Après Angela, un tout petit recueil de Thierry Radière : A la fin, lu dans le tram et commenté en réunion ! Reçu le matin, commenté le soir !
Là, je lis "Soudain, j'aie entendu la voix de l'eau" d'Hiromi Kawakami, très doux, très séduisant pour le moment.
Là, je lis "Soudain, j'aie entendu la voix de l'eau" d'Hiromi Kawakami, très doux, très séduisant pour le moment.
Je termine bientôt le deuxième tome de "La terre chinoise" de Pearl Buck, un deuxième tome axé sur la vie des trois garçons de Wang Lung en particulier le plus jeune, Wang le Tigre, devenu un seigneur de guerre respecté et craint. Le roman tourne au roman d'aventure. J'avoue avoir préféré le premier tome alors que l'on suivait l'ascension de Wang Lung vers la richesse et l'aisance après avoir connu la pauvreté et la misère. Mais Pearl Buck est une formidable raconteuse et lire ses livres est un enchantement.
Lu les deux premiers tiers du roman de R.Mistry (L'équilibre du monde) et je ne sais pas vraiment pourquoi mais je n'arrive pas à rentrer dans ce roman. Il faut dire que les quelques 250 pages de récit biographique au prix desquelles les personnages nous sont copieusement introduits au début du roman m'ont paru un peu longues à traverser si bien qu'au moment où l'histoire commence réellement, je ne me trouvais déjà plus dans les meilleures dispositions pour m'y coller. Enfin, je ne sais pas si ceci explique cela, mais pour le moment, disons que je lis ce livre avec un enthousiasme tiède.
Après quelques bandes-dessinées ("Les Vieux fourneaux" et le très bon "Un océan d’amour"), je me plonge dans l’œuvre de René Fallet dont je ne connais que le "Beaujolais Nouveau est arrivé". A mon programme: ses tous premiers romans ("Banlieue Sud-Est", "La Fleur et la souris", "Pigalle"), puis "Les Vieux de la Vieille", "La soupe aux choux", et "Comment fais-tu l'amour Cerise ?".
Avant d'attaquer le dernier livre de la sélection pour moi, je viens de commencer "Le voyant" de Jérôme Garcin qui retrace l'histoire d'un personnage méconnu en France : Jacques Lusseyran.
Un peu mitigée pour le moment, beaucoup de belles phrases et de description, j'attend un peu plus de cette histoire.
Un peu mitigée pour le moment, beaucoup de belles phrases et de description, j'attend un peu plus de cette histoire.
Lu les deux premiers tiers du roman de R.Mistry (L'équilibre du monde) et je ne sais pas vraiment pourquoi mais je n'arrive pas à rentrer dans ce roman. Il faut dire que les quelques 250 pages de récit biographique au prix desquelles les personnages nous sont copieusement introduits au début du roman m'ont paru un peu longues à traverser si bien qu'au moment où l'histoire commence réellement, je ne me trouvais déjà plus dans les meilleures dispositions pour m'y coller. Enfin, je ne sais pas si ceci explique cela, mais pour le moment, disons que je lis ce livre avec un enthousiasme tiède.
Jamais lu autant de tendresse dans un monde aussi violent !
J'aime beaucoup la résilience et le fatalisme des protagonistes, comment rester serein malgré les pires catastrophes qui s'abattent continuellement...
Après quelques bandes-dessinées ("Les Vieux fourneaux" et le très bon "Un océan d’amour"), je me plonge dans l’œuvre de René Fallet dont je ne connais que le "Beaujolais Nouveau est arrivé". A mon programme: ses tous premiers romans ("Banlieue Sud-Est", "La Fleur et la souris", "Pigalle"), puis "Les Vieux de la Vieille", "La soupe aux choux", et "Comment fais-tu l'amour Cerise ?".
Lu le Beaujolais Nouveau est arrivé, un vrai bonheur !
J'aime beaucoup la résilience et le fatalisme des protagonistes, comment rester serein malgré les pires catastrophes qui s'abattent continuellement...
Pour ma part jusqu'ici (je n'ai pas terminé le roman, donc, mes impressions ne sont pas encore claires) j'ai du mal à 'croire' à tout cela. J'y vois surtout la patte de l'auteur qui nous sert une immense platée de misère, puis encore une autre, et encore, jusqu'à satiété, pour ensuite nous montrer comment les personnages arrivent à traverser toutes ces épreuves sans 'broncher'. Zen malgré tout? J'en doute. C'est beau, c'est émouvant, mais il me semble que ça n'est pas crédible.
Je termine "Tropiques de la violence" de Natacha Appanah
Un livre qui mérite d'être lu.
Un livre qui mérite d'être lu.
Je mène deux lectures en parallèle, Le Club des miracles relatifs, de Nancy Huston, et Le Jardin des Finzi-Contini, de Giorgio Bassano, dont j'ai déjà vu l'adaptation au cinéma.
Je mène deux lectures en parallèle, Le Club des miracles relatifs, de Nancy Huston, et Le Jardin des Finzi-Contini, de Giorgio Bassano, dont j'ai déjà vu l'adaptation au cinéma.
Bassani! ;-)
Je mène deux lectures en parallèle, Le Club des miracles relatifs, de Nancy Huston, et Le Jardin des Finzi-Contini, de Giorgio Bassano, dont j'ai déjà vu l'adaptation au cinéma.Chi va piano Bassano :-)
Bassani! ;-)
Je peine à terminer "l'invention de la solitude". Il doit me rester 20 à 30 pages à peine, pourtant. Quelques pages, quelques phrases que j'ai beaucoup appréciées. Mais ça coince. Je terminerai plus tard.
Quand ma grippe sera passée, j'attaquerai "Journal d'un corps".
Quand ma grippe sera passée, j'attaquerai "Journal d'un corps".
J'ai abandonné Nevo et Jours de miel pour d'obscures dates de retour, mais j'espère y revenir très très vite.
Lâche abandon pour commencer l'Ile du Point Nemo.
Ce livre m'avait été recommandé par le libraire lors de sa sortie et je n'avais pas voulu le prendre.
Mais quelle erreur !
Ce livre est dingue ! Mais alors complètement dingue.
A côté d'une d'enquête aventureuse pour retrouver un diamant volé, se greffent 4 autres histoires.
Et de plus le narrateur se permet de temps à autre d'interpeler le lecteur pour lui expliquer qu'il va couper dans l'histoire car se serait trop long ! le livre fait 450 pages.
L'auteur nous perd dans l'espace temps (si ce n'était l'existence de liseuses, on opterait pour un autre siècle), et il le fait dès les premières pages : magnifique entrée en matière.
Ce livre ne cesse d'étonner : Vous saurez tout de la sexualité de l'Octoprteuthis deletron et des ceratoïdes et du musée Barnum.
Beaucoup se réfèrent à Jules Verne en parlant de ce livre, pour ma part, je pense au film la grande course autour du monde de Blake Edwards pour son côté loufoque.
Je ne sais de quoi se nourrit Jean Marie Blas de Robles pour arriver à un tel degré d'imagination mais j'aimerais bien qu'il m'en garde une part.
Bonne soirée à tous, je retourne à l'Ile du point Nemo. Il ne me reste plus que 150 pages.
Lâche abandon pour commencer l'Ile du Point Nemo.
Ce livre m'avait été recommandé par le libraire lors de sa sortie et je n'avais pas voulu le prendre.
Mais quelle erreur !
Ce livre est dingue ! Mais alors complètement dingue.
A côté d'une d'enquête aventureuse pour retrouver un diamant volé, se greffent 4 autres histoires.
Et de plus le narrateur se permet de temps à autre d'interpeler le lecteur pour lui expliquer qu'il va couper dans l'histoire car se serait trop long ! le livre fait 450 pages.
L'auteur nous perd dans l'espace temps (si ce n'était l'existence de liseuses, on opterait pour un autre siècle), et il le fait dès les premières pages : magnifique entrée en matière.
Ce livre ne cesse d'étonner : Vous saurez tout de la sexualité de l'Octoprteuthis deletron et des ceratoïdes et du musée Barnum.
Beaucoup se réfèrent à Jules Verne en parlant de ce livre, pour ma part, je pense au film la grande course autour du monde de Blake Edwards pour son côté loufoque.
Je ne sais de quoi se nourrit Jean Marie Blas de Robles pour arriver à un tel degré d'imagination mais j'aimerais bien qu'il m'en garde une part.
Bonne soirée à tous, je retourne à l'Ile du point Nemo. Il ne me reste plus que 150 pages.
Louis Bottu a eu l'excellente idée de rééditer" L'argent" de Charles Péguy je me jette dessus, toute honte bue, à ce jour, je n'ai toujours rien lu de Péguy.
Terminé le deuxième tome de la trilogie "La terre chinoise" de Pearl Buck. Je vais faire une pause et lire autre chose pour changer (je ne sais pas encore quoi...) avant de revenir avec le troisième tome.
Je vais commencer "Ma mère du nord" de Jean-Louis Fournier. j'ai aimé tout ce que j'ai lu de lui jusqu'à présent...on verra bien.
Fini "Journal d'un corps". Evidemment bien aimé. J'y ai trouvé des similitudes avec "L'invention de la solitude", mais je ne saurais les expliquer. Pour ce qui est des différences, ce dernier est (j'ose) bien plus austère que Pennac dont la légèreté de ton rend la lecture aisée, facile, agréable. Et puis, avec lui, on n'a pas de scrupules à sauter un passage puisqu'il nous y a expressément autorisés :-)
Je commence "L'hôtel New Hampshire".
Je commence "L'hôtel New Hampshire".
Après Blondin, Robert Giraud encore une croisière entre les rades de la Rive Gauche !
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