sur l'errance d'un père et son fils dans un monde déserté ou presque, le froid, la faim, la peur. Et c'est tout. Et à aucun moment on n'en s'ennuie, on a froid, faim et peur aussi.
Je dis bravo.
J'ai fini mon cycle "René Fallet" ! Je retourne dans la littérature roumaine avec "une matinée perdue" de Gabriela Adameşteanu.
Après l'étonnant Krasznarhorkai, je fais un grand écart et un retour en littérature indienne, en me tournant cette fois vers le théâtre indien, un genre qui occupe une place importante dans la littérature de ce pays. Je lirai 'Three Modern Indian Plays', un recueil proposant trois pièces (ici traduites vers l'anglais) de trois auteurs (Girish Karnad, Badal Sircar, Vijay Tendulkar) qui ont marqué et influencé le théâtre indien contemporain et qui (les pièces) sont considérées comme des classiques du répertoire.
Après le recueil d'aphorismes de Thierry, Roquet, "L'ampleur des astres", je commence une petite série de recueils de poésie éditées par Les carnets du dessert de lune, j'ai déjà lu "Dans le spleen et la mémoire" de Fabien Sanchez et "Encore une nuit sans rêve" de Christophe Bregaint . Entre les deux, j'ai lu le fameuse nouvelle de Schichirô Fukazawa "Etude à propos des chansons de Narayama" qui a inspiré le célèbre film "La ballade de Narayama". Pour le moment je lis un recueil de nouvelles turques de Sait Faik Abasiyanik, "Un serpent à Alemdag", avant d'enchaîner la poésie avec "Datés du jour de ponte" de Bernard Bretonnière. Je lirai après un petit recueil de textes courts de Jacques Morin : "Carnet d'un petit revuiste de poche". Ensuite, on verra, je plongerai dans la pile pour extraire des vieux achats.
Ayant terminé mon programme ci-dessus, j'aborde l'ensuite;;; et il commence par un petit roman de Karel Capek "La vie et l'oeuvre du compositeur Foltyn", il se poursuivra par "La mer noire" de Khétévane Davrichewy", "Teddy le Kosovar" de Bill d'Isère, "Mademoiselle Irnois et autres nouvelles" de Joseph Arthur de Gobineau, "il était combien de fois" d'Hélène Couturier et ensuite, il y aura un autre ensuite...
"Une matinée perdue" de Gabriela Adameşteanu: roman fort bien écrit mais au rythme très lent, j'avoue qu'il y a des passages où j'ai dû m'accrocher ! Je suis donc reparti dans un peu plus d'action (quoique,...) avec "Même pas mort" de Jean-Philippe Jaworski, dont j'arrive au bout. Et ensuite je vais embrayer avec "la Saga des Fiers-à-Bras" de Halldór Laxness dont j'ai tant aimé "Station Atomique".
Je lis un livre tout à fait passionnant : l'année sans été. C'est un essai sur l'irruption d'un volcan près de Batavia, en 1816, qui a eu des conséquences énormes un peu partout dans le monde dnas les années qui ont suivi (famines en Europe, dérèglement climatiques,...). Incroyable !
, en 1816, ... Incroyable !Oui, l'année qui a suivi Waterloo. On en a moins parlé et pourtant, c'était beaucoup plus grave, la France a connu une année sans vin.
:-)
Une année sans vin, ça a du être tellement triste. Autant qu'une année sans été. La choléra a décimé la quasi totalité de l'armée britannique en Inde aussi, sans qu'on ait fait le lien avec le volcan à l'époque. Et Turner a peint ses plus beaux cieux orangé sous le ciel nuageux, grâce à ce volcan toujours !
Une année sans vin, ça a du être tellement triste. Autant qu'une année sans été. La choléra a décimé la quasi totalité de l'armée britannique en Inde aussi, sans qu'on ait fait le lien avec le volcan à l'époque. Et Turner a peint ses plus beaux cieux orangé sous le ciel nuageux, grâce à ce volcan toujours !
Après l'étonnant Krasznarhorkai, je fais un grand écart et un retour en littérature indienne, en me tournant cette fois vers le théâtre indien, un genre qui occupe une place importante dans la littérature de ce pays. Je lirai 'Three Modern Indian Plays', un recueil proposant trois pièces (ici traduites vers l'anglais) de trois auteurs (Girish Karnad, Badal Sircar, Vijay Tendulkar) qui ont marqué et influencé le théâtre indien contemporain et qui (les pièces) sont considérées comme des classiques du répertoire.
Excellente introduction au théâtre indien, une belle découverte et une lecture fort agréable. De quoi donner envie de voir ces pièces jouées sur scène.
En attendant le prochain arrivage de la bibliothèque, j'ai enchaîné avec un incontournable de la littérature russe, 'Les âmes mortes' de Nicolas Gogol (traduit par Henri Mongault). Le moins que je puisse en dire, c'est qu'après mes lectures précédentes, je me sens tout à fait dépaysé!
En attendant le prochain arrivage de la bibliothèque, j'ai enchaîné avec un incontournable de la littérature russe, 'Les âmes mortes' de Nicolas Gogol (traduit par Henri Mongault). Le moins que je puisse en dire, c'est qu'après mes lectures précédentes, je me sens tout à fait dépaysé!
Il attend sur mes listes (comme beaucoup d'autres!) mais j'ai prévu de le lire dans la traduction d'Anne Coldefy-Faucard qui m'a paru la plus intéressante à ce jour.
Entre deux critiques en retard, je lis (enfin!) "Tango de Satan" de Krasznahorkai et ça me plaît assez. C'est son premier roman (paru en 85) et il est possible que l'écriture en soit plus accessible que celle des suivants (?) Un grand écrivain à n'en pas douter.
J'ai terminé "Le Garçon" de Marcus Malte et je n'ai pas aimé. J'ai peiné à le terminer. Je suis présentement avec Mo Yan et "Le Pays de l'alcool" et j'en suis bien heureuse car j'aime bien Mo Yan.
, en 1816, ... Incroyable !
Oui, l'année qui a suivi Waterloo. On en a moins parlé et pourtant, c'était beaucoup plus grave, la France a connu une année sans vin.
Damnation !
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