Sissi

avatar 25/10/2016 @ 11:08:54
;-)

Débézed

avatar 25/10/2016 @ 15:26:38
Je viens de terminer un recueil d'aphorismes de Francesco Pittau, l'auteur de l'excellent roman Tête-Dure, et un roman en forme de fable d'Antonio Moresco, "Fable d'amour".
J'ai commencé un autre recueils d'aphorismes, j'en ai six à lire (3 déjà lus), "Indocile heureux" de Dominique Saint-Dizier et un roman de Ludmila Oulitskaïa "Pauvres parents".

Saule

avatar 29/10/2016 @ 10:35:54
Je lis le Quatuor de Anna Enquist et j'aime beaucoup.

Nance
avatar 30/10/2016 @ 05:03:08
Je vais me lancer dans un Agatha Christie à l'ambiance Halloween, La fête du potiron.

Nance
avatar 30/10/2016 @ 05:55:40
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.

Nance
avatar 30/10/2016 @ 06:21:29
Il faudrait que je mette mes liens préférés à jour aussi, certains sont passés date.

SpaceCadet
avatar 30/10/2016 @ 06:27:05
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.


Bon courage pour la mise à jour et je te souhaite de belles bases neuves pour l'année qui vient!

SpaceCadet
avatar 30/10/2016 @ 06:30:26
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.

Cyclo
avatar 30/10/2016 @ 07:48:39
Je continue ma relecture (sur ma liseuse) de Prosut : j'en suis au "Côté de Guermantes", qui me plait énormément, bien (ou à cause) que décrivant un monde que je n'ai jamais fréquenté, celui de l'aristocratie...
Un humour impayable !!!

Myrco

avatar 30/10/2016 @ 07:49:50
Je me donne comme résolution d'écrire les critiques que je n'ai pas faite, mais certaines lectures remontent à 3 ans, une chance que j'ai des notes claires, mais je vais voir si c'est possible. J'aimerais commencer 2017 sur des bases neuves.

Bonnes résolutions Nance! Cela fait plaisir de te voir dans cet état d'esprit!
J'aimerais bien faire la même chose pour me mettre à jour et garder une trace mais je ne suis pas sûre que mes notes me le permettent. Avec le temps on perd le ressenti de lecture; on verra.

Saint Jean-Baptiste 30/10/2016 @ 12:29:44
Je lis avec délice l'Anabase de Xénophon. Je l'ai retrouvé en faisant un semblant d'ordre dans mes bouquins. Un récit d'une incroyable expédition militaire de l'Antiquité grecque. Une lecture comme je les aime, je me régale.

Débézed

avatar 30/10/2016 @ 16:22:48
Je vais me lancer dans un Agatha Christie à l'ambiance Halloween, La fête du potiron.


Hello Nance ! Heureux de te revoir ici et bon courage pour reprendre la plume !

Débézed

avatar 30/10/2016 @ 16:28:37
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.



J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.

Septularisen

avatar 30/10/2016 @ 20:29:21
Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.



Je reste à attendre la critique...

Je suis en plein dans la lecture de la poésie de Léopold Sédar SENGHOR, et je dois dire que c'est vraiment magnifique!...

SpaceCadet
avatar 31/10/2016 @ 06:26:04
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.




J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.


Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?

SpaceCadet
avatar 31/10/2016 @ 06:27:59
Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.

Je reste à attendre la critique...



Il faudra être patient... comme je dois le lire en anglais, et vu l'écriture du bonhomme, il est probable que je mette un peu de temps avant d'arriver au bout.

Myrco

avatar 31/10/2016 @ 08:28:35
.



Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?


Je crois que cette notion de trilogie est plutôt un artifice marketing des éditeurs pour pousser la vente des deux qui ont suivi "Etre sans destin". En réalité, il semble que toute l'œuvre de Kertész (ou quasi) tourne autour de l'holocauste.
Quant à la notion de roman, même si certains détails ou éléments mineurs ont pu être modifiés, elle ne me paraît là que comme l'instrument d'une volonté de distanciation par rapport à l'expérience vécue de son auteur.

Débézed

avatar 31/10/2016 @ 19:23:33
Après "L'équilibre du monde" de R.Mistry, qui m'a laissé plutôt tiède, il y a eu un recueil de nouvelles d'Aravind Adiga agréable à lire et dont la conception m'a paru plutôt intéressante, puis je suis passé en Hongrie avec Etre sans destin d'Imre Kertesz, lu en lecture commune avec Myrco. Et pendant que j'y suis autant rester en Hongrie encore un petit moment, alors j'enchaîne avec "La mélancolie de la résistance" de Laszlo Krasznahorkai.




J'ai lu en septembre dernier un autre Kertész, Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, à Budapest même pas très loin de la Maison de la terreur. Un texte complexe, un peu touffu, pour dire notamment que ce n'est pas seulement la Shoa qui l'empêche de donner la vie mais surtout le fait de transmettre la judéité qui stigmatiserait l'enfant pour toute sa vie même s'il n'était pas croyant.



Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?


J'ai lu le un et le trois, le premier est, dans mon souvenir, franchement une autobiographie et le trois est aussi une autobiographie mais elle comporte un grand nombre de réflexions, sur la judéité notamment, qui rapproche plus le texte d'un essai fondé sur une autobiographie.

Débézed

avatar 31/10/2016 @ 19:28:05
.



Ce livre serait le troisième d'une trilogie dédiée au thème de l'Holocauste.
Le premier, Etre sans destin, m'a semblé appartenir à la catégorie 'roman autobiographique'; il possède un caractère fictif mais il est inspiré par l'expérience de l'auteur. Enfin, c'est comme ça que je l'ai perçu.
Le second, Le refus, est classé par l'éditeur sous la catégorie 'roman', mais si j'en juge par la critique de Bertrand Môgendre, on est plutôt sur un fil autobiographique.
Et je vois sur la fiche de 'Kaddish pour l'enfant..' que l'éditeur a classé ce livre sous la catégorie 'roman' mais en même temps, encore ici, les commentaires des lecteurs semblent plutôt indiquer qu'il s'agirait d'un récit autobiographique (pas vraiment un roman).
Tu en penses quoi?



Je crois que cette notion de trilogie est plutôt un artifice marketing des éditeurs pour pousser la vente des deux qui ont suivi "Etre sans destin". En réalité, il semble que toute l'œuvre de Kertész (ou quasi) tourne autour de l'holocauste.
Quant à la notion de roman, même si certains détails ou éléments mineurs ont pu être modifiés, elle ne me paraît là que comme l'instrument d'une volonté de distanciation par rapport à l'expérience vécue de son auteur.


Le roman se vend mieux, je ne crois pas à cette notion de roman dans le Kaddish où Kertész cherche franchement à faire comprendre ce que fut sa vie et ce qu'il retire des expériences qu'il a vécues même son mariage..

Septularisen

avatar 31/10/2016 @ 22:41:56
Il faudra être patient... comme je dois le lire en anglais, et vu l'écriture du bonhomme, il est probable que je mette un peu de temps avant d'arriver au bout.


;oDD))))))


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