;-)
Je viens de terminer un recueil d'aphorismes de Francesco Pittau, l'auteur de l'excellent roman Tête-Dure, et un roman en forme de fable d'Antonio Moresco, "Fable d'amour".
J'ai commencé un autre recueils d'aphorismes, j'en ai six à lire (3 déjà lus), "Indocile heureux" de Dominique Saint-Dizier et un roman de Ludmila Oulitskaïa "Pauvres parents".
J'ai commencé un autre recueils d'aphorismes, j'en ai six à lire (3 déjà lus), "Indocile heureux" de Dominique Saint-Dizier et un roman de Ludmila Oulitskaïa "Pauvres parents".
Je lis le Quatuor de Anna Enquist et j'aime beaucoup.
Je vais me lancer dans un Agatha Christie à l'ambiance Halloween, La fête du potiron.
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.
Il faudrait que je mette mes liens préférés à jour aussi, certains sont passés date.
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.
Bon courage pour la mise à jour et je te souhaite de belles bases neuves pour l'année qui vient!
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
Je continue ma relecture (sur ma liseuse) de Prosut : j'en suis au "Côté de Guermantes", qui me plait énormément, bien (ou à cause) que décrivant un monde que je n'ai jamais fréquenté, celui de l'aristocratie...
Un humour impayable !!!
Un humour impayable !!!
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.
Bonnes résolutions Nance! Cela fait plaisir de te voir dans cet état d'esprit!
J'aimerais bien faire la même chose pour me mettre à jour et garder une trace mais je ne suis pas sûre que mes notes me le permettent. Avec le temps on perd le ressenti de lecture; on verra.
Je lis avec délice l'Anabase de Xénophon. Je l'ai retrouvé en faisant un semblant d'ordre dans mes bouquins. Un récit d'une incroyable expédition militaire de l'Antiquité grecque. Une lecture comme je les aime, je me régale.
Je vais me lancer dans un Agatha Christie à l'ambiance Halloween, La fête du potiron.
Hello Nance ! Heureux de te revoir ici et bon courage pour reprendre la plume !
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.
Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
Je reste à attendre la critique...
Je suis en plein dans la lecture de la poésie de Léopold Sédar SENGHOR, et je dois dire que c'est vraiment magnifique!...
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.
Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?
Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
Je reste à attendre la critique...
Il faudra être patient... comme je dois le lire en anglais, et vu l'écriture du bonhomme, il est probable que je mette un peu de temps avant d'arriver au bout.
.
Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?
Je crois que cette notion de trilogie est plutôt un artifice marketing des éditeurs pour pousser la vente des deux qui ont suivi "Etre sans destin". En réalité, il semble que toute l'œuvre de Kertész (ou quasi) tourne autour de l'holocauste.
Quant à la notion de roman, même si certains détails ou éléments mineurs ont pu être modifiés, elle ne me paraît là que comme l'instrument d'une volonté de distanciation par rapport à l'expérience vécue de son auteur.
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.
J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.
Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?
J'ai lu le un et le trois, le premier est, dans mon souvenir, franchement une autobiographie et le trois est aussi une autobiographie mais elle comporte un grand nombre de réflexions, sur la judéité notamment, qui rapproche plus le texte d'un essai fondé sur une autobiographie.
.
Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?
Je crois que cette notion de trilogie est plutôt un artifice marketing des éditeurs pour pousser la vente des deux qui ont suivi "Etre sans destin". En réalité, il semble que toute l'œuvre de Kertész (ou quasi) tourne autour de l'holocauste.
Quant à la notion de roman, même si certains détails ou éléments mineurs ont pu être modifiés, elle ne me paraît là que comme l'instrument d'une volonté de distanciation par rapport à l'expérience vécue de son auteur.
Le roman se vend mieux, je ne crois pas à cette notion de roman dans le Kaddish où Kertész cherche franchement à faire comprendre ce que fut sa vie et ce qu'il retire des expériences qu'il a vécues même son mariage..
Il faudra être patient... comme je dois le lire en anglais, et vu l'écriture du bonhomme, il est probable que je mette un peu de temps avant d'arriver au bout.
;oDD))))))
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre